background preloader

Adhocratie

Adhocratie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'adhocratie est un néologisme (provenant du terme latin « ad hoc ») utilisé pour désigner une configuration organisationnelle qui mobilise, dans un contexte d’environnements instables et complexes, des compétences pluridisciplinaires et transversales, pour mener à bien des missions précises (comme la résolution de problèmes, la recherche d'efficience en matière de gestion, le développement d'un nouveau produit, etc.). L’adhocratie a d'abord été formulée par Alvin Toffler dans Le choc du futur (1970) puis a été popularisée par Robert Waterman Jr. dans Adhocracy. The power to change (1990). Ce concept organisationnel s'oppose à la bureaucratie. L'expression « ad hoc » indique en effet que les personnes choisies dans l'organisation travaillent dans le cadre de groupes-projets peu formalisés qui bénéficient d'une autonomie importante par rapport aux procédures et aux relations hiérarchiques normalement en vigueur. Related:  rbouyafriReconstitution

Vers la fin de l’actualité « Cratyle.net La crise du journalisme est l’ébranlement d’un monopole. Le mouvement est déjà largement discuté, mais ses causes et ses effets n’ont pas fini d’ébranler notre manière de voir le monde. C’est que le monopole était bien plus profond qu’on ne l’a souvent écrit. Ce n’était pas le seul monopole du choix, de l’ordonnancement et de l’interprétation d’information; car l’information n’existe simplement pas sans être choisie, ordonnancée et interprétée. C’était le monopole de la construction de l’information, c’est-à-dire de la construction du fait d’actualité, c’est à dire finalement la construction du concept même « d’actualité ». Il n’existait pas « d’actualité » avant l’invention de l’imprimerie et le développement corolaire du journalisme. Que l’on réfléchisse surtout à la nature profondément monopolistique d’un « choix d’actualité ». Les nouveaux médias annoncent la fin de l’actualité. Tags: Journalisme, nouveaux médias, Theorie

Les apports de Henri Mintzberg L'approche systémique pour mieux comprendre les organisations Les apports de Henri Mintzberg L'approche systémique pour mieux comprendre les organisations Dominique Grootaers, Le GRAIN asbl, 14 décembre 2005 Henry Mintzberg est une figure de référence internationale dans le domaine de la sociologie des organisations. Le canadien Henri Mintzberg est apparu depuis les années 70 et 80 comme le théoricien de référence dans le domaine de l’analyse des organisations. Au fur et à mesure des essais de Henri Mintzberg s’est profilée une théorie qui est depuis lors abondamment utilisée, commentée et soumise à la critique et qui s’avère d’un intérêt fondamental pour analyser une organisation avant d’envisager la manière d’y opérer un changement. L’apport majeur de Mintzberg est d’avoir élaboré une typologie permettant de catégoriser les diverses composantes internes d’une organisation. 1. Mintzberg distingue en effet trois composantes essentielles des organisations, étroitement coordonnées entre elles : 1.1. 1.1.1. La dimension verticale 1.1.2. 1.2. 1.3. 2.

Open innovation et Intelligence collective : des outils pour repenser modèles économiques, produits et services | SUV [sens & utilités en vrac] Des termes barbares ? Simplement tendance ? Ou de vrais outils pour les organisations qu’elles soient privées ou publiques ? La pratique me fait dire que l’Open Innovation et l’Intelligence Collective nous offrent des boulevards pour réinventer les modèles économiques de nos entreprises, repenser les services de nos institutions et co-concevoir les produits et services adaptés à nos besoins. Source : opensource.com L’Open Innovation est un terme adopté par Henry Chesbrough, professeur et directeur du Centre d‘Open Innovation au Haas Business School de l’Université de Californie. Le terme Intelligence Collective englobe une diversité de méthodes permettant aux participants d’un groupe de contribuer à un objectif commun avec leurs capacités cognitives. Ces deux notions n’ont pas été très présentes dans les pratiques du 20e siècle… Le 20e siècle : des méthodes marketing qui sont passées à côté de l’intelligence des consommateurs… que veulent vos clients?

Les reconstitutions napoléoniennes : Entretien avec Emile Kern – Histoire Magazine Cette fois, nous vous proposons de découvrir ces « fous de l’histoire » qui, en tous lieux et par tous les temps, s’efforcent de donner corps à l’épopée napoléonienne. Animés d’une passion contagieuse et d’un constant souci d’exactitude historique, les voilà qui font revivre le passé sous nos yeux et devant l’objectif des caméras de télévision. Pour nous, l’historien Emile Kern analyse de manière fine un phénomène qui a connu en 2015 son point d’orgue avec la commémoration du bicentenaire de la bataille de Waterloo. F.T.H. : En ces temps de commémoration du bicentenaire de la bataille de Waterloo, beaucoup de spectacles vivants ont lieu. Emile Kern : La reconstitution historique est une pratique qui consiste à recréer certains aspects d’un événement passé, d’une période historique ou d’un mode de vie précis, en s’appuyant sur des éléments matériels reproduisant celui de la période concernée (vêtement, mobilier, armement, etc.). L’Italien Roberto Colla est âgé de 55 ans. Pour approfondir

