Écovillages, plus que des maisons vertes, un mode de vie Argentine / / Amérique du sud Au-delà du confort et des bénéfices environnementaux offerts par les constructions écologiques, les quartiers durables séduisent aussi grâce à leur caractère communautaire. De Buenos Aires aux confins de la Patagonie, les écovillages fleurissent à travers tout le pays, attirant un nombre croissant de citadins tentés par une vie plus proche de la nature. Soulèvement d’une maison dans le village i-Tekoa.Crédit: Cortesia i-Tekoa. Une ambition commune : intégrer l’habitat dans l’environnement Véritables laboratoires de modes de vie alternatifs, les éco-hameaux naissent un peu partout dans le pays, depuis les régions tropicales de la province septentrionale de Misiones, jusqu’aux contreforts des Andes en Patagonie. Certains projets démarrent parfois autour d’une expérience familiale qui sert de noyau au développement d’un hameau, tandis que d’autres communautés prennent forme grâce à un groupe d’amis partageant la même vision du monde.
10 victoires environnementales accomplies en 2012 USA / / Amérique du nord 2012 fut sans doute une grande année en terme d’accomplissement et de victoires environnementales. Voici en résumé 10 fiertés à célébrer ! 1. La campagne du Sierra Club « Beyond Coal » (Au-delà du charbon) a remporté plusieurs victoires qui permettront de sauver des vies, d’assainir l’air et l’eau, et de donner un coup de pouce supplémentaire à la crise climatique. 2. Malgré les tentatives des lobbyistes, l’Environmental Protection Agency a mis en place, pour la toute première fois, des mesures de protection contre la pollution au mercure et des limitations en matière de monoxyde de carbone pour les nouvelles centrales électriques. 3. La seconde plus grande ville du pays a approuvé, au printemps dernier, un programme d’énergie solaire de 150 mégawatts. 4. 5. 6. Lorsque le président Obama a désigné Fort Ord comme monument national, il a reconnu, par ce geste, la formation de plus d’un million de soldats dans ce camp militaire. 7. 8. 9. 10.
Kalundborg Symbiosis - Case Studies Kalundborg Symbiosis is the world’s first well-functioning example of industrial symbiosis and, within the academic discipline of industrial ecology, has become a textbook example of effective resource saving and cycling of materials in industrial production. Industrial symbiosis can be defined as the exchange of materials or waste streams between companies, so that one company’s waste becomes another company’s raw materials. At Kalundborg Symbiosis, public and private companies buy and sell waste from each other in a closed cycle of industrial production. A variety of by products are traded, such as steam, ash, gas, heat, sludge, and others that can be physically transported from one company to another. 3 million m3 of water saved through recycling and reuse The incentive structure of Kalundborg Symbiosis is driven by resource scarcity, with increased costs of materials and energy for businesses being the primary basis for a shift in the method of production. © Kalundborg Symbiosis
Le Brésil veut compter tous les arbres de l’Amazonie Recenser le nombre, la taille, l’espèce et d’autres données sur chacun des arbres de l’immense forêt tropicale, qui se trouve en majorité au Brésil, tel est le grand chantier d’inventaire prévu pendant quatre ans. Le Brésil abrite environ 60% de l’Amazonie et près de la moitié de ce qui reste des forêts tropicales de la planète. Et maintenant, le pays a l’intention de compter chacun de ses arbres. C’est une vaste entreprise, grâce à laquelle le nouvel Inventaire forestier national espère obtenir « un large panorama de la qualité et des conditions de la couverture forestière », selon le ministre brésilien des Forêts, Antonio Carlos Hummel. Le recensement, qui aura lieu au cours des quatre prochaines années, s’étendra sur 8,516 millions de kilomètres carrés en prenant 20.000 points échantillons à 20 kilomètres d’intervalle et en enregistrant le nombre, la hauteur, le diamètre et l’espèce des arbres, entre autres données. via FastCo.exist À lire aussi
Manger peut-il nuire à la santé ? Rencontre avec le réalisateur Eric Guéret Déjà Ministre de l'Ecologie entre avril 1992 et mars 1993, Ségolène Royal reprend les rênes de ce ministère, désormais élargi au développement durable et à la Transition énergétique. De son précédent passage au ministère de l'Ecologie, on retiendra 3 mesures : la loi sur le traitement et le recyclage des déchets de 1992, la loi de lutte contre le bruit, ainsi que la loi sur la « reconquête des paysages », obligeant à la prise en compte des paysages dans les permis de construire. Aujourd'hui, de nouveaux dossiers, plutôt épineux, attendent la nouvelle ministre : Gaz de schiste, nucléaire ou Notre-Dame-des-Landes, quelles sont les positions de la nouvelle ministre sur ces sujets ? 1er sujet sensible, le nucléaire. Pendant la primaire socialiste en 2011, Ségolène Royal souhaitait ramener le nucléaire « à une énergie d'appoint». Autre projet sensible, celui de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes. A Bure, le nucléaire touche le fond
Centrale Metz-Chambière : La biomasse fait son apparition... Déjà Ministre de l'Ecologie entre avril 1992 et mars 1993, Ségolène Royal reprend les rênes de ce ministère, désormais élargi au développement durable et à la Transition énergétique. De son précédent passage au ministère de l'Ecologie, on retiendra 3 mesures : la loi sur le traitement et le recyclage des déchets de 1992, la loi de lutte contre le bruit, ainsi que la loi sur la « reconquête des paysages », obligeant à la prise en compte des paysages dans les permis de construire. Aujourd'hui, de nouveaux dossiers, plutôt épineux, attendent la nouvelle ministre : Gaz de schiste, nucléaire ou Notre-Dame-des-Landes, quelles sont les positions de la nouvelle ministre sur ces sujets ? 1er sujet sensible, le nucléaire. Pendant la primaire socialiste en 2011, Ségolène Royal souhaitait ramener le nucléaire « à une énergie d'appoint». Autre projet sensible, celui de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes. A Bure, le nucléaire touche le fond
Projet ANR ReparH 2010-2014 : Reconstruire Parasinistre en Haïti Projet ANR ReparH 2010-2014 : Reconstruire Parasinistre en Haïti Partenariat scientifique : CRAterre – UR AE&CC/ENSAG et UJF-3SR, GADRU/PADED Le projet ReparH, soutenu par l’ANR, s’appuie sur et accompagne des projets de reconstruction d’habitat qui ont été lancés suite au séisme de janvier 2010. Il a pour ambition de documenter et d’élaborer des éléments méthodologiques sur l’approche « cultures constructives » qui a été promue dans ces projets, au regard des enseignements tirés suite à la catastrophe et pus particulièrement du constat que les constructions traditionnelles ont mieux résisté au séisme que la plupart des constructions récentes. Ce travail de recherche est mené en partenariat avec l’organisation GADRU et le réseau PADED, soutenus par Misereor pour la reconstruction de plus de 4000 logements. Dans le cadre des efforts déployés par Misereor avec la PADED, plus de 400 habitats ont déjà était construites et d’autres sont déjà en chantier. Introduction a. c. d. Recommandations :
PNUE / GEO5 : des projets écologiques novateurs et réussis menés par des jeunes | Radio des Nations Unies Donner de l'espoir et mettre en oeuvre des projets novateurs en faveur de l'environnement entrepris par les jeunes, c'est l'objectif de la nouvelle édition du rapport du Programme des Nations Unies pour l’environnement destiné à la la jeunesse « Tunza : Agir pour un Monde Meilleur : GEO 5 pour la Jeunesse ». Ce document a été lancé lundi 11 février à Nairobi, au Kenya, à l'ouverture de la Conférence internationale “TUNZA” sur l’Environnement pour les jeunes. Cette cinquième édition consacrée à l’avenir de l’environnement mondial (GEO-5), est une évaluation des Nations Unies très facile à comprendre sur l’environnement. Le rapport regroupe des découvertes clés et vise à fournir aux jeunes lecteurs les dernières informations scientifiques sur l’état actuel de l’environnement mondial y compris le changement climatique, la qualité de l’air, la biodiversité, l’utilisation de la terre et d’autres domaines.
Une « douche à air » pour économiser l’eau L’injection d’air dans l’eau permet à un système de pomme de douche d’utiliser moitié moins d’eau. L’adoption d’un mode de vie plus durable implique généralement quelques sacrifices personnels. Si vous conduisez une voiture électrique, vous n’avez pas la même autonomie qu’avec une voiture à essence (à cause du manque d’infrastructures de chargement). Felton, une société basée en Nouvelle-Zélande, a collaboré avec la Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation (CSIRO), l’agence scientifique nationale d’Australie, pour développer la buse Oxijet, ou « douche à air » : celle-ci injecte de l’air dans le jet d’eau pour donner l’illusion d’une douche à pleine pression. « Les réducteurs de débit traditionnels limitent le débit et la pression, tandis qu’Oxijet utilise l’énergie du jet pour injecter de l’air dans l’eau, rendant les gouttelettes d’eau creuses », explique Jie Wu, spécialiste des fluides à la CSIRO, dans une déclaration. via CSIRO (et image de Csiro) À lire aussi
Accueil Documentation > Publications > Articles > La bonne énergie est-elle locale ? décembre 2012 La bonne énergie est-elle décentralisée ? Tribune parue dans le magazine Décisions Durables en décembre 2012 site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com NB : le texte ci-dessous est celui envoyé au magazine. Prenez un élu local au hasard. Comme souvent, ce point de vue simplifie par trop un problème qui n’en demandait pas tant. Pour cela il faut la convertir en "autre chose" : eau remontée en altitude, produits pouvant réagir entre eux dans une batterie, air comprimé, hydrogène provenant de l’électrolyse de l’eau, etc, et au passage on perdra de 20% à 75% de l’électricité initiale, tout en ayant besoin de payer (cher parfois) le moyen de stockage (le prix d’un kWh stocké restitué est facilement de 2 à 4 fois celui du kWh initial). En plus, les sources électriques "décentralisées" font souvent appel à une énergie primaire fluctuante, à savoir le vent ou le soleil.
Des plantes pour purifier l’eau de pisciculture Revue de web: l’université Leibniz de Hanovre en Allemagne mène un projet de purification de l’eau issue des piscicultures avec des plantes tolérantes au sel, comme l’aster maritime ou la salicorne, rapporte l’Adit avec l’ambassade de France. Salicorne La surexploitation des mers et de ses ressources halieutiques, ajoutée à la demande toujours plus accrue pour le poisson dans l’alimentation, ont conduit à un fort développement de la pisciculture commerciale. L’Université Leibniz de Hanovre (Basse-Saxe) mène un projet novateur de purification de l’eau issue des piscicultures avec des plantes tolérantes au sel, comme l’aster maritime ou la salicorne, surnommée « cornichon de mer ». Les résultats seront utilisés pour la réalisation d’un système intégré poisson-plantes dans une unité de production piscicole de Völklingen (Sarre). Pour en savoir plus, contacts : Prof. Sources : « Wozu Spargel im Meerwasser? À lire aussi
L'échec des grandes centrales de biomasse - Energies renouvelables - Energies La politique énergétique ciblée sur des grosses centrales à biomasse ne marche pas. Sur les quatre appels à projets lancés par la commission de régulation de l'énergie (CRE), un tiers des projets retenus a été abandonné et la capacité finalement installée en 2012 serait de 180 mégawatts électriques (MWe), soit à peine plus de 10 % de la capacité totale planifiée. Le rapport du Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) qui publie ces chiffres demande que cette politique nationale de gros projets soit « impérativement revue ». Car, outre son inefficacité, elle déstabilise la filière bois-énergie en France. Deuxième énergie renouvelable après l'hydraulique, le bois représente 7% de l'énergie primaire consommée en France. Des projets trop importants, déconnectés des capacités de mobilisation locale En conséquence, les projets de centrales qui aboutissent créent une pression supplémentaire sur des ressources déjà exploitées.
Crise économique et crise écologique: juxtaposition ou interactions? On en voudra pour preuve l'importance que ce sujet prend au forum économique mondial de Davos, cette année. Interrogés par sondage, les participants placent désormais le sujet de la protection de l'environnement au deuxième rang de leurs priorités, derrière la croissance économique. Le bilan du Monde 2013, qui vient de paraître se retrouve sur la même logique: cet atlas, accompagné des grands indicateurs des 180 pays de la planète, accorde une place importante aux problèmes écologiques. Mais les experts et les gouvernants continuent de croire que ces deux problèmes -l'écologique et l'économique- constituent deux entités différentes qui n'ont que peu de liens. Pourtant, il faut adopter une vision globale et prendre davantage de hauteur pour comprendre les liens forts et les interrelations entre ces deux problèmes. On veut esquisser, ici, quelques pistes qui permettent de comprendre les interactions qui unissent fondamentalement ces deux univers.