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Leonor Hubaut / Interview, Sahel / Le général Guibert dans la salle de réunion du QG d’EUTM Mali à Bamako. © Leonor Hubaut/B2 (BRUXELLES2 à Bamako) Avant son départ et la relève par le général Marc Rudkiewicz (lire : Un chasseur alpin, franco-allemand, prend le commandement d’EUTM Mali), le général Guibert a tenu à faire le point, avec plusieurs journalistes (dont B2), du « 1 an » de la mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM Mali). Une « mission ambitieuse mais indispensable pour permettre à l’armée malienne de revenir dans le match et de retrouver la confiance en elle, qu’elle avait perdue » selon Bruno Guibert. EUTM Mali, çà marche… Déployée depuis le 18 février 2013, la mission a pour mandat « de contribuer à restaurer les capacités militaires des Forces armées maliennes (FAMA).

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DEFENSE NATIONALE - Le blog du président des combattants volontaires de la Drôme, LCL BRAULT « On est en plein bordel, et on ne sait pas où on va ». Un para français à Bangui « Une semaine, deux de nos soldats tués, les communautés catholiques et musulmanes déchirées, des « déplacés » qui s’agglutinent par milliers en différents points à Bangui, des représailles, pillages, lynchages, mosquées détruites. Attentats de Paris : à lire et à voir pour tenter de comprendre l'incompréhensible De la tribune d'un membre de Zebda à la grande enquête de “The Atlantic” sur les motivations religieuses de Daesh, de l'Etat islamique expliqué par l'historien Pierre-Jean Luizard, au journal télé d'Arte à destination des juniors, sélection d'articles, d'ouvrages et de documents choisis par la rédaction de “Télérama”. Sur le Net Tout au long du week-end, les tribunes se sont succédées, sur notre site, mais aussi ailleurs.

Blog de François Cornut-Gentille Après les tremblements de terre et autres cyclones, la population d’Haïti est confrontée à une grave épidémie de choléra. Selon l’organisation mondiale de la santé et plusieurs experts internationaux, cette épidémie a eu pour foyer infectieux un régiment népalais de casques bleus. Malgré ce constat, le secrétaire général de l’ONU refuse de donner suite aux demandes d’indemnisation des victimes de l’épidémie, suscitant l’incompréhension et la colère des populations locales.

Quand Eric et Ramzy étaient seuls en terrasse du bar Le Carillon à Paris ATTENTATS - À l'angle de la rue Bichat, Le Carillon est désormais tristement célèbre et son trottoir, jonché de fleurs et de bougies. Pourtant, ce petit bar situé à proximité du Canal Saint-Martin a connu des heures glorieuses. Prisé des Parisiens pour son ambiance et ses tarifs abordables, le Carillon a aussi été le lieu de tournage d'une des scènes de Seuls Two, le film d'Eric et Ramzy. Dans cette comédie de 2008, Eric et Ramzy se retrouvent seuls dans un Paris désert. L'un incarne un policier rigoureux, l'autre un cambrioleur à la Arsène Lupin. Polémique. Pourquoi Paris suscite-t-il plus d’empathie que Beyrouth ? Les attentats de Paris ont provoqué une vague d’émotion très largement relayée par la presse internationale et les internautes, notamment sur leurs profils Facebook. Mais de nombreuses voix, à Beyrouth, à Moscou et ailleurs dénoncent une solidarité à géométrie variable. “Le 12 novembre à 18 heures, un double attentat secoue Bourj El-Barajneh, dans la banlieue sud de Beyrouth, faisant 44 morts. Le lendemain soir, 7 attaques, tuant 129 personnes, endeuillent Paris.

Depeche - Un carnage commis par "M. Tout-le-monde avec une kalachnikov", des corps "en pièces détachées" Des scènes "irréelles", des corps "en pièces détachées", un "carnage": témoignages auprès de l'AFP de survivants, après les attentats sans précédent de vendredi soir à Paris. - "C'est irréel de sortir de la salle et de voir des cadavres", déclare Benoît Werner, qui était au balcon du Bataclan avec son frère et a vu un des tireurs "à cinq mètres". "On s'est retrouvé face au type et il ne nous a pas tiré dessus." A quoi ressemblait-il?

Attentats de Paris : l'enquête avance À 21h49, vendredi 13 novembre, une Polo noire s’arrête devant le Bataclan. Trois hommes en descendent, entrent dans la salle de concert parisienne et tirent sur la foule, tuant des dizaines de personnes. Samy Amimour (mort). Ce Parisien de 28 ans, originaire de Drancy, a été formellement identifié comme étant l’un des kamikazes du Bataclan. Communiqué de presse de Najat Vallaud-Belkacem, à la suite des attentats terroristes qui ont frappé Paris et la Seine-Saint-Denis À la suite des attentats terroristes qui ont frappé Paris et la Seine-Saint-Denis, la ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Najat Vallaud-Belkacem, adresse toutes ses pensées aux familles et proches des victimes, aux blessés. L’ensemble des services de l’Éducation nationale est mobilisé sur tout le territoire. La ministre a communiqué aux recteurs les consignes suivantes :

La Marocaine Zineb El Rhazoui appelle les Français à mener la guerre contre l’islam radical sur leur territoire - femmesdumaroc Zineb El Rhazoui, journaliste à Charlie Hebdo et militante des droits de l’homme, a appelé les dirigeants français à durcir leur politique à l’égard de l’islam radical en France, sous peine de voir la gangrène continuer à se propager. « Il faudrait arrêter d’accepter que ces pleurnichards de la stigmatisation derrière leurs burqas ou leurs barbes nous imposent leur standard radicalisé comme étant celui de toute une identité dans ce pays. » Au micro de RMC, Zineb El Rhazoui a vivement critiqué le laxisme des dirigeants français à l’égard des islamistes en France. Journaliste à Charlie Hebdo, rescapée de la fusillade du 7 janvier, cofondatrice du Mouvement alternatif pour les libertés individuelles au Maroc et figure du 20 février, la jeune femme appelle les Français à enfin se poser les bonnes questions.

A la Une - CHARTRES (28000) - EXCLUSIF. Ismaël Mostefaï venait d’avoir un second enfant juste avant de partir en Syrie La Turquie aurait signalé à la France, en septembre 2013, qu'...–––––– –––––––– –––––– –––––––––––– –– ––––––––– –––––– –– –––––– ––– –– –––––––– –– –––––– ––– ––––––––––––– ––––––––– –– –––––– –– –––– –– –––––– –––– –– ––––––––––– –– –– –––––– –––––––– ––––––––– –––––––– ––––– –––– ––––– –––– –––––––– –– ––––––– –– –––––––––– ––– ––––––– –––––––– –––––– –––––––– ––– –––– ––– ––––– ––––––––– –––––– –– –––––– A Paris, les hommages aux victimes peinent à mobiliser La fête ne se fait pas sur un mot d’ordre. Aussi généreux et aussi enthousiaste soit-il. Et les artistes et personnalités qui, ce vendredi 20 novembre, avaient appelé les Français à occuper les rues, les places, les cafés, pour faire entendre la musique tant haïe par les islamistes, n’ont pas réussi à mobiliser les foules comme ils l’auraient souhaité. Trop tôt, disaient les Parisiens qui, pourtant, avaient fait l’effort de se rendre dans les quartiers visés lors des attaques. « Trop tôt pour rire, trop tôt pour danser. On est debout, on veut le montrer. Mais la fête, fût-elle comme un message adressé aux barbares, non, on n’a pas le cœur à ça. »

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