Combien d’information consommons-nous Les lieux communs voudraient que la télé, la musique et les jeux vidéos nous aient depuis longtemps détournés du monde écrit. Pas si sûr, répondent des chercheurs du Centre pour l’information globale de l’université de Californie : nous lisons plus de mots que nous ne le faisions avant les nouvelles technologies. Alors que la lecture était en déclin sous la concurrence de la télévision, celle-ci reprend du poil de la bête grâce aux nouvelles technologies, explique l’étude (.pdf) de Roger Bohn et James Short sur la quantité d’information que consomment les Américains – une étude qui fait bien sûr référence à celle menée en 2000 et 2003 par Hal Varian et Peter Lyman. Les Américains ont englouti quelque 3,6 milliards de teraoctets d’information en 2008, soit 11,8 heures d’information par jour et par personne (contre 7,4 heures en 1980) : autant dire que nous sommes soumis à un flot d’information continu. Via Wired. Sur ces mêmes sujets Aucun article relatif

Dynamique des Structures Dans son célèbre ouvrage Structure et dynamique des organisations, H. Mintzberg définit la structure d'une organisation comme "la somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre tâches distinctes pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches". 1. Cinq mécanismes expliquent les moyens fondamentaux par lesquels les organisations coordonnent leur travail : - l'ajustement mutuel : coordination du travail par simple communication informelle, - la supervision directe : mécanisme de coordination par lequel une personne se trouve investie de la responsabilité du travail des autres, - la standardisation des procédés : le contenu du travail est spécifié ou programmé (ex : mode d'emploi, gamme de fabrication), - la standardisation des résultats : par exemple, spécification des dimensions du produit ou de la performance à atteindre, - la standardisation des qualifications : spécification de la formation de celui qui exécute le travail. H. Haut - le centre opérationnel 4. 5.

Troupe de reconstitution celte  » Arverni » | Armae La troupe de reconstitution « Arverni » regroupe des femmes et des hommes passionnés d’histoire et d’archéologie celtique. Nous essayons de reconstituer la façon de vivre et les techniques artisanales du peuple Arverne du début du 1er siècle avant J.C. jusqu’à la Guerre des Gaules, dans son contexte géographique et historique. D’une façon plus large nous souhaitons présenter la civilisation et la société gauloises sous un jour plus conforme aux données scientifiques et archéologiques récentes, en rectifiant un certain nombre de clichés et d’idées reçues souvent caricaturales entretenues par les médias. Nos activités comprennent l’artisanat, avec forge, bronze, métaux repoussés, frappe de monnaie, facture d’arc, fabrication de fibules, de cottes de maille, tissage aux tablettes, cuir, poterie, vetement, sculpture, travail de l’os et de la corne. En matière d’art culinaire, il s’agit de cuisine gauloise et de fabrication de cervoise et de bière.

Le net en clair obscur Dans le cadre de notre carnet de route consacré au privacy paradox, nous avons rencontré cette semaine Dominique Cardon, sociologue au Laboratoire des usages d’Orange Labs et chercheur associé au Centre d’études des mouvements sociaux (CEMS/EHESS). Spécialiste des comportements sur internet et des réseaux sociaux, il a mené en 2009 avec la FING (la Fondation Internet Nouvelle Génération) et FaberNovel, l’étude SocioGeek qui vise à mesurer l’impudeur des internautes et à comprendre la façon dont on choisit ses amis sur les sites sociaux. RSLNmag.fr : Comment analysez-vous le concept du privacy paradox ? Dominique Cardon : D’abord les internautes ont une certaine conscience de ce qu’ils font sur le net. Quand on les interroge, ils laissent entendre clairement qu’ils ont peur de voir leurs données manipulées et en même temps, ils bloguent, publient leurs photos sur internet et s’exposent de différentes façons. Il y a un décalage entre les pratiques et la représentation. C’est-à-dire ?

Philippe Corcuff : Figures de l’individualité, de Marx aux sociologies contemporaines. Entre éclairages scientifiques et anthropologies philosophiques. Philippe Corcuff a L’opposition de l’individuel et du collectif est souvent apparue comme un axe structurant pour la sociologie. Un des « pères fondateurs » de la sociologie universitaire française, Émile Durkheim, a ainsi fortement contribué à établir une séparation disciplinaire nette entre l’individuel et le collectif, le premier revenant à la psychologie et le second à la sociologie. La sociologie a-t-elle alors quelque chose à dire sur l’individualité, en tant que singularité, c’est-à-dire unicité irréductible ? Quelques questions épistémologiques introductives. Avant d’entamer la discussion proprement dite sur les sociologies de l’individualité, il nous faut clarifier deux problèmes qui seront engagés dans l’analyse : 1er) le rapport à la polarisation méthodologique traditionnelle entre holisme et individualisme, et 2e) le statut dans la recherche sociologique de ce qui est appelé « anthropologies philosophiques ».

LaLance Arverne - Troupe de reconstitution protohistorique "les Arverni" Artisans et guerriers Arvernes au 1er siecle avant JC Comment l’internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (1/5 Par Hubert Guillaud le 09/02/10 | 12 commentaires | 18,511 lectures | Impression “Comment l’internet transforme-t-il la façon dont vous pensez ?”, telle était la grande question annuelle posée par la revue The Edge à quelque 170 experts, scientifiques, artistes et penseurs. “Une nouvelle invention a émergé, un code pour la conscience collective qui nécessite une nouvelle façon de penser”, explique John Brockman, l’éditeur de The Edge. L’internet change la façon dont nous décidons Pour le physicien Daniel Hillis, le réel impact de l’internet a été de changer la façon dont nous prenons des décisions. “Nous avons incarné notre rationalité dans nos machines et leur avons délégué nombre de nos choix et de ce fait nous avons créé un monde au-delà de notre propre compréhension. Pour Marissa Mayer de Google, “l’internet n’a pas changé ce que l’on sait, mais ce que l’on peut trouver”. Un modèle de conception L’internet nous empêche de le comprendre Hubert Guillaud Sur ces mêmes sujets

Related: