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Lire en numérique

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La presse spécialisée, indicateur de tendance! oui mais lesquelles En 1985, était publié dans l’Ordinateur Individuel un article qui présentait la manière de concevoir un serveur minitel. Il y avait un plan du câble permettant de relier l’ordinateur au minitel par le port série et un listing de programmation en basic qui permettait d’une part de « retourner » le modem du minitel pour en faire un serveur, d’autre part de concevoir quelques pages minitel. Avec un collègue, professeur en électrotech, nous avons développés un serveur minitel sur PC et sur Mac, grâce à ces éléments. Mon collègue avait lancé dans l’atelier de l’établissement, la fabrication des câbles ad ‘hoc avec ses élèves. En 2013, le mensuel l’Ordinateur Individuel (créé en 1978) annonce qu’il disparaît dans sa forme historique, pour renaître en avril sous une nouvelle forme (tous les quinze jours) et un nouveau nom 01net. L’évolution des revues spécialisées grand public est aussi liée à cette évolution. C’est le triomphe de « l’essai erreur ». A suivre et à débattre

L’influence des écrans sur les enfants fait débat Laisser les enfants devant les écrans, une bonne idée ? Les avis se suivent et ne se ressemblent pas toujours. Le dernier en date, rendu le 17 janvier par l’Académie des sciences intitulé « L’enfant et les écrans » a de quoi surprendre. Loin d’être alarmiste sur l’usage des écrans, il préconise un usage raisonné et encadré pour stimuler l’intelligence des enfants, à tous les stades de son développement, de la petite enfance à l’adolescence. L’usage des écrans, précise aussi l’Académie, peut se faire dès le plus jeune âge, notamment en maternelle. Ne pas minimiser les effets des écrans Un avis qui fait bondir Michel Desmurget, directeur de recherche en neurosciences à l’Inserm, Laurent Bègue, professeur de psychologie sociale, Bruno Harlé, pédopsychiatre, et une soixantaine d’autres chercheurs qui s’associent à une tribune parue le 8 février dans le journal Le Monde, intitulée, sans équivoque, «Laisser les enfants devant les écrans est préjudiciable». Un rapport de non spécialistes

Bibliothèque : Des milliers d'ebooks d'indépendants avec Smashwords Le réseau de distribution pour les livres numériques d'auteurs indépendants et d'éditeurs indépendants itou vient de franchir un autre pas. Après l'instauration d'un programme de soumission des oeuvres en EPUB, c'est avec les bibliothèques de Douglas County que Smashwords signe un accord. Ce dernier permettra le prêt de 10.000 titres numériques, pour un catalogue de 21.000 titres dans l'établissement, avec de la fiction, de la SF, romance et autres thrillers. « Nous sommes impatients de connecter nos lecteurs à ce nouveau et frais flux de contenus numériques », explique Jamie LaRue, directeur des bibliothèques de Douglas County, cité par ALA Techsource. Les petits prix des ouvrages de Smashwords, en moyenne tournant autour de 4 $, permettent d'enrichir un catalogue de manière plus importante que lorsqu'il faut traiter avec des éditeurs classiques - qui prennent parfois jusqu'à 84 $ pour un titre. « Cela ressemble au début d'une belle amitié », assure le directeur. Pour approfondir

Les sept caractéristiques des technopédagogues hautement efficaces Nous venons de lire un court article sur un blogue américain intitulé AlwaysPrepped, ou toujours préparé (dans le sens de préparation ou planification pédagogique). Court, mais plein de bons sens car on y fait référence à 7 caractéristiques incontournables chez l’enseignant technopédagogue. Également, nous vous rappelons que, selon le référentiel des 12 compétences professionnelles chez les enseignants québécois, la compétence #8 est sans équivoque : intégrer les technologies de l’information et des communications aux fins de préparation et de pilotage d’activités d’enseignement-apprentissage, de gestion de l’enseignement et de développement professionnel. Voici ces sept caractéristiques, traduites en français et augmentées au goût du jour : 1. En aucun temps, ils n’utilisent la technologie simplement pour l’utiliser. 2. Évidemment, ils sont flexibles et sont en mesure de s’adapter aux nouveautés technologiques. 3. 4. 5. 6. Ils planifient d’avance et son rarement à la dernière minute.

