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Un MOOC (un quoi?!?) sur les réseaux sociaux en éducation débutera le 11 mars

Un MOOC (un quoi?!?) sur les réseaux sociaux en éducation débutera le 11 mars
Audrey Miller, publié le 14 février 2013 Les organismes belges Pedago-TIC et École Numérique se sont alliés pour créer ReSOP, un MOOC qui permettra de réfléchir et participer pendant 4 semaines à l’intégration des réseaux sociaux dans les pratiques pédagogiques. (Vous n’y comprenez rien? Pas de problème, on vous explique!) Premièrement, définissons le MOOC. Ensuite, comprenons que ReSOP est l’acronyme de Les Réseaux Sociaux comme Outils Pédagogiques. Donc, ReSOP est un MOOC qui mettra à la disposition des intéressés une communauté d’apprentissage au sein de laquelle les participants pourront réagir, encourager, enrichir, proposer et partager autour d’une thématique précise : les réseaux sociaux, et plus particulièrement Facebook et Google+, dans la pratique pédagogique. Le cours débute le 11 mars et se termine le 7 avril. Comment ça se passe? À propos de l'auteur Audrey Miller Pour suivre l'auteur :

Un MOOC pour apprendre à entreprendre 5 fév 2013 Les cours en ligne prennent un nouvel essor avec l’arrivée d’outils développés pour un usage massif. Exemple de ces potentialités avec une initiative de nos voisins hispaniques, qui utilisent ce système pour sensibiliser à l’entrepreneuriat. Le premier MOOC en espagnol consacré à l’entreprise numérique a été inauguré en grande pompe à l’Université d’Alicante le 25 janvier dernier. Offert par l’Institut d’Economie Internationale, « Apprends à entreprendre » – tel est son nom – propose des modules avec une partie théorie, sous forme de conversation entre un professeur et deux médiatrices. Il dispose aussi de témoignages, comme celui du fondateur de Panoramio, start-up espagnole rapidement rachetée par Google. En quelques jours, plus de 11.000 personnes de 90 pays différents se sont inscrites. L’Espagne se revendique comme précurseur en la matière Plus :Numérique à l’université : ce que prépare Fioraso, par les ÉchosLe site d’unimooc Billets similaires :

Les cours ex-cathedra, c’est bientôt fini ! De qui se MOOC-t-on ? Vous en avez certainement entendu parler. Un Massive Online Open Course (en bref, un MOOC) est un cours en ligne ouvert à une large participation (on parle, pour certains de ces cours, de 100 000 inscrits) et distribué sur le Web. Par exemple, edX, démarré il y a quelques mois à l’initiative du Massachusetts Institute of Technology et de Harvard University, offre de tels cours complets (les vidéos d’enseignement, des parcours pédagogiques…) gratuitement. Ces cours, pour le moment, n’offrent pas de certification : ils sont considérés comme un enrichissement de l’enseignement (intégration dans des cours bien réels ceux-là) et de l’apprentissage. edX se présente d’ailleurs comme une association sans but lucratif. Les MOOC comme vecteur de transmission du savoir Image : blog Inside Higher Education, Les xMOOC sonnent-ils la fin des cours ex cathedra à l’université ?

Mooc : la standardisation ou l’innovation Le développement des cours en ligne massifs et ouverts (Mooc pour massive online open courses) attise autant l’enthousiasme que le rejet. Pourtant, comme nous l’avons déjà signalé, ils n’ont rien de magique et paraissent bien souvent plus une réponse économique qu’éducative. En accentuant la concurrence entre universités et entre les étudiants eux-mêmes… les Mooc semblent répondre à un problème pédagogique par une solution économique très spécifique. Or, l’enjeu éducatif n’est pas là. C’est ce que nous explique dans cette tribune Dominique Boullier, professeur de sociologie à Sciences Po, coordinateur scientifique du MediaLab et directeur exécutif du projet d’innovation pédagogique Forccast. Si vous n’avez pas encore succombé au buzz des Mooc (massive online open courses, Cours en ligne ouvert et massif), ça ne saurait tarder : le temps de l’enseignement supérieur de masse en ligne est venu et la face du monde en sera changée, nous dit-on. La course à la plate-forme Dominique Boullier

2013, l'année des Moocs en français ? Les Moocs étaient des grains de sable, ils sont en train de se transformer en rochers. Pas une enceinte universitaire dans laquelle on n'évoque ces cours en ligne massifs et ouverts, qui attirent des millions de participants sur les plateformes américaines. À première vue, il semblerait que ce mouvement soit en capacité d'emporter tout l'enseignement supérieur mondial dans une avalanche dont sortiront bien peu de survivants.Mais, à y regarder de plus près, on voit que les choses ne sont pas aussi catastrophiques qu'elles en ont l'air pour les prestataires d'enseignement supérieur francophones et européens. Plusieurs Moocs en français attendent vos inscriptions La communication se fait mezza voce, mais celui qui tend l'oreille comprendra bien vite que plusieurs projets de Moocs en français sont en voie de finalisation. Analyse Numérique pour les Ingénieurs, cours délivré par l'EPFL (école polytechnique fédérale de Lausanne, Suisse) sur Coursera, 7 semaines, démarrage le 18 février;

