background preloader

David Reimer

David Reimer
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. David Reimer, né le 22 août 1965 à Winnipeg, dans le Manitoba, et mort le 5 mai 2004, est un Canadien connu pour avoir subi une réattribution sexuelle sans son consentement. À la suite d'une circoncision ratée visant à combattre un phimosis, il subit une pénectomie à l'âge de 8 mois[1]. À la suite de cela, sur les recommandations du psychologue et sexologue néo-zélandais John Money, un pionnier dans le domaine du développement sexuel et de l'identité de genre, ses parents lui firent retirer les testicules à l'âge de 22 mois et l'élevèrent ensuite en tant que fille, sous le prénom de Brenda[1]. Biographie[modifier | modifier le code] David Reimer naquit à Winnipeg dans le Manitoba ; il avait un vrai jumeau, Brian, et son nom alors était Bruce. L'intervention de John Money[modifier | modifier le code] Réattribution[modifier | modifier le code] Reimer a vécu les visites à Baltimore comme traumatisantes plutôt que comme thérapeutiques.

L'enquête Insee sur les familles confirme les spécificités du couple parisien Associée à la collecte du recensement, l’enquête de l’Insee Famille et logements permet d’étudier les modes de vie des personnes qui se déclarent en couple en France. Avec un échantillon de 360.000 adultes répondants en 2011, répartis dans 1.400 communes, l’enquête offre un panorama très précis de l’état des couples. publicité Cette enquête effectuée en 2011 s’est notamment penchée sur le cas de l’Ile-de-France, révélant des différences de mode de vie entre parisiens, franciliens et provinciaux. Moins de couples, plus d'unions libres Sans surprise, les Parisiens sont moins en couple que les Franciliens hors Paris, ces derniers l’étant moins que les provinciaux. L’union libre (33% des couples) et le pacs (un peu plus de 6% des couples parisiens contre un peu plus de 4% ailleurs) sont plus fréquents. Plus de jeunes et d'étudiants à Paris Les spécificités démographiques et sociologiques de Paris expliquent ces écarts. Plus de pacs et plus de couples homosexuels À lire aussi sur Slate.fr

Médiatala - Information - Désinformation Autopsie des critères de la légitimité politique L’aveuglement sur les “printemps arabes” ou l’entêtement sur le mariage homosexuel procèdent de la même confusion de la fin et des moyens. Il est couramment admis qu’un pouvoir légitime n’a pas besoin de la force pour s’imposer, les gouvernés ayant confiance dans les gouvernants. Bien des auteurs ont proposé des classifications de la légitimité. Mais la dichotomie entre les légitimités par l’exercice et par l’origine est sans doute la plus efficiente. Pour résumer, la philosophie classique pense le pouvoir légitime en fonction de sa finalité (parce qu’il réalise le bien commun). Bien entendu, dans chacun des systèmes, les deux types de légitimité peuvent être combinés. D’où cela procède-t-il ? Ces distinctions permettent de mieux analyser les prises de position des hommes politiques de notre temps. Pour ce qui concerne la France, la même logique est à l’oeuvre.

Les moutons enragés - Les moutons en ont marre, ils s'informent! Etre élevé par des homosexuels : les études scientifiques Accueil {*style:<b>Mai 2005 Rapport sur le développement de l’enfant au sein de couples de même sexe </b>*} Mónica Fontana • Patricia Martínez • Pablo Romeu Édition et coordination: En collaboration avec : Institut de Politique Familiale et Forum Espagnol de la Famille Résumé Présentation.......................................................................................................5 Prologue .............................................................................................................6 1. 2. 3. 4. 5. 6. Appendice 1: ............................................................................................................... 24 Bibliographie Appendice 2:................................................................................................... 35 Études effectuées par Lerner, R. et Nagai, A. Quelques études effectuées par Belcastro, P., et al. (1993) . - faible estime de soi ; - stress ; . . 4 . . . 1.

Tout savoir sur la quatrième Queer week de Sciences Po LGBTIQ : Lesbiennes, Gay, Bisexuels, Transsexuels, Intersexuels et Queer, tel est l’acronyme qui désigne le mouvement de lutte pour l’émancipation des personnes non hétérosexuelles. D’aucuns pourront juger le choix de ces lettres discriminant puisqu’il ne prend pas en compte d’autres pratiques sexuelles alternatives à l’héterosexisme fascisant qui norme la société : A comme Asexuel et P comme Pansexuel ou « Polyamoureux » auraient aussi bien leur place dans l’acronyme. Il est amusant de voir que les queer (« personnes ne souhaitant pas se voir définies par leur sexe ou leurs pratiques sexuelles ») se retrouvent étiqueté-e-s derrière une lettre ou un sigle. Mais les militants de la cause LGBTIQ ne s’embarrassent pas de petites contradictions. « No gender, no master » est le cri de révolte suprêmement subversif qui anime le mouvement Queer. *Photo : celesteh. Article en accès libre. envoyer More Sharing Services

