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Vertus démocratiques de l’Internet - La vie des idées

Vertus démocratiques de l’Internet - La vie des idées
Ce texte est issu d’une présentation à la table ronde « Internet et renouveau démocratique » (avec Daniel Bougnoux et Patrice Flichy), animée par Caroline Broué au forum « Réinventer la démocratie » (organisé par La République des idées à Grenoble le 9 mai 2009). À la question de la place d’Internet dans le renouvellement des figures de la démocratie, beaucoup de réponses très diverses et contradictoires peuvent être apportées. Car, à considérer Internet comme un tout, à la fois objet technique, média, espace public, support ou instrument politique, on prend le risque de fondre ensemble des choses si différentes que toute généralisation glisse sur cet improbable objet, sans parvenir à le spécifier. Je voudrais cependant prendre ce risque en avançant, sans beaucoup de précautions, six propositions relatives à l’expérience de la démocratie sur Internet. Les six vertus politiques d’Internet 1. L’exclusion des immobiles 2. La dépolitisation narcissique 3. La fin de la vie privée 4. 5. 6.

Les réseaux sociaux en France (IFOP) L’IFOP vient de publier une étude très complète sur les réseaux sociaux en France. Voici quelques données extraites de cette étude. - 77% des internautes déclarent être membre d’au moins un des réseaux sociaux en ligne testés. - 25% des internautes sont membres d’un seul réseau social, 34% de deux à trois réseaux sociaux et 18% de quatre et plus. En moyenne, un internaute est membre de 1,9 réseau social (2,9 pour les 18-24 ans) Réseaux sociaux les plus connus Facebook est connu de 97% des internautes… Mais d’où viennent les 3% qui ne connaissent pas ? (*) Etabli sur la base du classement obtenu pour les 17 réseaux sociaux en ligne testés lors de cette étude : (Bebo, BeBoomer,Boompa, Copains d’avant, Facebook, Flickr, FriendFeed, Hi5, LinkedIn, MySpace, Ning, Orkut, Skyrock, Trombi, Twitter, Viadeo, Windows Live). (**) Evolution observée depuis juin 2009 Ci-dessous, le Top 10 des réseaux sociaux les plus connus des internautes français * Evolution depuis le mois de juin 2009

un faux problème Quelques mois après la création d’un « ministère de l’immigration et de l’identité nationale », une première dans l’histoire de la République, l’historien Gérard Noiriel décrypte les usages politiques de la notion d’identité nationale depuis le XIXe siècle jusqu’à la campagne présidentielle de 2007. Recensé : Gérard Noiriel, À quoi sert « l’identité nationale » ? Lire aussi : « Parler d’autres langages que celui de la science », entretien avec Gérard Noiriel [8-01-2008] Cet ouvrage est le premier titre de « Passé & présent », la collection que le CVUH (le Comité de vigilance face aux usages publics de l’histoire) vient de créer aux éditions Agone. C’est cette question de l’« identité nationale », remise au centre de l’actualité politique pendant la campagne présidentielle, que Gérard Noiriel analyse dans ce bref mais dense petit livre. L’histoire, rappelle-t-il d’abord, est à différencier de la mémoire. En France, les premières définitions de l’identité nationale datent du XIXe siècle.

Démontage médiatique d'un mythe médiatiquement (pré) fabriqué Générique sur fond d’images de Bové en action. En incrustation défilent des formules choc : Roi du tracteur ; Casseur de Mac Do ; Vrai-faux paysan ; Manipulateur ? ; Fils de bourgeois ; Sorcier des médias. Une musique expressioniste, saccadée, empruntée à l’émission "Capital", veut nous dire : " On y va, pas de concession. Notre mission : débusquer l’imposture, façon justicier ". Acte 1. Une campagne paisible à 60 kms de Bordeaux. Question fermée du journaliste : " C’est la première fois, en fait, que José Bové a touché une fourche de sa vie ". Joseph, le menton en avant, amorce une expression dubitative de bon sens populaire qui voudrait dire " Qui peut vraiment affirmer une telle chose ". Le journaliste, que la réponse laisse sur sa faim, revient à la charge : " Ca se voyait qu’il n’y connaissait rien ? A sa femme, que le journaliste à perçu plus conforme à ses attentes : " Vous êtes d’accord Madame ? Acte 2. Changement de décor : une ville morne, un clocher qui égrène les heures.

Le design de la visibilité : un essai de typologie du web 2.0 La manière dont est rendue visible l’identité des personnes sur les sites du web 2.0 constitue l’une des variables les plus pertinentes pour apprécier la diversité des plateformes et des activités relationnelles qui y ont cours. Que montre-t-on de soi aux autres ? Comment sont rendus visibles les liens que l’on a tissés sur les plateformes d’interaction ? Comment ces sites permettent-ils aux visiteurs de retrouver les personnes qu’ils connaissent et d’en découvrir d’autres ? La décomposition de l’identité numérique L’identité numérique est une notion très large. L’extériorisation de soi caractérise la tension entre les signes qui se réfèrent à ce que la personne est dans son être (sexe, âge, statut matrimonial, etc.), de façon durable et incorporée, et ceux qui renvoient à ce que fait la personne (ses œuvres, ses projets, ses productions). Cinq formats de visibilité Sur ces deux axes, il est possible de projeter trois modèles de visibilité, auxquels s’ajoutent deux modèles émergents.

Les réseaux sociaux font leur entrée dans la Relation Clients | On en parle beaucoup, ça semble évident : si vos clients passent 1h par jour sur les réseaux sociaux, Facebook en particulier, cela signifie qu’il s’agit d’un point de rencontre possible. Si l’évolution naturelle de Facebook est de favoriser les échanges entre les marques et les communautés, pour générer son revenu, cela devient une place de marché incontournable. Pour autant, on bascule dans un modus operandi complètement différent puisque cet espace de communication est justement constitué pour des relations dites amicales entre « proches ». Comment la marque peut-elle, au delà d’une simple présence publicitaire, prendre part à ces conversations ? Il est opportun de rappeler ici le contenu du Le Cluetrain Manifesto (Manifeste des évidences) paru en 2001 aux Etats-Unis. Parfait, logique, implacable. Mais comment procéder ?

L'image des banlieues - La vie des idées Recensé : Julie Sedel, Les médias & la banlieue, Collection INA | Penser les médias, Éditions Le Bord de l’eau, 2009, 230 pp. , 18€. Dans un livre au style alerte et précis, Julie Sedel restitue l’essentiel de son travail de thèse mené entre 1999 et 2006 dans deux quartiers populaires de la banlieue parisienne et dans les rédactions de plusieurs organes de presse. En mobilisant sociologie, science politique et analyse du discours, elle étudie trois dimensions qui, étroitement articulées, rendent compte de la construction de la représentation médiatique des banlieues : les transformations du monde médiatique, les évolutions économiques, culturelles et sociales des quartiers HLM, les luttes symboliques des différents acteurs concernés pour la production légitime de l’image des banlieues. Le troisième chapitre entre dans le vif du sujet en détaillant les logiques de production de l’information en banlieue. Photo (cc) : Alain Bachellier Pour citer cet article : Nota bene :

Tous sur leurs claviers Etherpad en action (licence CC kjarett) Faire travailler en groupe, en cours, avec leurs ordinateurs portables ou leur mobiles, voilà quel était notre objectif. Avec comme tâche de fond, permettre les échanges au niveau de la classe autant que possible. Et bien sûr, pour que cela puisse marcher, avec les outils les plus simples possibles. Pendant chaque cours, avant ou après un petit exposé, nous proposons aux élèves inscrits dans le cours de réfléchir à une série de questions d’approfondissement ou à un petit problème, de partir à la chasse aux informations par groupes de 4, d’échanger sur ce qu’ils trouvent au sein de ce groupe, et de rédiger ensemble leur réponse. Rien que de très classique, n’est ce pas. Rechercher de l’information : Google reste notre ami ; une présentation courte en introduction permet de suggérer quelques mots clés pour démarrer. Twitter est utilisé pour faire passer quelques informations, mais a surtout permis aux élèves de donner leurs impressions à chaud.

Blog Marketing Web 2.0 et Techno Le service consommateurs est mort, vive le service communautés ! "Les actionnaires, le Président et l’ensemble du Comité de Direction ont la douleur de vous faire part de la mort du Service consommateurs.Ses capacités d'écoute, son sens du client et sa fidélité aux valeurs de la marque doivent rester pour nous comme un exemple à suivre dans les temps obscurs qui nous attendent.Même si ses méthodes semblaient par trop artisanales et que son empathie paraissait exagérée, il n’a pas failli dans sa mission au service du plus grand capital de notre société : nos clients. C'est l'homélie que j'ai envie de prononcer en cette fin d'année comme diacre auto-désigné de l'Eglise du client. Le service consommateurs, tel que nous l'avons connu, est mort. Fini les gadgets, la gestion prend le dessus Il est grand temps de repenser le rôle de ce service au sein des entreprises. Quelle organisation ? Le Community manager prendra sa place dans un service de management des communautés, de façon transversale qui plus est.

Fabric° soc. d’1 individu Regardez cet entretien en vidéo Lire le texte de l’entretien Écouter ou téléchargez cet entretien au format audio mp3 Bernard Lahire est né à Lyon en 1963. Actuellement Professeur de sociologie à l’École Normale Supérieure Lettres et Sciences Humaines (depuis 2000) et directeur du Groupe de Recherche sur la Socialisation (UMR 5040 CNRS, depuis 2003), il a été successivement maître de conférences (1992-1994) puis professeur (1994-2000) de sociologie à l’Université Lumière Lyon 2 et membre de l’Institut Universitaire de France (1995-2000). Entretien avec Bernard Lahire, sociologue Si cette vidéo ne marche pas malgré la présence de Flash ou que vous ne pouvez pas installer Flash (par exemple sur mobile), vous pouvez la voir directement sur Dailymotion. La vie des idées : Bernard Lahire, vous êtes sociologue, Professeur à l’Ecole Normale Supérieure – Lettres et Sciences Humaines de Lyon et directeur du Groupe de Recherche sur la Socialisation. Un cas classique, c’est l’école. Entretien avec B.

Univers Netvibes et documentation Netvibes, portail français personnalisable, constitué par des pages onglets, est connu surtout pour être un agrégateur de flux RSS. Très facile d’utilisation, sa simplicité en a fait sa renommée.Une simple page à laquelle on ajoute des widgets, (contraction de « Windows Gadget ») et/ou des fils RSS. Dès l’accueil, une série de « widgets »- modules interactifs téléchargeables - est proposée pour constituer sa page. On choisit le widget selon ses besoins, chaque widget a sa fonction propre : Bookmarks, Web note, widget lien etc... Créer un univers Netvibes public Trois étapes sont nécessaires pour l’instant : Vous trouvez le lien pour créer le compte Netvibes en haut à droite de la page Netvibes. Créer une connexion pour sauvegarder sa page Vous tapez votre adresse de messagerie en login et un mot de passe que vous avez créé. Pour vous connecter à la page privée Vous pouvez maintenant créer votre page privée Netvibes Barre du menu en bas de page Vous recevrez un code visiteur par messagerie.

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