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Li-Fi, la technologie alternative au Wi-Fi ?

Li-Fi, la technologie alternative au Wi-Fi ?
Transmettre sans fil du contenu multimédia par la lumière ? Le Li-Fi, vous connaissez ? C’est en regardant un reportage télé que je suis tombé par hasard sur cette technologie de communication sans fil encore méconnue du grand public… Cette techno prometteuse pourrait se présenter dans le futur comme une véritable alternative au bon vieux Wi-Fi qui a envahi nos maisons, nos lieux publics et qui nous fait passer un tas d’ondes électromagnétiques à travers la tête… Le Li-Fi, acronyme de « Light Fidelity », est donc une technologie de communication à distance sans fil basé sur la lumière LED visible. Cette innovation repose sur la transmission de données numériques à distance par modulation de la lumière à une fréquence tellement élevée qu’elle n’est pas perceptible par l’œil humain. Ces modulations sont tout simplement interprétée comme du langage binaire composé de 0 et de 1. Coté sécurité de l’information, c’est assez simple… Il n’y a pas de mot de passe. Image à la une : Ubimind.net

Sortir de la tyrannie du présent La quantité massive de données dont nous disposons sur tous les sujets, des sciences sociales aux systèmes environnementaux, nous laisse espérer la possibilité de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Mais les arbres ne cachent-ils pas la forêt ? Le mathématicien Samuel Arbesman (@arbesman) affirme dans Wired qu'il nous faut désormais compléter ces big data par les "long data" : des informations sur les phénomènes lents, se développant sur le très long terme. Pour cela, nous devons collecter et surtout interpréter des données s'étendant sur plusieurs siècles, voire des millénaires. Un exemple de ce genre de travail, cité par Arbesman, est l'oeuvre Jared Diamond, auteur de Guns, Germs and Steel (traduit en français sous le titre De l’inégalité parmi les sociétés - Wikipédia). Si ces "long data" peuvent présenter un grand intérêt pour les historiens, sont-elles vraiment importantes pour qui cherche à envisager le futur ? Vers la psychohistoire - et au-delà ! Rémi Sussan

DBpedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. DBpedia est un projet universitaire et communautaire d'exploration et extraction automatiques de données dérivées de Wikipédia. Son principe est de proposer une version structurée et sous forme de données normalisées au format du web sémantique des contenus encyclopédiques de chaque fiche encyclopédique. DBpedia vise aussi à relier à Wikipédia (et inversement) des ensembles d'autres données ouvertes provenant du Web des données : DBpedia a été conçu par ses auteurs comme l'un des « noyaux du Web émergent de l'Open data »[2] (connu également sous le nom de Web des données) et l'un de ses possibles points d'entrée. Historique[modifier | modifier le code] Le projet a été lancé par l'université libre de Berlin et l'université de Leipzig, en collaboration avec OpenLink Software. Structure du dépôt de données[modifier | modifier le code] Représentation en carte heuristique des relations entre DBpedia et divers autres projets du Web.

Faster, Please: Breaking Down Barriers to the Internet of Things | Innovation Insights The Internet fridge is here today ;-). What’s taking everything else so long? Image: anthonyjhicks/Flickr Like something out of a sci-fi movie, the Internet of Things promises to transform our daily lives. If buzz alone could manifest the Internet of Things, it would already be a done deal. Technology, it turns out, isn’t one of them. Instead, the biggest barriers to the Internet of Things are the closed systems that dominate today’s technology landscape. For these companies, and many others like them, staking out your ground and competing for customers drives innovation, but it also walls in users. This doesn’t mean users should be forced to leave their cherished iPhones or beloved Droids—or whatever their devices, software, and services of choice may be—on the recycling heap. Beyond APIs, an industry push for open standards would also make sharing data far easier and more frictionless. All signs point to a bright future for the Internet of Things, but skepticism remains.

Comment la technologie et Internet développent nos esprits Temps de lecture: 10 min Si vous répondu «46,1519», «8.000» et «Quantas», deux possibilités. La première, vous êtes Rain Man. La seconde, c'est que vous utilisez la technologie d'augmentation cérébrale la plus puissante du XXIe siècle: la recherche Internet. Certes, le Web ne fait pas réellement partie de votre cerveau. L'idée que nous pourrions inventer des outils capables de modifier nos capacités cognitives peut surprendre, mais en réalité, il s'agit d'une des définitions fondamentales de l'évolution humaine. Ce que l'Internet et les technologies mobiles ont changé Avec l'acquisition du langage, nos ancêtres ont non seulement remanié leur façon de communiquer, mais aussi leur façon de penser. Mais, à l'époque, dire que ces informations faisaient partie de l’esprit humain était encore tiré par les cheveux. L'Internet et les technologies mobiles ont commencé à changer la donne. Le disque dur externe de nos cerveaux L'Internet serait-il devenu le disque dur externe de nos cerveaux?

Internet des objets: la start-up française MyFOX lève 3,2 millions d'euros MyFOX, start-up française spécialisée dans l’internet des objets, vient de boucler un tour de table de 3,2M € auprès d’un pool d’investisseurs comprenant COGEPA, Orkos Capital, Jaïna Capital et ses propres fondateurs. MyFOX s’est notamment spécialisée dans les solutions de sécurité en lançant en 2009 un système d’alarme et vidéosurveillance accessible directement sur smartphone. La start-up s’est aussi diversifiée dans la domotique au travers de solutions de contrôle du foyer à distance (volets, chauffage, lumières…) depuis un smartphone, un ordinateur ou une simple télécommande. Cette levée devrait permettre à MyFOX d’enrichir son offre en renforçant ses investissements en R&D et de soutenir son développement international indique Jean-Marc Prunet, son président.

[LeWeb'12] SigFox, le « Google » des objets connectés de demain ?  Il disent ne pas avoir de concurrent. Ni en France, ni dans le monde. SigFox, une société 100% française fondée en 2010 par Christophe Fourtet, se positionne comme « le premier opérateur cellulaire bas débit dédié au « machine to machine » et à l’internet des objets. SigFox revendique 2M d’euros de CA, ses clients sont des grands comptes (Suez, Assurances MMA, EDF etc…). Le PDG de Sigfox, Ludovic Le Moan, est l’ex-fondateur de Goojet, un site de widgets orientés news sur mobile. Domotique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation graphique schématique d'items relatifs à l'« habitat intelligent » (version évoluée de la domotique des années 1970-80), avec leurs relations entre eux et avec l'usager Maison de démonstration dite « Maison T-com », à Berlin Les domaines de la domotique[modifier | modifier le code] Exemple d'interface avec un logiciel de contrôle de l'éclairage Le Home cinema est l'un des « services » qui peut, être intégré dans la domotisation Exemple d'une famille de modules domotiques électroniques et électromécaniques (vannes, vérins) pouvant être commandés par une même unité centralisée Les principaux domaines dans lesquels s’appliquent les techniques de la domotique sont : Domotique et environnement[modifier | modifier le code] La domotique utilise des TIC qui peuvent être très consommatrices d'énergie et de matières rares ou précieuses. Avec le temps, la domotique tend à sortir de la maison. Coût de la domotique[modifier | modifier le code]

Google veut répondre aux questions des internautes avant qu'ils ne les posent Knowledge Graph Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Recherche conversationnelle[modifier | modifier le code] Pendant la conférence annuelle Google I/O, en mai 2013, Amit Singhal présenta le futur de la recherche selon Google, expliquant les trois fonctions primaires qu'un moteur de recherche devrait remplir : 1. répondre ; 2. converser et 3. anticiper. Pendant sa présentation orale, Singhal affirma « Un ordinateur auquel vous pouvez parler ? Notes et références[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Knowledge Graph » (voir la liste des auteurs).

Web sémantique : Google active son Knowledge Graph en français Google a attendu le lancement de la conférence LeWeb 2012 pour annoncer le déploiement en France et dans six autres pays de sa base de données Knowledge Graph. Celle-ci permet d'introduire une dose de web sémantique dans les résultats de recherche. Par exemple, une recherche sur la Tour Eiffel donne à la fois des résultats sous forme de liens vers des sites web, mais également une boîte d'informations sur l'objet de la recherche lui-même. Mieux cibler les recherches Le Knowledge Graph était déjà déployé depuis cet été, mais à partir de la base de données en anglais. Cet outil doit permettre d'apporter d'autres informations sur une recherche, dans la veine de ce qu'on trouve déjà à des degrés divers ailleurs. Pour Google, qui détaille son annonce dans un billet de blog, il s'agit de mieux cibler les recherches - en proposant de lever l'ambiguïté sur une requête par exemple, d'apporter plus d'informations rapidement, mais aussi de "faire des découvertes inattendues."

L'Internet des objets : Internet, mais en mieux: Amazon.fr: Philippe Gautier, Laurent Gonzalez

Plus d'exemples ici : by magicfrog Sep 23

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