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Un levier politique

Un levier politique
Assez récemment, une invention provenant des Etats-Unis envahit notre espace culturel. Celui du discours sur les générations, dans l'ordre historique : Boomers, Gen X, Gen Y. On avait jusqu'ici pour nous satisfaire, la querelle de l'ancien et du moderne, qui était assez simple à comprendre puisqu'il s'agissait de mettre en scène les évolutions des goûts et des mœurs avec les figures du combat. Dans cette note du blog d'Eric S. Et l'on comprend mieux, à l'heure actuelle, ce souhait profond de commencer à diviser les générations entre elles, pour mieux faire passer certains discours marketing, d'entreprises, ou de politique pure. Certes, ce n'est pas la première fois que l'on vient faire les yeux de l'amour à la jeunesse, ni la dernière. en référence à : Armed and Dangerous » Blog Archive » Brother, Can you Paradigm? Related:  Management intergénérationnel

La Génération Y : des pilotes de course qui doivent passer leur Que l’on se fie à une récente étude d’Accenture ou à tout ce qui peut se dire et s’écrire çà et là (liste trop longue pour être publiée ici), la génération des Millenials ou des Digital Natives va considérablement faire changer la manière dont on travaille en entreprise. Quelque part c’est une chance inouïe tant ils ont les réflexes qu’on demande à des collaborateurs dans une entreprise agile, interconnectée. Mais toutes les études semblent également s’accorder sur un point un peu moins reluisant : leur très faible niveau de compréhension des enjeux de l’entreprise que ce soit au niveau opérationnel ou au niveau de la nécessaire gouvernance de l’information. En quelques sorte des pilotes de course qui devraient encore leur “permis de conduire en entreprise”. Vous me direz que nous n’en savions sans doute guère plus qu’eux lorsque nous avons fait nos débuts. Soit. Alors, on ressort le bon vieux rapport d’étonnement des cartons ? Google+

Millennials Are Like You and Me, Only Different There’s nothing that different about Millennials that age doesn’t explain. So concludes an interesting study by the Kenexa High Performance Institute on the work attitudes of Millennials. “Millennials are, in fact, much like their older counterparts,” says the study authors, who compared the results of current surveys and historic surveys of Boomers and Gen Xers. What they found is that contrary to the stereotype of being a malcontented, coddled, naive lot, Millennials, the Gen Y generation, are in many ways more satisfied than their older counterparts. “The data refutes the ‘millennial malcontent’ stereotype,” write authors Brenda Kowske and Rena Rasch. As part of Kenexa’s WorkTrends survey of some 30,000 workers in 28 countries, they asked a series of attitude questions, finding that 60 percent of Millennials are “extremely satisfied” with where they work. The prevailing wisdom that Millennials hired today probably won’t stay for long does turn out to be true.

Mythes et réalités de la génération Y | Le blog groupe Reflect Mythes et réalités de la génération Y Il ne manque pas de billets et d’alerte pour nous dire tous les jours que les petits jeunes arrivent, pensent et font différemment, sont nativement digitaux, sinon ont muté du cerveau. Il est en tous les cas certain que toute marque ou organisation qui ne s’intéresserait pas à la première vraie génération digitalisée prend un risque de décalage inconsidéré d’avec ses publics. Derrière la mythologie, il est bon parfois de descendre sur terre et de constater par soi-même. L’occasion s’est très récemment présentée à moi puisqu’une école d’ingénieur a souhaité que j’évangélise toute une promotion aux joies des médias sociaux, problématique de la recherche d’emploi et de la modernité des réseaux sociaux d’entreprise oblige. Cela m’a permis de consolider diverses confrontations du genre, et un peu mes perceptions. Je me suis fendu d’un petit quizz qui a montré qu’ils sont tous connectés. Et hop, un petit goodie culte pour mettre en perspective …

Les 24 styles de management dans le monde Les styles de leadership et de management varient selon les pays. On ne dirige pas une entreprise de la même manière en Allemagne, au Japon, aux Etats-Unis, en Suède ou en France. Tout est une question de culture. Dans son livre "When culture Collide", publié en 1996, le linguiste britannique Richard D. Lewis a classé les différences de culture du leadership selon les pays. Cette méthode, (résumée dans les 24 schémas ci-dessous) il la dispense désormais lors de séminaires pour de grandes entreprises. On y apprend notamment, comme le résume Business Insider, que les Britanniques sont plutôt "diplomates", ils aspirent à trouver un compromis juste, tout en étant parfois rudes en affaires. De leur côté, les managers américains sont plutôt agressifs et orientés vers les résultats avant tout. Selon Lewis, ces comportements n'évoluent pas trop avec le temps et restent une bonne grille de lecture, "même dans les pays où la croissance économique est rapide".

De l’intérêt de ne pas façonner la génération Y > Entreprise La génération Y, vous connaissez ? Mais si enfin, ces jeunes qui sont nés avec internet et qui sont multi-tâches. “Nés avec Internet” ? Oui et alors ? Partant du principe qu’ils n’ont pas eu accès à un ordinateur connecté au web avant l’âge de 10 ou 15 ans, sont-ils nécessairement plus expérimentés que les autres (les vieux) qui manipulent l’outil informatique depuis 20 ou 30 ans ? “Multi-tâches” ? Pourquoi est-ce que je vous raconte ça ? Mais le sont-ils réellement (différents) ? Mais c’est là tout l’enjeu de cette “non-intégration” : ne pas les façonner à la sacro-sainte culture d’entreprise mais exploiter plutôt leur candeur pour remettre en cause l’existant et trouver des pistes d’amélioration dans des directions que les plus anciens n’osent plus emprunter. Est-ce utopique de penser ça ?

Le management intergénérationnel (Partie 1) Introduction : « Chaque génération se croit plus intelligente que la précédente et plus sage que la suivante », disait George Orwell. Aujourd’hui, certaines organisations voient trois et même parfois quatre générations cohabiter et tenter de travailler ensemble. I. A.Le constat d’un contexte de diversité générationnelle dans les organisations Aujourd’hui, quatre générations de travailleurs actifs, aux attitudes, aux attentes et aux aspirations différentes, cohabitent dans les organisations et doivent collaborer ensemble. La génération des baby-boomers, nés entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et le début des années 60 ;La génération X, nés entre le début des années 60 et le début des années 80 ;La génération Y, nés entre le début des années 80 et le milieu voire la fin des années 90 ;La génération Z, nés entre le milieu voire de la fin des années 90 et 2010. Sources : Saba, Tania. 2009. B.Les conséquences de la diversité générationnelle dans les organisations C. D. E. a. b. II. A.

La “generation Y” en a assez des “pourquoi ?” | Owni.fr Cet article sous forme de manifeste, publié en mai 2009, fait la liste de tout ce qui agace les fameux "digital natives". Il est toujours cruellement d'actualité. C’est une tarte à la crème, un cliché à la vie dure, mais la génération Y, ou génération numérique, ou génération digitale, ou encore génération du pouce (SMS & consoles de jeux) est là, et bien là. On ne veut plus des “pourquoi vous n’êtes pas politisés ?” C’est une contre-vérité car nous votons et débattons, la jeune génération est en revanche très méfiante vis-à-vis des appareils politiques. On ne veut plus des “pourquoi vous n’engagez pas la lutte sociale ?” Heu… le CPE, les stagiaires anonymes, le chômage des jeunes si élevé, l’insertion sociale impossible, la banque qui se fait pénible dès le début de la vie indépendante, un État criblé de dettes pour le maintien du niveau de prestations d’une génération qui aura tout conquis et tout croqué, ça vous dit quelque chose ? On ne veut plus des “pourquoi tu ne te maries pas ?”

Des compétences aux capabilités (Partie 2) Introduction : « L’honneur sans mérite est un fardeau, la compétence reconnue est un bonheur », écrivait William de Britaine en 1755. Le siècle dernier a donc marqué le développement de la compétence dans les organisations, comme logique de gestion mais aussi de recrutement, d’évaluation et de formation. Cette diffusion générale accompagne le mouvement d’individualisation du travail et donc de gestion individualisée de chaque collaborateur. Cette approche, largement généralisée au siècle dernier, devient difficile à déployer dans les organisations actuelles, en raison de la diversité des contextes et de la complexité des rapports humains au travail. Si elle présente l’avantage de pouvoir élaborer des grilles d’analyse et de critériser la « performance », à partir de la notion de compétence, elle devient également problématique du fait de la difficulté à la cerner réellement. I. A. La compétence est finalisée, c’est-à-dire qu’elle vise un objectif défini. C. II. C. Bibliographie

Une génération d’illettrés? “Les plus jeunes n’écrivent plus.” “Ils ne connaissent rien à l’art de l’écriture.” “C’est la faute à toutes ces technologies modernes.” Les apparences Ce genre d’avis nous les avons tous et toutes entendu. Que ce soit à la télévision ou dans des conversations familiales, il y a toujours quelqu’un pour ramener le sujet sur la table, surtout au moment de la rentrée des classes. Notez d’ailleurs le ton négatif des phrases, qui ne font que se plaindre et en général n’apportent aucune solution. Alors, vous pensez bien que lorsque j’ai découvert qu’Andréa Lunsford, une éminente professeur de l’université de Stanford aux États-Unis s’était très sérieusement penchée sur le sujet, j’ai été très curieux de connaître les résultats de son étude. La naissance d’une nouvelle forme d’écriture Incroyable pour certains et pourtant vrai: ces jeunes étudiants écrivent plus que n’importe quelle génération qui les a précédé. Pour vous en convaincre, remontez à tout juste 15 ans. Regardez maintenant.

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