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France : Le scandale de la viande de cheval résumée en cinq points

Ce scandale agroalimentaire majeur touche de nombreux industriels et pays européens. Il a mis en lumière la complexité du commerce de la viande en Europe. A- Comment le scandale a éclaté L'affaire éclate en trois temps. Mi-janvier, les autorités sanitaires britanniques découvrent que des steaks hachés certifiés pur bœuf produits en Irlande contiennent de la viande de cheval. B - Les protagonistes de l'«affaire Findus» • Comigel et ses clients Ce n'est pas Findus qui a produit les lasagnes incriminées, mais un sous-traitant français basé à Metz, Comigel. L'implication de Comigel donne une nouvelle ampleur au scandale dans la mesure où la société fabrique des plats préparés pour au moins 28 entreprises dans 13 pays dont différents gros distributeurs tels que Picard, Carrefour, Auchan, Monoprix, etc. » Viande de cheval: les recettes varient selon les marques • Spanghero C'est cette entreprise française de transformation de viande qui a fourni à Tavola les pains de viande frauduleux. Related:  elisatomines

Le scandale de la viande de cheval touche la Russie - Russie Vingt-et-un pays - surtout en Europe - sont maintenant concernés par le scandale de la viande de cheval. De plus en plus de pays dans le monde testent les viandes importées d'Europe et trouvent du cheval mélangé au bœuf. C'est le cas notamment en Russie. Les produits analysés viennent d'Autriche mais pour l'instant, personne ne sait d'où vient la viande qui les composait. De même, Ikea - le grand distributeur suédois - a retiré de la vente ses boulettes de viande, en Suède et dans 25 autres pays, en Europe mais aussi en Malaisie et en Thaïlande. Hong Kong a aussi retiré les lasagnes Findus de la vente, celles par lesquelles le scandale est arrivé, mais l'affaire est bien européenne avant tout. Impossible pour l'instant de connaître la véritable ampleur de cette fraude, s'il s'agit de cas isolés ou d'un réseau de tromperie organisé à grande échelle.

Principe de précaution Le principe de précaution est une disposition définie et entérinée lors du sommet de Rio de 1992[1]. Cette disposition expose que malgré l'absence de certitudes, à un moment donné, dues à un manque de connaissances techniques, scientifiques ou économiques, il convient de prendre des mesures anticipatives de gestion de risques eu égard aux dommages potentiels sur l'environnement et la santé. Plusieurs affaires et débats ont favorisé son déploiement en tant que principe : les OGM, le bisphénol A[2], le sang contaminé. Origine[modifier | modifier le code] Le principe de précaution est formulé pour la première fois dans un sens autre que scientifique, en 1992, dans le principe 15 de la Déclaration de Rio[1]: « En cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l'absence de certitude scientifique absolue ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l'adoption de mesures effectives visant à prévenir la dégradation de l'environnement. » Philosophie[modifier | modifier le code]

Le scandale alimentaire, scénario à répétition du secteur agroalimentaire et de la grande distribution Lait aux salmonelles, graines germées tueuses, lasagnes à la viande de cheval… les crises sanitaires, aux conséquences plus ou moins dramatiques, illustrent la complexité du circuit alimentaire actuel. La répression des fraudes a fait savoir qu’elle était en train de procéder à des contrôles partout en France pour vérifier que les produits avaient bien été retirés des rayons et des stocks dans toute la chaîne de la distribution, des magasins aux hôpitaux en passant par les pharmacies. Cette affaire illustre, une nouvelle fois, les dysfonctionnements du secteur industriel alimentaire français, alors que le patron du distributeur Leclerc, Michel-Edouard Leclerc, a reconnu « l’existence de défaillances » dans son enseigne. Un constat qui se répète depuis la montée en puissance du modèle agroalimentaire intensif, avec un scénario récurrent : un produit, qui n’aurait pas dû être là, se retrouve dans les assiettes des consommateurs. Eté 2017 : du fipronil dans les œufs

Viande de cheval: un quart des Français boude... - Frais LS et produits surgelés Un quart des consommateurs français déclare avoir cessé de consommer des plats cuisinés à base de viande de bœuf depuis le scandale lié à la découverte de cheval dans des plats cuisinés censés contenir du boeuf, selon un sondage que publie ce vendredi BVA. 22% des Français de cet échantillon qui consommaient de la viande et des plats cuisinés à base de viande avant l'affaire ont décidé de bannir de leur consommation les plats cuisinés toutes viandes confondues. Une majorité de Français (55%) considère que cette tromperie sur la nature de la viande est "une affaire vraiment grave car on a menti sur la composition de certains produits". Même mécanique que pour la vache folle Mais 44% pensent plutôt que "c'est une affaire pas si grave que ça car il n'y a pas de mise en danger de la santé des consommateurs". Les plus âgés et les plus riches ont modifié leurs comportements Le sondage BVA a été effectué auprès de 1013 personnes entre le 28 février et le 1er mars.

