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My Little Book Club

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Des milliers de manuscrits médiévaux consultables gratuitement en ligne Elaborée au départ dans un but de recherche et de sauvegarde du patrimoine écrit par l'Institut, cette bibliothèque virtuelle des manuscrits médiévaux rassemble les reproductions d'une large sélection d'ouvrages conservés dans une soixantaine d'établissements français (hormis la BnF), datant du Moyen-Age jusqu'au début de la Renaissance. Le site contient actuellement plus de 1000 manuscrits reproduits intégralement en couleur, 600 autres en noir et blanc, ainsi que la reproduction numérisée des décors de 4.200 manuscrits et incunables (ouvrages imprimés avant 1.500): "Les rayonnages virtuels se rempliront au gré des accords avec les bibliothèques détentrices", souligne le CNRS dans un communiqué. La BVMM va notamment bénéficier des apports d'une centaine de manuscrits de la Staatsbibliothek de Berlin et de certaines collections privées. Avec

Freemium OpenEdition Freemium est un programme innovant dans le domaine de l’édition scientifique en libre accès. Il repose sur un modèle économique hybride qui combine libre accès à l’information et commercialisation de services générateurs de revenus pour les producteurs de ressources. Ce programme constitue une opportunité de placer les bibliothèques au centre du développement de l’édition en libre accès. Il s’agit tout simplement du moyen concret que propose OpenEdition aux bibliothèques et aux éditeurs pour créer une alliance durable en faveur du libre accès en sciences humaines et sociales : deux tiers des revenus sont reversés aux revues et éditeurs partenaires qui adoptent le modèle freemium, le tiers restant permet de financer le développement de la plateforme. La totalité des revenus engendrés par OpenEdition Freemium est donc réinvesti dans le développement de l’édition électronique scientifique en libre accès. 1. 2. 3. 4. 5. 6. Pour tout renseignement : Courrielaccess@openedition.org

Communs / Commons blog de Philippe Aigrain Aldus - depuis 2006 La numérisation à la Bibliothèque nationale de France et les investissements d'avenir Quelques antécédents En décembre 2004, Google annonce son intention de lancer une très vaste bibliothèque numérique, calibrée à 15 millions de livres. L’annonce suscite enthousiasme ou stupéfaction, selon les milieux et les « bords ». En janvier 2005, Jean-Noël Jeanneney, alors président de la Bibliothèque nationale de France (BnF), appelle dans un article pour le journal Le Monde à une réplique européenne, ou du moins française 1. Peu après, à la suite de Jean-Noël Jeanneney, le président de la République de l’époque, Jacques Chirac, s’empare du projet et le relaie auprès de l’Union européenne, qui, dès le début des années 2000, se souciait de la numérisation du patrimoine de la communauté. Que l’on croit ou non à la validité – politique ou documentaire – de la « réplique » européenne à Google, le « défi » qu’avait lancé le moteur de recherche aura d’une certaine façon porté ses fruits. De l’emprunt national aux investissements d’avenir Un appel à partenariats Le chantier filiale

La bibliothèque en 2042 J'ai eu le plaisir hier de donner une conférence dans le cadre de la journée Bibdoc 2012 à Tours sur le thème : Les impacts des livres numériques sur les bibliothèques. Devant un auditoire de 250 professionnels attentifs j'ai ensuite eu l'opportunité d'exposer mes vues sur... la bibliothèque en 2042. Pour ce faire, point de technologies, j'avais les semaines précédentes travaillé un texte qui tente de réfléchir cette perspective dans toutes ses dimensions. J'ai lu ce texte. " L’on m’a demandé de m’exprimer sur le thème de : La bibliothèque en 2042. Nous sommes aujourd’hui en 2012. Objectivement 2042 sera donc dans une trentaine d’années seulement. Commençons, si vous le voulez bien, par réfléchir à ce que cela pourrait signifier. Trente ans c’est, en moyenne, une génération et demie. Un jeune qui deviendra bibliothécaire en 2042 à l’âge de 22 ans a aujourd’hui… moins 8 ans. 1971 + 51 ans = 2022. En 2042 donc, nous serions alors sortis de la période des e-incunables depuis déjà 20 ans.

Les bibliothèques ont de l’avenir — Blogo-Numericus J’ai été invité par Alain Gif­fard à pré­sen­ter une confé­rence inti­tu­lée « Read/​Write Book. Le livre ins­crip­tible » à la Cité du Livre, à Aix-​en-​Provence, dans le cadre d’un col­loque de deux jour­nées por­tant sur les méta­mor­phoses numé­riques du livre. Inté­res­sant exer­cice, pour moi, que de pré­sen­ter les évolu­tions en cours à un public essen­tiel­le­ment com­posé de libraires, de biblio­thé­caires et d’éditeurs, alors que je parle en géné­ral à des publics uni­ver­si­taires. Il fal­lait dépla­cer le débat et les exemples, habi­tuel­le­ment cen­trés sur l’approche heu­ris­tique, à un niveau plus géné­ral. Je ne suis pas sûr d’y être lar­ge­ment par­venu, car les pro­blé­ma­tiques scien­ti­fiques sont rela­ti­ve­ment dif­fé­rentes de celles qui concernent la lec­ture publique. J’étais d’autant plus gêné par ce « trou » dans mon rai­son­ne­ment que je parle habi­tuel­le­ment de démo­cra­ti­sa­tion de l’accès au texte par le numé­rique. ShareThis

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