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Catalogue français de variétés de blé tendre AB

Catalogue français de variétés de blé tendre AB
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Reinstating Local Food, Local Rules - Part 3 NOTE: This is a guest post from Siena Chrisman, Manager of Strategic Partnerships and Alliances at WhyHunger, with excerpts from Andrianna Natsoulas’ Food Voices. In the spring of 2010, WhyHunger began a partnership with Andrianna Natsoulas, longtime food sovereignty activist and author of the forthcoming book Food Voices: Stories of the Food Sovereignty Movement. Food Voices captures the testimonies and images of farmers and fisherfolks across five countries who are fighting for a just, sustainable and sovereign food system; a food system that values quality over quantity, communities over individuals, and the environment over the corporate bottom-line. Andrianna talked to Maine farmer, and WhyHunger partner, Bob St. “For me,” Bob says, “food sovereignty means being able to farm and care for a piece of land in a way that I feel is appropriate, without having market forces dictate what or how I grow.

Quand l'agriculture paysanne arrive au cœur des quartiers populaires - Alternative Terminés les paniers bios réservés aux « bobos ». Dans la ville ouvrière de Saint-Étienne, associations de quartier et paysans travaillent ensemble pour livrer des légumes de saison et des produits sains au plus près des quartiers, tout en créant des emplois. Rencontre avec les membres du projet « de la ferme au quartier », une plateforme d’approvisionnement alimentaire solidaire en circuit court, et une alternative au « low-cost » de la grande distribution. « Comment permettre au plus grand nombre, y compris aux personnes aux revenus très faibles et précaires, d’accéder à une alimentation saine ? Miser sur la solidarité entre consommateurs « La plateforme », le local où les salariés préparent et assurent les livraisons des paniers, est située dans le Marais, un ancien quartier de l’industrie lourde stéphanoise, aujourd’hui plus connu pour son Technopole ou pour le stade Geoffroy-Guichard. Lancer une activité viable économiquement et créatrice d’emplois pérennes a évidemment un coût.

Marre du supermarché ? Bienvenue dans La ruche qui dit oui | Rue89 Planète Voisins ou amis, ils passent commande collectivement chaque semaine des produits aux paysans du coin. S’assurant des menus plus variés que par une Amap. Eux ne parlent pas du « made in France », mais se sont organisés pour manger local. Ras-le-bol des les escapades familiales sous les néons des supermarchés qui finissent souvent avec les gamins qui chouinent, les mamans qui songent secrètement au divorce et les papas qui serrent les dents ? Commande groupée à un producteur local Un samedi sur deux, producteurs et consommateurs ont rendez-vous, de 11 heures à 13 heures, dans ce qui ressemble plus à une joyeuse foire qu’à un marché. La plateforme internet permet à des consommateurs de se constituer en collectifs – ou « ruches » – afin de passer des commandes groupées à des producteurs locaux qui les livrent dès lors qu’une quantité suffisante a été atteinte. Clip de présentation de la Ruche qui dit oui 112 paniers distribués à la ruche parisienne

Rés'OGM info - 01. Le film<BR>Cultivons la terre Cultivons la terre par resogm Regardez la BANDE-ANNONCE en ligne Résumé du film En prenant comme fil directeur la présentation des OGM agricoles actuellement sur le marché – des plantes transgéniques tolérant des herbicides et des plantes insecticides - ce film est un foisonnement de propositions alternatives, très concrètes et opérationnelles dans lesquelles chaque agriculteur peut se reconnaître. Ce sont des pratiques agricoles améliorées par la recherche scientifique, ou des innovations faites par des agriculteurs dans leurs champs. La lutte biologique, la sélection participative, le respect de la vie des sols, l’autonomie alimentaire des élevages, les circuits courts de commercialisation, sont autant de stratégies d’avenir. Agriculteurs et chercheurs s’allient pour illustrer et crédibiliser une vision nouvelle de l’agriculture où le progrès ne se situe plus dans une logique d’industrialisation, mais bien dans une approche sensible du monde vivant. Bonus :

Afterres2050 : version dite "du 19 mai" Le 19 mai dernier, Solagro a présenté les premiers résultats de son scénario Afterres2050 sur l'utilisation des terres en France” devant une assemblée très concentrée. Rappel des faits : A l'horizon 2050, l’agriculture et la forêt devront nourrir en France 71 millions d’habitants et le bétail, fournir énergie et matériaux tout en préservant la fertilité des sols, la qualité des eaux, la biodiversité, le climat. Disposerons-nous des surfaces nécessaires pour satisfaire tous ces besoins ? Comment objectiver des visions diamétralement opposées sur le devenir de notre agriculture qui doit pour les uns, recréer de la souveraineté alimentaire et pour les autres, nourrir le monde ? Les résultats ? Ils sont encourageants. La suite ? Afterres2050 rentre dans une phase de consolidation et de validation de nos hypothèses. La conception d’Afterres2050 est soutenue par la fondation Charles Léopold Mayer pour le Progrès pour l’Homme.

