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Mesurer la valeur client CLV Customer Lifetime Value

Mesurer la valeur client CLV Customer Lifetime Value
Comment mesurer la valeur d'un client Calculer la rentabilité par client T ous les clients ne sont pas d'une rentabilité équivalente. Tous les clients ne méritent pas les efforts destinés à les fidéliser. Parfois même un client peut coûter plus cher à l'entreprise que ce qu'il rapporte. Les profits dégagés estimés dans la durée sont en fait supérieurs aux frais dépensés à son égard. Anticipation de la valeur client Pour être plus précis, il ne suffit pas de se fonder exclusivement sur les achats passés pour formuler un jugement. Définition CLV Customer Lifetime Value La Customer Lifetime Value est un indicateur estimant, sous la forme d'une espérance mathématique, la somme des profits nets susceptibles d'être générés par un unique client au fil de sa durée de vie. La valeur d'un client correspond peu ou prou à la différence entre les profits effectivement dégagés et la somme des frais de marketing engagés. À lire CRM at the Speed of Light Dispo : www.amazon.fr Gestion de la relation client Related:  MercatiqueBTS MUC

La fidélité, fidéliser ses clients Plus votre client est récompensé, plus il sera fidèle ! Conserver sa clientèle et gagner de nouveaux clients pour compenser la perte naturelle de chiffre d'affaires, augmenter les ventes et vendre plus souvent, stimuler ses clients : telles sont les bases de tout programme de fidélité. Ces méthodes de fidélité sont souvent matérialisées par la mise en œuvre d'une carte de fidélité associé à un système informatique appelé système de fidélité. La carte de fidélité qui est couramment fabriquée en matière plastique est un média de communication direct très efficace. Un programme de fidélité efficace est un programme de fidélité qui fonctionne ! En ce qui concerne le client possesseur de la carte de fidélité, il doit impérativement avoir un temps minimum d'attente en caisse pour valider ses points : le temps de lecture/écriture (dans le cas d'une carte à puce en multipostes) doit être quasiment instantané, la technologie RFID est la solution la meilleure dans ce domaine.

L'IPHONE REVOLUTIONNE LE MARKETING RELATIONNEL - Les fondamentaux du marketing De nouveaux usages mobiles en ligne de mire D'un côté, le mobile, dont les pratiques et les fonctionnalités ne cessent de progresser. De l'autre, des marques, qui voient dans ce canal l'opportunité de créer plus de relationnel avec leurs clients, à tout instant et partout. Au centre, l'iPhone, qui bouleverse la donne. Avec 44,6 millions d'utilisateurs de téléphonie mobile et 11,8 millions d'adeptes du Web mobile (selon Médiamétrie-Nielsen, juillet-septembre 2009), le succès des terminaux portables est évident. Depuis son arrivée sur le marché, près de 2,8 millions d'iPhone auraient été vendus en France, dont 2,2 millions en 2009. Les applications iPhone, sujet de 2009 ? Le succès des applications réside dans leur facilité d'accès. Alors, application ou site mobile ? Créer du trafic sur les sites mobiles et mesurer leur efficacité, c'est bien là l'enjeu des prochains mois. Naviguer sur le Net, recevoir des messages d'annonceurs, acheter... Apple Google et Microsoft le trio infernal

Fidélité induite et recherchée RPF Six clés pour réussir sa stratégie omnicanal Lors d'une conférence organisée à Las Vegas sur le futur du retail, Peter Sheldon, analyste au sein du cabinet d'études Forrester revient sur les enjeux et les basiques d'une bonne stratégie omnicanal. 1- Acheter en ligne, se faire livrer en magasin Encore aujourd'hui cette fonctionnalité est clé pour lever l'un des principaux freins à l'achat en ligne. Aux USA notamment, Amazon offre des "pick-up" gratuits dans des consignes afin que les consommateurs puissent se faire livrer comme ils l'entendent. 2- Historique de vente : donner au consommateur une vue d'ensemble de ses achats passés quelque soit le canal Cette fonctionnalité est déjà souvent disponible. 3- Stocks des magasins mis à jour L'objectif est de rendre accessible quotidiennement pour les clients les stocks des magasins actualisés en temps réel si possible. 4- Facture digitale Les consommateurs doivent avoir accès à une copie digitale et " recherchable " de leurs factures. 5- Politique de retour 6- Point de vente unique