Traçabilité alimentaire => vache folle La traçabilité désigne la situation où l'on dispose de l'information nécessaire et suffisante pour connaître (éventuellement de façon rétrospective) la composition d'un matériau ou d'un produit du commerce tout au long de sa chaîne de production, de transformation et de distribution. Et ce, en quelque endroit que ce soit, et depuis l'origine première du produit jusqu'à sa fin de vie, soit comme dit l'adage :« du berceau jusqu'à la tombe » pour les produits industriels, ou du slogan « de la fourche à la fourchette » pour un produit agricole alimentaire. Les règles et bonnes pratiques en matière de traçabilité sont déterminées par des normes et/ou des organismes de Contrôle nationaux ou internationaux. Ainsi, dans l'Union européenne, la traçabilité des aliments est sous le contrôle de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA). Enjeux de la traçabilité[modifier | modifier le code] Intérêt de la traçabilité[modifier | modifier le code] En Europe[modifier | modifier le code]

problematik LSA - actualité consommation des ménages et grande distribution en France Crise de la vache folle La crise de la vache folle est une crise sanitaire devenue socio-économique caractérisée par l'effondrement de la consommation de viande bovine dans les années 1990, car les consommateurs se sont inquiétés de la transmission de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) à l'homme via l'ingestion de ce type de viande. Cette épidémie trouverait son origine dans l'utilisation pour l'alimentation des bovins de farines animales, obtenues à partir de parties non consommées des carcasses bovines et de cadavres d'animaux. L'épidémie a pris une tournure particulière quand les scientifiques se sont aperçus en 1996 de la possibilité de transmission de la maladie à l'homme par le biais de la consommation de produits carnés. La maladie a fait, au 24 janvier 2017, 223 victimes humaines dans le monde — dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France —[1], touchées par des symptômes proches de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, une maladie de même nature que l'ESB. Épidémiologie[modifier | modifier le code]

Influence du packaging sur l'achat des consommateurs: cas de Malta Guinness au Cameroun - Patrick Félicien NKAMBA L'achat des produits en grande surface est souvent régit par des paramètres qui peuvent agit au su ou à l'insu du consommateur. En psychologie, on entend plus parler de stimuli pour les évoquer ; et en marketing cette expression semble de plus en plus être adoptée par les auteurs. Le packaging peut ainsi apparaitre comme ce stimulus qui influence sur l'achat de son produit. Pour les entreprises et particulièrement celles produisant des biens de grande consommation, le packaging est un élément important du marketing du produit. Face au choix d'éléments du packaging qui influencent les consommateurs, de nombreux auteurs s'attardent plus sur l'aspect physique (forme et couleur) de ce dernier pour justifier l'attraction effectuée sur les consommateurs. Pour Pantin-Sohier (2009), la couleur et la forme sont les deux éléments essentiels pour éveiller le sens visuel du consommateur et de produire chez lui une forme d'attraction. Ø Le consommateur bon élève : il lit les informations.

Affaire Findus : les bons remèdes contre la mauvaise réputation Comme Findus, enferré dans «l'affaire de la viande de cheval», les entreprises confrontées à une crise d'image s'évertuent à trouver les bons mots pour garder la confiance de leurs consommateurs. Quitte à recourir à des méthodes un tantinet intrusives vis-à-vis des rédactions. Assumer, contre-attaquer... La méthode idéale existe-t-elle ? Par le passé, les grandes entreprises impliquées dans des scandales ont adopté des stratégies très différentes. La preuve en quatre exemples classiques. Perrier : une réaction trop radicale ? Cultivant une image raffinée, mais excentrique, («Perrier, c'est fou!») Après un temps de latence, l'entreprise répond de manière radicale : des dizaines de millions de bouteilles sont retirées de la vente dans le monde entier, pour un coût colossal. Le retrait massif était-il appropriée ? LCL, Thomson : nouveau nom pour nouvelle vie ? Trop durablement associé à des turpitudes, un nom peut devenir un handicap. Un exemple qui n'a rien d'unique.

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