Success! 7th GE-Free Zone in British Columbia Richmond, British Columbia, has just become the seventh GE-free zone in British Columbia, joining Powell River, Kaslo, New Denver, Nelson, Rossland, Salt Spring Island and Denman Island. Credit for steering Council’s thinking on the issue goes to the Richmond Food Security Society and the Society for a Genetically Free (GE) BC. But it’s the Richmond City Council that will take both heat and praise for the decision, so they deserve praise for taking a stand. The day of the vote, May 22nd, the Vancouver Sun wrote: Richmond council will consider a motion to join the grassroots campaign to convince the federal government to require mandatory labelling of foods that contain GMOs. When crunch time came, the City went much further. Community members spoke as well, including Dag Falck from Nature’s Path, a company facing ongoing challenges in sourcing GE-free ingredients for its organic products.

Mille vaches et sans terres sur un plateau. Mille vaches et sans terres sur un plateau. par Stéphanie. juillet 2012. Acte I. Le Plateau des Mille Vaches, plat de résistance. Marie-Claire a trente ans, un compagnon et trois enfants. « Paysanne bio » sans terre en Limousin, pour elle, n'est pas une insulte ou une lubie de « gagne petit inutile à la société » - entendre inutile à l'agrochimie dévastatrice et au souci d'accumulation des terres et des biens pour des primes. NON, « paysanne » c'est un combat noble qui dure depuis 4 ans contre la mafia agricole. La pression et la spéculation foncière sont telles que le système empêche ce jeune couple d'accéder à des terres. Quelques années après le tournage du film « Sans terres et sans reproches » (2007/2009), on peut se poser des questions sur la réelle volonté politique et sociétale d'une partie de la population qui se voile derrière un soit disant conservatisme décadent et pervers plus enclin à nourrir le destin libéral pervers de la mondialisation que de nourrir ses voisins. Merci.

Andalousie : l'occupation de la finca « Las Turquillas » Mardi 24 juillet 2012 les ouvriers agricoles, menés par leur syndicat SOC-SAT (1), occupent la finca « Las Turquillas » au cœur de l'Andalousie à quelques kilomètres seulement de Marinaleda dans la région de Sevilla. Par cette occupation, les ouvriers ne cherchent pas à posséder cette ferme de 1200 hectares, propriété du ministère de la défense, mais seulement à la transformer en coopérative agricole permettant à des familles entières de vivre du fruit de leur travail. Les militaires n'utilisent que 20 hectares seulement de la finca pour la reproduction des chevaux ; le reste des terres est en friche. Dans la Comarca, le canton où se situe la ferme, le chômage atteint 40 % de la population active ! La situation n'est guère meilleure dans les autres cantons de l'Andalousie et dans toute l'Espagne. La réussite de l'occupation de cette ferme donne beaucoup d'espoir aux occupants de « Las Turquillas ». « Dites, andalous de Jaen, qui a fait naître l'olivier ? O andalous de Jaen Mohamed Belaali

No, We Don't Need Industrial Agriculture to Feed the World It won’t be easy to make the case that industrial agriculture is not what we need to feed the world, as well-oiled, deep-pocketed agribusinesses have been working for some time to convince the public that it is. But the Real Food Media Project, a project led by Anna Lappe of the Small Planet Institute, has set out to dismantle that myth. In the first of a three-part video series called Food MythBusters, Lappe aims to prove that we can produce enough food for everyone in the world without genetic engineering, chemical pesticides and synthetic fertilizers and that we’d be better off for it in many more ways than one. Lappe and her team define industrial agriculture as “a food production system that replaces natural cycles and ecological processes with synthetic inputs and fossil fuels.” The alternative is to grow food by employing sustainable practices. Sustainable farmers build healthy soil by planting a variety of crops and rotating them. Related Stories: Where Have All the Farms Gone?

Le débat sur le port prend un tour quasi philosophique La problématique est politique. Et deviendrait presque philosophique. D'un côté, les tenants d'un monde sans frontière, ni barrière économique où le libre-échange est sacré et les circuits longs érigés en solution. "Les producteurs locaux poussés à la faillite" Pascal Pavie de la confédération, très actif durant cette soirée, s'est montré on ne peut plus clair : "Le principe de mondialisation des productions, des échanges, qui justifient un tel développement, est reconnu par de très nombreux organismes internationaux comme cause directe de la disparition des paysans, la perte des souverainetés alimentaires et la faim dans le monde. 40 Tonnes de Betteraves transgéniques arrachées et brûlées en Oregon [OGM] ‪#‎Syngenta‬‪#‎Faucheurs‬ d'‪#‎OGM‬ - 40 Tonnes de cultures OGM ont été incendiées aux Etats-Unis sous le silence total des médias dominants. Le géant bâlois (Suisse) Syngenta concurrent de Monsanto est très implanté en Europe. Le géant bâlois Syngenta et la multinationale américaine Monsanto contrôlent à eux deux plus de 50 du marché européen des semences. Sengynta s'était déjà fait remarquer pour avoir tenté de tester du riz OGM sur des enfants chinois... Début juin, des anti-ogm ont fait très fort. 40 tonnes de cultures OGM ont été incendiés dans l'Oregon au cours de deux nuits d'action successives, le FBI a ouvert une enquête. Voici ce qu'il s'est passé - 40 tonnes de betteraves à sucre OGM ont été incendiés dans l'est de l'Oregon. Le FBI a ouvert une enquête pour "sabotage économique et violation d'une loi fédérale sur les dégâts à l'encontre d'entreprises commerciales en agriculture." 6 500 plants de Betterave sucrières OGM ont été détruits à la main, un par un.

Le mouvement de colère des paysans s'intensifie en Colombie Des milliers de personnes ont manifesté, jeudi 29 août, dans les principales villes de Colombie pour soutenir les paysans qui réclament depuis 11 jours un soutien accru au secteur agricole. De violents heurts entre manifestants et forces de l'ordre ont eu lieu à Bogota et Medellin. A Bogota, des cortèges d'ouvriers, d'étudiants, enseignants et travailleurs de santé ont marché jusqu'à la place Bolivar, au centre ville, et ont été dispersés par la police anti-émeute. Entre 40 et 50 000 camionneurs se sont joints aux manifestants pour réclamer une baisse des prix des carburants alors que des milliers de petits exploitants miniers se sont regroupés en certains points du pays pour exiger la régularisation de leurs activités. Au total, 48 manifestations ont été organisées jeudi dans tout le pays, et 72 barrages entravaient la circulation sur 37 artères de huit régions du pays, selon le ministère de l'intérieur. "Les paysans ont plusieurs arguments et protestations valables", a reconnu M.

Les leçons à tirer de la défaite de Monsanto à Córdoba, en Argentine Il n’est possible de vaincre les multinationales que si un puissant mouvement social, soutenu par une partie significative de la population, se met en place. Un tribunal provincial de Córdoba a rendu son verdict : Monsanto doit arrêter la construction d’une usine de traitement de semences de maïs transgénique située à Malvinas Argentinas, dans la proche banlieue de Córdoba. Ce jugement fait suite à un recours d’amparo présenté par les habitants de la zone, qui campaient aux portes du chantier depuis trois mois. La mobilisation a débuté sous l’impulsion d’habitants isolés et de plusieurs petits groupes comme les « Mères d’Ituzaingó » et l’Assemblée des Habitants de Malvinas en Lutte pour la Vie, et a réussi à survivre malgré les menaces proférées par le gouvernement provincial et le syndicat de la construction. Ce sont toujours de petits groupes qui initient le combat, sans se soucier du « rapport de forces », mais plutôt de la justice de leurs actions. Raúl Zibechi

Lettre ouverte: Pour sauver l’agriculture paysanne, changeons les règles actuelles du commerce international agricole | Les patates ne poussent pas dans les supermarchés Pour sauver l’agriculture paysanne, changeons les règles actuelles du commerce international agricole 12 décembre 2017 Lettre ouverte aux gouvernements réunis à Buenos Aires à la conférence ministérielle de l’OMC Alors que nous faisons face à des défis majeurs en termes de sécurité alimentaire, changement climatique et transition écologique, nos politiques agricoles restent formatées par des règles du siècle passé. Ces règles ont des effets destructeurs pour les paysanneries du Nord comme du Sud : industrialisation des modes de production, accaparement des terres, financiarisation de l’agriculture, dumping économique, social et environnemental. Le bon sens voudrait que la priorité d’une bonne politique agricole soit de nourrir la population ; pourtant c’est plutôt la « compétitivité sur le marché international » qui sert aujourd’hui de moteur des politiques agricoles. Il faut remettre le commerce international agricole à sa juste place, ni plus ni moins. ASEED, The Netherlands Cultivate!

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