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Comment nos neurones « attrapent » les émotions des autres

Comment nos neurones « attrapent » les émotions des autres
Voici le quatrième article sur les richesses incommensurables du cerveau ! L'article s'inspire du livre Votre cerveau n'a pas fini de vous étonner de Patrice Van Eersel, rédacteur en chef du magazine Clés. M. Van Eersel poursuit ici les découvertes sur la neuroscience. Il met aussi en scène les recherches de Daniel Goleman, auteur du livre L'intelligence émotionnelle, et d'un nouveau livre L'intelligence relationnelle. La neuroscience sociale Grâce au perfectionnement des techniques d'imagerie corticale, en particulier le scanner à résonance magnétique nucléaire fonctionnelle (IRMf), qui permet de visualiser avec une précision de plus en plus fine, les zones actives de notre cerveau lorsque nous agissons, pensons, parlons, rêvons, et surtout, quand nous entrons en contact avec une personne, une nouvelle discipline a pris naissance dans les années 1990 : la neuroscience sociale. Comment nos neurones « attrapent » les émotions des autres ? Les neurones des femmes et des hommes

Votre cerveau ne meurt jamais -- La Science de l'Esprit Juliette Demey Le JDD dim., 28 oct. 2012 13:11 CDT Les neurones du cerveau se fabriquent tout au long de la vie. (Reuters) Contrairement à l'idée communément admise, nous pouvons fabriquer des neurones à tout âge. Bonne nouvelle : contrairement à une idéee reçue, notre cerveau ne cesse pas de produire des neurones à l'âge adulte! Au fil des expériences, l'équipe a compris que cette plasticité du cerveau, fondée sur sa capacité à s'auto-régénérer, ne perdure qu'à cinq conditions : se préserver de la pollution visuelle et sonore ; éviter la consommation chronique de psychotropes ; pratiquer 15 minutes d'activité physique par jour ; lutter contre l'isolement social ; enfin, continuer à s'émerveiller, "c'est-à-dire comprendre plutôt que savoir. L'indispensable protéine-aimant Deux autres découvertes majeures ont suivi. Vers une mémoire "augmentée" Ces avancées ouvrent la voie à une médecine "régénérative". * Le Cerveau sur mesure , avec Jean-Didier Vincent ( éd.

Le cerveau aux commandes de notre santé Et si un jour nous étions capables d'agir sur le fonctionnement de notre cerveau afin d'augmenter notre mémoire, notre concentration ou encore la perception de nos sens ? Invité dans une émission de radio, Denis Le Bihan, directeur de Neurospin, présente les dernières expériences menées à l'aide de la neuro-imagerie, démontrant les capacités extraordinaires de notre cerveau sur notre santé. Lors de l’émission Science Publique du 12 octobre 2012, que j’ai animée sur France Culture, il est arrivé ce qui se produit parfois lors d’une émission de radio. La douleur disparaît « Mais le cerveau peut aussi se soigner lui-même », a alors lancé Denis Le Bihan. Cela s’appelle le biofeedback par IRM. Résultats également positifs sur la maladie de Parkinson. Un divan en forme de miroir Et d’envisager, encore avec prudence, ce que peut être l”avenir de l’IRM : « Il est encore trop tôt cependant pour dire si le lit de l’imageur IRM remplacera un jour le divan des cabinets de psychiatrie ».

Notre cerveau à l’heure des nouvelles lectures Maryanne Wolf, directrice du Centre de recherche sur la lecture et le langage de l’université Tufts est l’auteur de Proust et le Calmar (en référence à la façon dont ces animaux développent leurs réseaux de neurones, que nous avions déjà évoqué en 2009). Sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel au Centre Pompidou, la spécialiste dans le développement de l’enfant est venue évoquer « la modification de notre cerveau-lecteur au 21e siècle » (voir et écouter la vidéo de son intervention)… Image : Maryanne Wolf face au public sur la scène du Centre Pompidou, photographiée par Victor Feuillat. Comment lisons-nous ? « Le cerveau humain n’était pas programmé pour être capable de lire. La présentation de Marianne Wolf via l’IRI. Pour autant, le circuit de la lecture n’est pas homogène. Ce qui stimule le plus notre cerveau, selon l’imagerie médicale, c’est d’abord jouer une pièce au piano puis lire un poème très difficile, explique Maryanne Wolf. Notre avenir cognitif en sursis ?

Le cerveau, l'arme secrète des karatékas Une équipe de chercheurs britannique s'est intéressée aux performances physiques des karatékas. Ils se sont aperçus que l'entraînement intensif en arts-martiaux développe de puissantes connexions à l'origine d'une meilleure synchronisation et coordination des mouvements des bras et du corps. Que serait le corps sans esprit et inversement, que serait l'esprit sans corps. Si les deux ont un besoin nécessaire de cohabiter, il semblerait bien que chez les karatékas, l'un soit plus important que l'autre. C'est du moins ce que suggère une étude menée par des chercheurs britanniques et parue dans la revue Cerebral Cortex. En effet, selon celle-ci, c'est la puissance des connexions du cerveau des karatékas qui leur fournirait la force nécessaire pour briser planches et autres briques à mains nues. Au cours de cette étude, les scientifiques souhaitaient en fait en savoir plus sur l'impact cérébral que peut avoir un entraînement intensif aux arts martiaux. Quand le cerveau entre en jeu

Lumières sur les neurones LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par David Larousserie Désormais, dire que l'on voit le cerveau en activité ne sera plus un abus de langage. En effet, les techniques habituelles d'imagerie du cerveau complet n'utilisaient jusqu'alors pas vraiment l'arsenal habituel de l'optique : lumière, lentilles ou caméras. Mais plusieurs équipes ont montré récemment qu'il est enfin possible, dans le domaine visible, d'avoir accès à un cerveau complet, in vivo ou in vitro, à l'échelle d'un seul neurone et en trois dimensions. Ce n'est en pratique pas simple d'utiliser la lumière pour observer ces cellules. C'est donc plusieurs tours de force qu'o...

Hacking du cerveau : toujours plus loin ! Pour compléter mon article sur les "pirates" (gentils) du cerveau, voici la version longue de l'introduction et quelques liens. Le visiteur note vite que cette conférence scientifique n’a rien de typique. Pas de programmes des interventions : ce qui veulent parler inscrivent leurs noms sur un papier qui circule dans l’amphi. Pas vraiment d’exposés de plusieurs minutes non plus. (suspens...) La suite est plus sérieuse autour de l’open data en neuroimagerie, visiblement encore assez balbutiant. Un texte résume très bien la situation avec les avantages et les freins de l’open access. Un texte de référence d’un des plus actifs et militants sur le sujet Michaël Milham Un exemple d’article récent ayant bénéficié de cette ouverture des données, par des co-organisateurs de Brainhack Paris. Et une sélection d’articles pointant ce qui ne va pas dans la neuroimagerie (ce qui en soit pourrait faire un sujet !) Signaler ce contenu comme inapproprié

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