Où en est le livre numérique en France Atlantico : L'Université Paris-Dauphine organise ce mercredi deux tables rondes autour de la question "Livre numérique, chapitre 2 : une page qui se tourne pour le papier ?" Depuis l'apparition du premier livre électronique il y a dix ans, quel premier bilan peut-on dresser du secteur numérique en France ? Hélène Védrine : Le marché du livre numérique a mis très longtemps à se développer en France et ne constituait qu’une partie infime du chiffre d’affaires de l’édition. En 2011, les ventes d’ebooks représenteraient moins de 1% des ventes totales de livres dans l’Hexagone, contre 7% au Royaume-Uni et 20% aux Etats-Unis. Cependant, depuis 2008, cette part ne cesse d’augmenter et la vente des ebooks atteint désormais 21 millions d’euros cette année, contre 12, 5 millions l’an dernier. En six mois, le nombre de Français ayant lu un livre au format numérique a presque triplé (on passe de 5% à 14 % de la population de plus de 14 ans). atlantico sur facebook notre compte twitter Je m'abonne

Le prêt d'ebooks en bibliothèque entraîne l'achat Le modèle économique du prêt de livres numériques fait peur aux éditeurs. Et pour cause : plus de remplacement des livres usagés, des revenus qui baissent. L'éditeur HarperCollins avait cristallisé les rancoeurs, en instaurant une politique tarifaire qualifiée d'écoeurante. Il avait fallu l'intervention de Cory Doctorow pour remettre les idées en place : « La chose importante à comprendre, c'est que le côté éphémère d'un livre imprimé n'est pas une caractéristique que nous devrions chercher à reproduire dans les médias. » (voir notre actualitté) Pourtant, les éditeurs redoutent des pertes d'argent, mais Pottermore n'hésite pas à signer avec Amazon pour que la saga Potter soit disponible en prêt gratuit pour les clients Premium du cybermarchand. Tout cela montre une réticence, certes, mais avant tout, une inquiétude. Lee Rainie, directeur de Pew Internet, explique que les « emprunteurs d'ebooks sont des amateurs de livres. Une étude qui serait à rapprocher de plusieurs autres.

Environnements d'apprentissage personnels Spontanément, nous sommes de plus en plus nombreux à chercher sur Internet quand nous avons besoin d'une information, plutôt que de demander à une personne de notre entourage. Internet est un puits de savoir sans fond. Mais collecter de l'information est une chose, apprendre à partir de cette information en est une autre. Le traitement qui mène à la construction des savoirs réclame un effort soutenu. C'est là que le rôle de l'enseignant s'avère irremplaçable : non plus dans la transmission d'un savoir, mais dans l'aménagement du parcours menant aux savoirs. Ces savoirs se bâtissent à partir de deux éléments essentiels : les ressources d'une part, les interactions d'autre part. Interagir facilite les apprentissages. Plutôt que de s'épuiser à tout voir, tout comprendre, tout absorber, mieux vaut se bricoler un environnement d'apprentissage personnel accueillant, qui évoluera au fil des projets d'apprentissage. photo : Zellaby via photopin cc Trouver des ressources sur Internet

Who Reads eBooks? [Infographic] | Random House Random Notes Mina Park, Senior Analyst, Consumer Insights Who is the eBook consumer? Who are eBook consumers and what are their reading habits? These questions are frequently posed to the Random House Research and Analytics team, and fortunately we have some great sources for understanding this technology-savvy group. One of those resources is data that we acquire through regular surveys of U.S. book consumers, which we can filter to look solely at eBook consumers. This has enabled us to get a good picture of who they are and their attitudes toward books and reading. Over a fifth of American adults have read an eBook. EBook consumers stand out in a number of ways from non-eBook consumers. What does this mean for authors?

Tab en Bib : prêt de lecteurs ebook et tablettes en Midi-Pyrénées À compter du 2 juin et jusqu'au 2 juin 2013, le Centre Régional des Lettres Midi-Pyrénées va organiser une vaste expérimentation de prêts de lecteurs ebook et de tablettes dans les bibliothèques de la région. « Dans la logique des travaux menés avec le groupe de travail régional et interprofessionnel sur le livre numérique (créé à l'initiative du CRL en avril 2011), le CRL et quatre médiathèques de la région Midi-Pyrénées ont répondu ensemble en 2011 à un appel à projets du ministère de la Culture et de la Communication. Leur projet de prêt de tablettes et liseuses en bibliothèque a été retenu et c'est ainsi que Tab en Bib a pu voir le jour », explique un communiqué. Deux réseaux de bibliothèques prendront part à cette expérimentation : les médiathèques de la Communauté de communes du Sud Quercy de Lafrançaise (3 établissements) et celles de la Communauté de communes du Quercy Rouergue et Gorges de l'Aveyron (3établissements). Pour approfondir

Julien Tartaglia: Comment nous passons à côté de la révolution numérique à l'école TECHNO - On a beaucoup fantasmé sur l'arrivée des nouvelles technologies dans l'éducation : on les imaginait déjà capables de créer une façon d'apprendre qui n'existait pas jusqu'à présent. Et pourtant, rien ne semble avoir changé en profondeur à l'école. Et si l'on passait à côté de la révolution numérique à l'école? Les nouvelles technologies ne sont évidemment pas absentes de l'univers des élèves et des enseignants, bien au contraire : tableaux numériques, applications mobiles, espaces numériques de travail, comptes Twitter, blogs, réseaux sociaux, etc. Quel a été l'impact véritable de l'arrivée des nouvelles technologies à l'école? Se libérer des visions technophiles L'arrivée des nouvelles technologies dans le monde scolaire s'est faite souvent à sens unique: on prend un usage existant et on essaie de l'appliquer en classe. Qu'apprend-on au collège et au lycée? Comment acquiert-on ces compétences? Redonner toute sa valeur au métier d'enseignant Faire le cours.