Bientôt des cours filmés de l’École Polytechnique gratuitement sur Internet : l’enseignement supérieur de demain se fera-t-il à distance Avec le développement des massively open online courses (MOOC), ces cours en ligne gratuits dispensés aux États-Unis par les plus grandes universités, le e-learning est devenu le sujet d’intérêt majeur des acteurs de l’enseignement supérieur. En annonçant qu’elle rejoint Coursera, l’École polytechnique ouvre bien grandes les portes des MOOC à la française. On doit cette terrifiante allégorie d'un MOOC transformant tout sur son passage dans l'enseignement supérieur à Michael Branson Smith, un professeur assistant de communication du York College de New York. Parmi les spécialistes cités en bas de l'affiche, George Siemens est un théoricien de l'apprentissage dans une société basée sur le numérique (ce qu'on appelle le "connectivisme"). Aux États-Unis ils s’appellent Coursera, Udacity ou edX, au Royaume-Uni FutureLearn s’apprête à se lancer, tous mettent en ligne des centaines de cours gratuits pouvant ensuite déboucher sur l'obtention de certificats. Former ceux qui ne se forment pas

Le MOOC, désir de révolution Le phénomène des MOOC, apparu récemment dans les universités les plus prestigieuses des États-Unis, est une mutation peu ordinaire dans l'enseignement à distance. Ce n'est pas une simple mise à jour technologique. Expliquons. Quand Jean Michel Billaut titre un de ces billets « MOOC : "LA" révolution de l'éducation au niveau Monde», on sait qu'on touche quelque chose qui enflamme les imaginations. Il y a de quoi! Les MOOC arrivent! On appelle ces nouveaux cours des «cours en ligne ouverts et massifs», traduction littérale de l'anglais «massive open online course» ce qui donne l’acronyme «MOOC». Ce qui frappe l'imagination? Internet est-il en train de bouleverser l’enseignement supérieur? J'ai écrit deux billets sur le sujet des MOOC récemment sur mon autre blogue, Triplex à Radio-Canada À quand les MOOC en français? Made in Canada Est-ce si différent? Ça ressemble à première vue à une formation à distance comme on peut en trouver dans une télé-université (Yoohoo, Teluq!!). Mais au delà?

Le deuxième "MOOC" francophone fait fureur "Massive Open Online Course", "Cours de masse en ligne et gratuit", tel est le concept qui se cache derrière cet acronyme. Dans la réalité, cela représente un cours suivi par plus de 3600 étudiants en même temps, chacun depuis son PC, partout dans le monde et gratuitement. Depuis 2008, toutes les universités américaines ont pris progressivement le pli du télé-enseignement. Non seulement pour leurs étudiants régulièrement inscrits, mais aussi pour quiconque souhaite suivre un cours de haut niveau. Et cela gratuitement (d’où le mot "open") et quel que soit le nombre de participants : dans le monde anglophone, il est courant que 100 000 personnes suivent le même cours en même temps… d’où le terme de "massive". Les MOOC font désormais partie des activités courantes dans une société où apprendre n’est plus une activité réservée à une période, l’enfance et la jeunesse, mais s’exerce tout au long de la vie. Qui dit cours dit examen Retard en français mais beau démarrage Accéder n'est pas acquérir

Suffit-il de suivre des cours en ligne pour apprendre Liminaire : Ce texte termine l’année 2012. Il est certes un peu long, mais surtout il mérite des enrichissements… au plaisir de vous lire… en 2013 Le développement de iTunesU incorporé à IOS6 sur iPad, celui de iBooks Author et celui de Course Builder qui viennent d’apparaître, laissent entrevoir une question qui n’est pas non plus souvent explicitée dans de nombreux projets de mise en ligne de cours. Suffit-il de suivre ces cours pour apprendre ? Il semble bien que l’on n’ait pas bien réfléchit à plusieurs question dont la plus importante est celle des compétences pour apprendre dans un tel contexte etc ‘est celle sur laquelle nous terminerons ce propos Mettre des cours en ligne, si l’on en juge par les modèles inclus dans ces outils de conception, s’apparente étrangement à de vieux modèles d’EAO enrichi et multimédia. Quel genre de cours mis en ligne ? Qu’est-ce que mettre en oeuvre un cours en ligne ? Quels sont les usages d’un cours en ligne ? A suivre et à débattre

xMOOC vs cMOOC - Pédagogie MOOC - Degré de liberté I only learned recently that I’ve not been enrolled in MOOC classes at all, but have instead been involved with something called an xMOOC. At first I was curious why anyone would want to eliminate the only saving grace of the MOOC acronym (its pronounceability), but apparently two variations are meant to distinguish the type of professor-centric massive courses that have received most of the attention over the last couple of years (xMOOCs) from a different vision for massive online education built around connectivity (cMOOCs). Lest you think this distinction is just an attempt to glom onto MOOC media mania to push a different educational agenda, the connectivist vision behind the cMOOC actually pre-dates the Stanford experiment (and resulting initiatives from that experiment such as Udacity, Coursera and edX) by several years. Learning is the creation and removal of connections between the entities, or the adjustment of the strengths of those connections. 1. 2. 3. 4. 5.