Anti-mariage gay : radiographie des mouvements d'extrême droite Le GUD, les Jeunesses nationalistes, le Renouveau français ou encore le Printemps français… Le Figaro fait le point sur les principaux groupuscules et mouvements proches de l'extrême droite qui radicalisent les manifestations contre le mariage pour tous. • Le Groupe Union Défense (GUD): Le GUD (Groupe Union Défense, anciennement Groupe Union Droit) a été fondée en 1969 à l'université parisienne de Panthéon-Assas. Réputé pour son activisme violent, ce groupuscule, qui a pour symbole un rat noir, se positionne comme un courant alternatif au Front national. C'est Edouard Klein, un étudiant d'Assas et fils de «gudards», qui est à l'origine du retour du mouvement à l'université dès 2010, après quelques années d'absence. • Les Jeunesses nationalistes (JN): Ce groupuscule de 500 à 600 personnes a été créé en octobre 2011 par deux ex-membres du Front national, Yvan Benedetti, 48 ans, et Alexandre Gabriac, 23 ans. • Le Bloc identitaire (BI): • Le Renouveau Français (RF): • L'institut Civitas:

La drôle de morale du sport automobile Ce week-end, la Formule 1 revient chez elle, en Europe, là où elle est née et où elle a prospéré avant de prendre un net virage vers l’Asie il y a quelques années. Le Grand Prix d’Espagne marque le début d’une série de sept courses qui vont se succéder sur le Vieux continent jusqu’à la fin de l’été. Le Grand Prix du Canada, le 9 juin à Montréal, sera le seul intermède «exotique» de la séquence. A Barcelone, le public espagnol n’aura d’yeux que pour Fernando Alonso. Le double champion du monde, surnommé le taureau des Asturies, tentera de s’imposer devant son public pour la deuxième fois seulement, la première depuis 2006. publicité Pas question pour lui de contrecarrer les plans de victoire de son n°1, y compris dans l’hypothèse où Massa aurait lui-même une chance de triompher selon les circonstances de la course. Ainsi va, en effet, le petit monde de la Formule 1, soucieux d’impératifs qui ne sont pas toujours sportifs. Barrichello au ralenti La pièce de Vatanen et Ickx Yannick Cochennec

Sexes et races, deux réalités LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nancy Huston et Michel Raymond Sciences humaines et sciences naturelles ne font pas bon ménage. Quand les biologistes s'aventurent dans les domaines de l'anthropologie et de la psychologie, ils extrapolent souvent abusivement des causes matérielles aux conséquences sociales. L'homme fait certes partie de la nature, mais les lois biologiques expliquent-elles tous les comportements ? L'hérédité est certes un facteur puissant, mais comment nier que l'histoire des sociétés comme celle des individus a un impact sur notre identité ? Les analyses sociobiologiques des arts et des cultures, à force de se croire capables de tout expliquer à leur aune, laissent souvent sceptique. Du côté des sciences humaines et sociales, c'est moins la boulimie que l'anorexie qui fait des ravages : penseurs et philosophes contemporains semblent avoir adopté pour devise la célèbre formule "Commençons par écarter tous les faits". L'évolution ne s'arrête jamais.

Comment la Sécu compte économiser 2,5 milliards d'euros en 2014 Le conseil de la Cnam planche cet après-midi sur les propositions d'économies qui seront remises au gouvernement. Son objectif : contenir à 2,4% la hausse des dépenses de santé l'an prochain, contre 2,7% en 2013. Alors que le trou de la Sécu sera plus important que prévu en 2013, la branche de l'Assurance-maladie se penche ce jeudi après-midi sur son budget 2014. Le conseil de la Cnam se réunit pour valider les propositions qu'il adressera au gouvernement en vue du prochain projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) en septembre. Son objectif: contenir à 2,4% la hausse des dépenses de santé pour l'an prochain, contre 2,7% pour 2013 et 2,5% en 2012. «Pour être acceptés et légitimes, ces efforts doivent s'inscrire dans une perspective d'amélioration du rapport qualité/prix des soins délivrés à la population, mais aussi être partagés entre les différents acteurs du système de santé», peut-on lire dans le rapport de la Cnam. • Baisse du tarif de certains médicaments

Related: