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Internet, un outil de la démocratie ? - La vie des idées

Internet, un outil de la démocratie ? - La vie des idées
Depuis qu’internet commence à se diffuser dans le grand public, une controverse réapparaît régulièrement : ce nouveau dispositif de communication favorise-t-il le débat démocratique ? Cette discussion a trouvé une nouvelle actualité avec l’apparition des blogs et plus largement des applications du web 2.0 qui permettent à l’internaute de s’exprimer encore plus facilement que précédemment. Internet, contrairement à la radio ou à la télévision, met en situation d’égalité l’émetteur et le récepteur, c’est donc, à première vue, l’outil idéal pour une démocratie participative où le citoyen pourrait intervenir très régulièrement dans le débat public. Agora électronique ou confusion Au début des années 1990, internet est souvent présenté comme une nouvelle agora électronique [1]. Mais rapidement des universitaires qui observent le comportement des communautés en ligne contestent cette perspective. Des communautés d’intérêt moins homogènes qu’on ne le croit Le consommateur et le citoyen

FDN -- Internet libre, ou Minitel 2.0 ? Conférence de Benjamin Bayart aux 8e rencontres mondiales du logiciel libre, à Amiens, le 13 juillet 2007. Cette conférence fait le parallèle, sur quelques aspects (politique, économique, technique, etc) entre les réseaux « ancien style », par exemple le Minitel en France, et Internet. Thierry Stœhr, un des responsables du thème dans lequel s’est inscrite la conférence, en fait un résumé plus complet sur son blog, dans cet article. Trop élogieux, mais plus complet. La vidéo de la conférence est disponible ici (durée 1h04’17, 99Mo), le support de conférence en PDF est disponible là. La vidéo est cadrée sur le conférencier, le fait d’avoir le support sous les yeux, dans une autre fenêtre, permet de mieux suivre, même si ce n’est pas rigoureusement indispensable. La transcription est également disponible sous license CC-BY-SA : au format PDF au format PS pour etre imprimable facilement au format ODT pour etre modifiable.

Vers La richesse des réseaux Les Presses universitaires de Lyon viennent de faire paraître la traduction française de La Richesse des réseaux de Yochaï Benkler, ce spécialiste des sciences politiques, professeur à la Harvard University, codirecteur du Centre Berkman pour l’internet et la société. Nous vous proposons à cette occasion de découvrir cet ouvrage, qui fait déjà figure de classique, en publiant sa longue introduction qui à l’avantage de donner un réel aperçu des modalités de l’argumentation de Yochaï Benkler… Pour lui, l’enjeu de la société de l’information repose tout entier sur la transformation du mode de production de l’information, de la communication et de la connaissance. L’émergence de l’économie de l’information en réseau nous permet de faire davantage “pour et par nous-mêmes”. Elle réorganise en profondeur l’espace public et vient contrarier l’hégémonie de la production marchande et propriétaire que nous connaissions dans la sphère de la production du savoir, de l’information et de la culture.

Internet creuse la fracture civique LE MONDE | • Mis à jour le | Par Thierry Vedel, politologue Quelles sont les sources privilégiées par les Français pour se tenir au courant de l'actualité politique ? L'Internet tend-il à supplanter les médias traditionnels en matière d'information ? Les réseaux sociaux en ligne redonnent-ils une nouvelle jeunesse aux conversations dans la formation des opinions ? Alors qu'il existe de nombreux travaux sur les effets politiques des médias, on connaît beaucoup moins bien les pratiques d'information politique des Français. Médias traditionnels face à Internet. Mais en dépit (ou peut-être à cause) de la richesse de l'Internet, c'est toujours à travers les médias traditionnels qu'un grand nombre d'individus s'informent sur la politique. L'enquête Mediapolis permet aussi d'affiner la façon dont les Français combinent les grands médias et l'Internet. Exposition sélective à l'information. Notre enquête confirme ces pratiques d'information sélective. L'Internet, nouvel espace public ?

L'opinion publique n'existe pas, 1972. Exposé fait à Noroit (Arras) en janvier 1972 et paru dans Les temps modernes, 318, janvier 1973, pp. 1292-1309. Repris in Questions de sociologie, Paris, Les Éditions de Minuit, 1984, pp. 222-235. e voudrais préciser d'abord que mon propos n'est pas de dénoncer de façon mécanique et facile les sondages d'opinion, mais de procéder à une analyse rigoureuse de leur fonctionnement et de leurs fonctions. Ce qui suppose que l'on mette en question les trois postulats qu'ils engagent implicitement. Toute enquête d'opinion suppose que tout le monde peut avoir une opinion ; ou, autrement dit, que la production d'une opinion est à la portée de tous. On fait très souvent aux sondages d'opinion des reproches techniques. Une analyse statistique sommaire des questions posées nous a fait voir que la grande majorité d'entre elles étaient directement liées aux préoccupations politiques du « personnel politique ». En fait, il y a plusieurs principes à partir desquels on peut engendrer une réponse.