La révolution mondiale de l'Open education Recommander cette page à un(e) ami(e) Voici quatre étudiants pris au hasard : On Chi Tang libraire à Kuala Lumpur, Dimitri Popoulas fonctionnaire à Athenes, Shagun Gupta femme au foyer à New Delhi et Michelle étudiante à Sheffield. Des hommes et femmes ordinaires, citoyens du monde, que rien ne devait à priori réunir. Depuis le 27 aout, ils sont pourtant assis sur les mêmes bancs virtuels du cours "Gamification" dispensé par Kevin Warbach, professeur à l'Université de Virginia (USA). Pendant les 6 semaines que compte ce module et comme les 65 000 inscrits de par le monde, ils suivront à l’heure et dans le lieu qui leur conviennent 2 cours hebdomadaires d’une heure en video. Ils pourront s'exercer avec des quizz. Imaginez 65 000 personnes ayant accès simultanément à un enseignement universitaire leader sur un sujet aussi innovant que la Gamification ! Comment je suis tombée dans la marmite de l'Open education Ma rencontre avec le mouvement date de 2008. Et si on commençait par le début ?

MoocGuide - 0. Home Intro to MOOC Autour des MOOC Une page autour des MOOC, cours de masse en ligne et ouverts (Massive Open Online Course) Une collecte de références initiée par Michel Briand, avec la participation de Clément Dupiech, IMT Atlantique à compléter c'est un wiki ouvert ! Nous nous dirigeons vers un nouveau modèle radicalement ouvert, asynchrone et collaboratif. Il laisse place à l’expérience et à la curiosité. Il consiste à adapter la transmission des savoirs dispensés à l’école aux usages et aux modes de diffusion actuels. Sommaire Actualité Agrégations Agrégation via scoop it Massively MOOC “Examining the development of the Massive Open Online Course” par eLearning and Design, 53 pages août 2013.MOOC Francophones, MOOCs, E- learning, Formation, Education numérique... par Vincent Datin 27 pages août 2013.Easy MOOC, MOOCs and online Education:les évolutions technologiques au service de l'Education par Lucas Gruez, 32 pages août 2013 dont 5 en français. Réseaux sociaux Sites et blogs autour des MOOC et de l'innovation pédagogique

Faire son MOOC : l’exemple d’ITyPA Un des buzz du jour semble être le nouveau slideshare de George Siemens « Designing, developing, and running (massive) open online courses ». Après une présentation de ce qu’est un MOOC, il nous propose un petit mode d’emploi pour construire son cours en 9 étapes faciles : Topic, audienceFind someone to teach withDetermine ContentPlan spaces of interactionPlan interactions (live, asynch)Plan *your* continued presenceLearner creation (activities)Promote and shareIterate and improve Une bonne occasion de faire le point sur le prochain MOOC que j’ai la joie de préparer avec mes compères Anne-Céline Grolleau, Morgan Magnin et Christine Vaufrey ! Le sujet et l’auditoire. Nous sommes rapidement tombés d’accord sur l’idée qu’un premier MOOC francophone se devait de traiter les bases d’un tel cours, à savoir comment apprendre à l’heure d’Internet. Trouver quelqu’un avec qui enseigner Définir le contenu Ça, c’est en cours de sélection. Planifier les espaces Planifier les interactions Like this:

L'invasion des moocs : les cours multimédia en ligne arrivent en France La nouvelle marotte des geeks ? Les moocs. Un acronyme barbare qui désigne un objet numérique pourtant très civilisé : le massive open online course, ou cours en ligne ouvert et massif. Certaines grandes écoles, comme Polytechnique, proposent à partir du mois de septembre quelques cours en ligne aux internautes, mais il faut s’y inscrire à une période précise. Entre 100 et 200 euros pour un certificat "Une dizaine de cours seront accessibles dès la fin de l’année 2013, dont certains en partenariat avec des universités et des grandes écoles. Qui sera le professeur chargé de transmettre les bases du langage HTML à ces élèves ? Des anciens de l’e-éducation Malgré leur jeunesse (24 et 28 ans) les deux associés ne sont pas des débutants du e-learning. C’est la communauté des apprenants, comme on les appelle dans le jargon de l’entreprise, qui crée les contenus des cours. Lélia de Matharel Un jeune créatif de... 13 ans !

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