La culture est-elle soluble dans l’ebook ? / Pierre Mounier Posted on 5 mars 2013 by Bambou Après la communication de Dominique Cardon sur “les sociabilités numériques” puis celle de Thierry Baccino sur “la lecture numérique”, je ne saurais trop vous recommander d’écouter l’intervention de Pierre Mounier*, que nous avons eu le plaisir d’accueillir, le 29 novembre dernier, à la Médiathèque de Miramas. Cette communication a pour titre “La culture est-elle soluble dans l’e-book? Les enjeux de la métamorphose du livre à l’ère numérique”. En voici le contenu synthétique : “Presque 600 ans après l’invention de l’imprimerie, le livre connaît une nouvelle révolution technologique en se dématérialisant au sein des réseaux numériques. …et la restitution audio-visuelle intégrale sur Bambou, avant diffusion sur l’espace professionnel du portail de la MIOP : *Pierre Mounier est ingénieur d’études à l’EHESS où il anime un séminaire consacré aux humanités numériques avec Marin Dacos. → Pour aller plus loin (ou à côté), voir aussi :

Le circuit du prêt des liseuses J’ai toujours manqué d’imagination pour les introductions un peu rigolotes et « aguichantes ». On va donc faire comme si je venais de vous proposer l’introduction du siècle. Aujourd’hui, on va parler du circuit de prêt des liseuses. En achetant des liseuses, j’imaginais bien qu’il y aurait quelques bricoles techniques à faire ou à vérifier sur les machines entre chaque prêt, mais j’avoue que je n’en avais qu’une vague idée. La période de médiation envers les collègues m’a été extrêmement utile à ce niveau-là. Résumons pour ceux qui n’auraient pas lu l’article : chaque collègue a eu l’obligation de tester la machine, de se retrouver en « tête-à-tête » avec elle. Cette période de médiation pour les collègues m’a permis de faire une première évaluation sur les besoins et les « risques » du prêt de liseuse : Dans quel état rentrent les machines après toutes les manipulations – plus ou moins douces – des nouveaux « lecteurs-numériques » ? J’intercepte les machines entre chaque prêt.

Quelles plateformes et quels modèles d'enseignement pour notre culture numérique ? Les plateformes d'apprentissage à distance ou LMS sont pratiquement toutes conçues de la même façon : avant tout comme des espaces de mise en ligne de cours, ces cours étant constitués de ressources mises à disposition par les enseignants, complétées par les activités réalisées par les apprenants, qui suivent les consignes énoncées par l'enseignant. Les LMS sont des TMS ! Selon Marcel Lebrun, professeur à l'Université de Louvain-la-Neuve, les LMS (Learning Management Systems) sont en fait des TMS : Teaching Management System. Il arrive, et même de plus en plus fréquemment, qu'au travers de Travaux Dirigés ou dans une logique d'apprentissage par projet (qu'on trouve surtout dans les établissements enseignant les sciences et technologies, fortement liés au monde professionnel) les étudiants doivent réaliser des activités, seuls ou en groupes, lors de leur apprentissage. À l'activité de l'enseignant répond la passivité de l'élève Il faut donc en créer de nouvelles.

Prise de pouls de la lecture numérique en Île-de-France Le médialab de Sciences Po et le MOTif, observatoire francilien du livre et de l'écrit publient aujourd'hui un état des lieux des usages du livre numérique. S'appuyant sur les 20 plateformes principales du secteur, le rapport passe au crible plusieurs aspects comme le type de lecture, le choix de la tablette selon ses caractéristiques, le ratio d'utilisation papier/numérique, la relation au libraire dans l'acquisition de nouveaux titres comme le moyen de paiement. A partir de 44 entretiens approfondis, ainsi que 726 réponses exploitables, les résultats révèlent un usage encore restreint aux seuls utilisateurs de la première heure. Une population prescriptrice de tendance, mais pas suffisamment pour lancer un engouement global. Dans le match tablette versus liseuse, le taux d'équipement des sondés va dans le sens d'une large préférence pour la tablette multi-tâche avec un tiers des interrogés. Connaissance technique et frein tarifaire Pour approfondir

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