Un signal qui nous vient d’IBM Certains disent qu’il y a en économie des méthodes simples pour savoir où l’on se trouve par rapport aux autres dans son domaine d’activité. Celles qui s’apparentent au « tir au journal » chers aux artilleurs : on tire un coup de canon, on achète le journal du lendemain, on voit où l’obus est tombé et on en déduit l’endroit où on se trouve. Cette méthode s’apparente à celle du « ballon d’essai ». Puis il y a ceux qui cherchent à « apprivoiser l’avenir » en recourant aux méthodologies de l’intelligence économique et ceux enfin qui regardent du côté d’IBM. Regardons donc cette fois-ci ce que nous dit IBM. Il y a trente ans, plus ou moins, IBM a manqué couler comme le Titanic. Le CEO d’IBM Samuel J. De cette décision, on peut d’abord en déduire qu’IBM continue depuis dix ans sa politique de retrait des marchés encombrés par la concurrence où la compétition se fait sur les prix. Les « Analytics » brevetés

Le succès sur Internet repose-t-il sur la contagion ? Une analyse des recherches sur la viralité Plan La viralité comme concentration temporelle de l’attention Trajectoires d’audience, trajectoires virales ? De la viralité à l’influence Bilan et propositions L’inaccessible viralité pure ? Les contenus et leurs propriétés Depuis son adoption par le grand public dans la seconde moitié des années 1990, Internet est le lieu d’un phénomène récurrent : la diffusion rapide et imprévisible de certains contenus, écrits, enregistrements audio ou vidéo, présentations, sites Web, etc. Comme toute métaphore explicative, les figures de la...

Intelligence ambiante Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution des ordinateurs : la course à la miniaturisation et à la diffusion dans le milieu ambiant L'intelligence ambiante est ce que pourrait devenir l'informatique dans la première moitié du XXIe siècle en repoussant les limites technologiques qu'elle avait à la fin du XXe siècle [réf. nécessaire]. Ce concept semble pouvoir tenir lieu de traduction non littérale aux concepts nés en Amérique du Nord sous le vocable initial d'informatique ubiquitaire, systèmes pervasifs ou encore ordinateur évanescent [réf. nécessaire]. Dans cette approche, le concept même de système d’information ou d'ordinateur change : d’une activité de traitement exclusivement centrée sur l’utilisateur, l'informatique devient interface entre objets communicants et personnes, et entre personnes [réf. nécessaire]. Facteurs en jeu[modifier | modifier le code] Vers une informatique diffuse[modifier | modifier le code] Perspectives économiques[modifier | modifier le code]

Opinion mining et ‎Sentiment analysis L’ « opinion mining » est en passe de devenir une véritable industrie, tout aussi stratégique que celle des sondages. Les promesses avancées sont impressionnantes : la puissance de calcul des outils informatiques permettrait de suivre toutes les évolutions de l’opinion sur le web en temps réel, quel qu’en soit le volume. Comment le web de données change-t-il la nature de la toile ? En rendant les contenus du web lisibles par les machines, le web sémantique bouleverse notre univers informationnel et ouvre de nouvelles opportunités propres à redéfinir la nature du Web : d’un web de document à un web de données. (ce billet est issue d’une note de synthèse, réalisée dans le cadre de mes activités universitaires. Il s’agit d’un bilan de lecture autour du web de données. Il m’a semblé intéressant de le republier ici pour solliciter l’avis des connaisseurs de ce sujet, et ouvrir le débat) 1. A peine avons-nous commencé à explorer les nouveaux modèles d’affaires du Web 2.0 que déjà se profile un nouveau paradigme prometteur : le web de données. Les applications du Web 2.0 reposent de plus en plus sur la gestion, l’analyse et l’exploitation des massives quantités de données issues des UGC. Nos historiques de navigation sont enregistrés, tous comme nos requêtes sur des applications tierces, et l’immense champ des flux de données plus ou moins bien structurés. 2. 3. 4. 5. 6.

Opinion mining et sentiment analysis | Opinion mining et sentiment analysis: méthodes et outils Don't Mean To Be Alarmist, But The TV Business May Be Starting To Collapse

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