Les programmes de fidélité en quête de renouveau - Enquête Les Français raffolent des programmes de fidélité. Selon une étude publiée en 2005 par ACNielsen, ils n'étaient pas moins de 90 % à déclarer posséder au moins une carte de fidélité au sein de leur foyer. C'est dire si la manne est importante pour les marques. Jusqu'alors cantonnés à un aspect purement technique et opérationnel, les programmes de fidélisation ont subi depuis un ou deux ans un véritable lifting de la part des entreprises émettrices qui vont audelà du simple aspect transactionnel pour s'ouvrir de plus en plus au relationnel. Un phénomène qui touche l'ensemble des stratégies de relation client et qui tend à se généraliser dans les programmes de fidélisation des marques et enseignes, quel que soit le secteur dans lequel elles évoluent. De l'aveu même des principaux opérateurs, le programme à points est adaptable à – presque – tous les secteurs. Pour autant, ce type de programme, bien ancré dans les habitudes des consommateurs, peut-il encore être innovant ?

Le multi-canal est mort, vive le cross-canal A peine compris par quelques enseignes à la traîne, le multi-canal est déjà… mort. Oh, certes, le multi-canal n’a pas perdu subitement tout son intérêt stratégique pour le commerce après avoir, des années durant, nourri grassement tant de consultants. Non ! L’enseigne, tel le soleil de sa galaxie, se doit de multiplier les canaux de relation-client (marchande ou non), comme autant de satellites en orbite. Au centre, le canal historique (généralement le point de vente) ; autour, les nouveaux canaux : internet, applications smartphone, points retrait, etc. Une organisation nécessaire mais aujourd’hui insuffisante.

Cas Store - Le site de référence des cas pédagogiques en gestion Retail's Big show : l'omnicanal, un enjeu-clé pour faire décoller ses ventes La tendance de l'omnicanal se confirme. C'est même une évidence pour les acteurs et les experts du Retail's Big Show, qui s'est achevé le 16 janvier. Après quatre jours de conférences et de décryptage, des tendances qui vont constituer le commerce de demain ont été révélées. Un client omnicanal consomme jusqu'à 750 euros par an Thomas Belk, président de Belk, l'équivalent américain de La Redoute ou des 3 Suisses, partage cet avis expliquant "que l'omnicanal est une chance inouie pour les réseaux". Des transformations importantes en terme d'organisation Wendy Liebmann, présidente et fondatrice de WSL Strategic Retail, cabinet de conseil spécialisé en stratégie pour les réseaux, "encourage les réseaux à ré-imaginer aussi l'organisation de leurs points de vente à terme". L'achat du client est ainsi simplifié et ré-enchanté. Découvrez la vidéo de la boutique connectée Burberry Le suivi en direct en partenariat avec Thomas Le Guyader, expert en e-commerce au sein de l'agence Evoke

chalandise.fr : choisir sa zone de chalandise Omnicanal : les convergences du physique et du numérique Mobile en magasin, imprimé publicitaire associé à une campagne social media, print on demand et social media… comment allier ces canaux, des plus traditionnels aux plus innovants ? Le Social Media Club et son partenaire La Poste ont réuni professionnels du marketing direct et des social media pour recueillir retours d’expérience et best practices sur l’omnicanal. Facebook : le thermomètre des ventes ? Monoprix est arrivé sur les médias sociaux en 2010, avec pour objectif premier de créer du lien et de la proximité avec les clients qui aiment ses produits. « Les internautes aiment voter et jouer » Le meilleur moyen d’ « engager » ses clients sur les médias sociaux reste de leur montrer que ce qui se passe en ligne a une incidence directe sur ce qui se passe en magasin. Quelles métriques pour les opérations de web to store ? Si les jeux-concours et les applications de bons plans géolocalisés augmentent sensiblement le trafic en magasin, le ROI de ces opérations reste la grande inconnue.

Comment calculer son seuil de rentabilité ? Le seuil de rentabilité correspond au chiffre d'affaires pour lequel une entreprise ne réalise ni une perte ni un bénéfice c'est-à-dire où son résultat est nul. Le calcul du seuil de rentabilité d'une entreprise est une étape importante quant à la décision de commercialiser ou non un produit. Dans cette optique de pérennité de votre activité, L-Expert-comptable.com vous aide à déterminer votre seuil de rentabilité. Définition et principe du seuil de rentabilité Le seuil de rentabilité correspond au niveau d'activité ou de production minimum à partir duquel une entreprise devient rentable. Le seuil de rentabilité est atteint lorsque le chiffre d'affaires couvre les charges nécessaires à la production (on parle également de point mort). Lire l'article Qu'est-ce que le chiffre d'affaire? Le calcul du seuil de rentabilité Vous pouvez également déterminer votre seuil de rentabilité de la façon suivante : Seuil de rentabilité = Charges fixes / Taux de marge sur coût variable

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