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A qui appartient le savoir ?

A qui appartient le savoir ?
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La répartition interne de la copie privée entre les ayants droit Pour chaque support vierge vendu, combien de copies privées perçoivent les ayants droit du sonore, ceux de l’audiovisuel – cinéma compris -, ceux de l’écrit et des arts visuels ? Le 14 décembre dernier, les ayants droit ont examiné ce document qui fixe la part respective que doivent se tailler les acteurs de la création. En France, c’est la loi qui fixe la répartition des sommes collectées au titre de la copie privée entre les sociétés d’ayants droit. La recette est figée à l’article L311-7 du Code de la propriété intellectuelle : 50 % pour les auteurs, 25 % pour les producteurs et 25 % pour les artistes-interprètes pour la copie privée sonore. À parts égales (33 % chacun) dans le secteur audiovisuel. Pour l’image fixe et l’écrit, le partage se fait à 50 % entre les auteurs et les éditeurs. Voilà les barèmes votés le 14 décembre... Et le projet de répartition des sommes collectées à partir de ce barème :

Les armoiries des cantons suisses revisitées [galerie] Une fois n’est pas coutume, le rapport annuel du groupe horloger Swatch se teinte d’humour[1]. En plus d’être cette année disponible en version Suisse-allemande, il arbore sur sa couverture un armorial suisse revisité. Pas besoin de détenir un paquet d’actions UHR (notez que Swatch a bien choisi son abréviation) pour sourire au nouveau design des armoiries cantonales : Cela appelle-t-il à des commentaires ? Une petite déception peut-être : que cela reste de l’ordre de l’exercice de style graphique sans s’inspirer des différentes identités cantonales. Tiens, au fait ils auraient certainement nous faire de (plus) jolis graphismes avec des éléments horlogers. [1] Ah, il va de soi que personne n’est dupe, le but n’est pas d’être drôle, mais de rappeler une fois de plus l’attachement de la marque à la Suisse, sa qualité, et patati et patata…

Consulter DUMAS (Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance) est une base d'archives ouvertes de travaux d'étudiants de niveaux bac+4 et bac+5, validés par un jury, dans toutes les disciplines. La base DUMAS est hébergée par HAL. 1. Objectifs et contenu de l'archive DUMAS s'inscrit dans un mouvement international en faveur du libre accès. 2. DUMAS n'est pas une base d'auto-archivage. La propriété intellectuelle des documents déposés reste entièrement celle du ou des auteurs. Une « Foire aux questions » vous permettra de prendre connaissance des principales modalités de dépôt. 3.

Les nouvelles technos ne détruisent pas le cerveau, elles s’y adaptent ! Sebastian Dieguez (@twieguez) est chercheur en neuroscience à l'université de Fribourg. Lorsqu'on parle des nouvelles technologies et du cerveau, le plus souvent on évoque les effets des technologies sur le cerveau plutôt que l'inverse, estime le neuroscientifique sur la scène de Lift (vidéo). De nombreuses publications récentes nous mettent en garde contre les dangers des nouvelles technologies. Panique, psychose, dépression, dépendance, anxiété... Toute la presse ne nous parle que de cela quand elle évoque les nouvelles technologies. Image : psychoses éditoriales extraites de la présentation de Sebastian Dieguez. "Autant dire que notre société doit vraiment aller très mal à voir tous ces diagnostics psychiatriques !" Et si nous nous posions la question dans l'autre sens. Image : Sebastian Dieguez sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin. C'est peut-être par cette même erreur que nous avons inventé l'écriture, estime Sebastian Dieguez. Hubert Guillaud

Creative commons Want to let people share and use your photographs, but not allow companies to sell them?Looking for access to course materials from the world’s top universities?Want to encourage readers to re-publish your blog posts, as long as they give you credit?Looking for songs that you can use and remix, royalty-free? If you answered yes to any of the questions above, then you should learn more about Creative Commons. Probably the quickest and easiest introduction to CC is to watch the following short video: What is Creative Commons? Creative Commons is a nonprofit organization that enables the sharing and use of creativity and knowledge through free legal tools. Our free, easy-to-use copyright licenses provide a simple, standardized way to give the public permission to share and use your creative work — on conditions of your choice. Creative Commons licenses are not an alternative to copyright. What can Creative Commons do for me? Our mission Our vision Why CC? What we provide Where we’re going Volunteer

Le non commercial, avenir de la culture libre La licence NC (non commerciale) des Creative Commons permet à chacun de diffuser la culture librement en se laissant finalement la possibilité d'en faire soi-même commerce. Insupportable pour les libristes orthodoxes. Elle est pourtant indispensable pour réformer le droit d'auteur. Depuis le mois d’avril 2012, la fondation Creative Commons International a annoncé qu’une nouvelle version de ses licences (la 4.0) allait être publiée et un appel à commentaires a été lancé pour inviter la communauté à participer à la réflexion. Des modifications importantes sont envisagées, comme le fait de globaliser les licences pour ne plus avoir à les adapter pays par pays, en fonction des législations nationales. Il s’agit à vrai dire d’un vieux débat qui divise le monde du libre depuis des années. Quand les licences Creative Commons ont commencé à devenir visibles, la communauté du libre, familiarisée avec les problématiques du logiciel, a fraîchement accueilli ces clauses NC.

#BiophiliaIrcam Pour découvrir le programme Biophilia : c/@s_fredriksson @ClioMeyer (v/@CaliceST) Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales Sortir de la tyrannie du présent La quantité massive de données dont nous disposons sur tous les sujets, des sciences sociales aux systèmes environnementaux, nous laisse espérer la possibilité de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Mais les arbres ne cachent-ils pas la forêt ? Le mathématicien Samuel Arbesman (@arbesman) affirme dans Wired qu'il nous faut désormais compléter ces big data par les "long data" : des informations sur les phénomènes lents, se développant sur le très long terme. Un exemple de ce genre de travail, cité par Arbesman, est l'oeuvre Jared Diamond, auteur de Guns, Germs and Steel (traduit en français sous le titre De l’inégalité parmi les sociétés - Wikipédia). Si ces "long data" peuvent présenter un grand intérêt pour les historiens, sont-elles vraiment importantes pour qui cherche à envisager le futur ? De fait, se concentrer sur le présent est susceptible d'introduire certains biais dans notre analyse, notamment la "déviation du standard", (shifting baseline). Rémi Sussan

About Founded in 2011, The Public Domain Review is an online journal and not-for-profit project dedicated to the exploration of curious and compelling works from the history of art, literature, and ideas. In particular, as our name sugggests, the focus is on works which have now fallen into the public domain, that vast commons of out-of-copyright material that everyone is free to enjoy, share, and build upon without restriction. Our aim is to promote and celebrate the public domain in all its abundance and variety, and help our readers explore its rich terrain – like a small exhibition gallery at the entrance to an immense network of archives and storage rooms that lie beyond. With a focus on the surprising, the strange, and the beautiful, we hope to provide an ever-growing cabinet of curiosities for the digital age, a kind of hyperlinked Wunderkammer – an archive of content which truly celebrates the breadth and diversity of our shared cultural commons and the minds that have made it. The Shop

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