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La stupidité comme mode de management

La stupidité comme mode de management
Voilà une étude qui devrait pousser les managers à s'interroger. Un rapport rédigé par les professeurs Andre Spicer (de la Cass Business School, qui fait partie de l'université City University de Londres) et Mats Alvesson (de l'université de Lund, en Suède), suggèrent que la culture au sein des entreprises de services financiers décourage les employés d'utiliser l'ensemble de leurs capacités intellectuelles..... Cela signifie que des questions importantes ne sont pas posées et que les oublis qui en résultent peuvent aboutir à des scandales comme la manipulation du LIBOR. Quand la bêtise désarme Les auteurs soulignent que les compétences des employés ne se sont pas réduites, mais qu'une véritable culture organisationnelle s'est développée : « De nombreuses entreprises, où l'intelligence des employés est primordiale, telles que les banques et les sociétés de services professionnels, assurent que les compétences sont à la base de leurs activités. Un mode managérial basé sur la persuasion

Faut-il vraiment virer tous les managers ?Le blog Marion Breuleux est responsable du Département Management et efficacité professionnelle chez EFE. Elle développe l’offre de formation en Management et développement personnel et conçoit des conférences sur le management, le management des organisations et les ressources humaines telles que « Quelles stratégies RH face à l’essor des réseaux sociaux? » ou encore la 2e édition de la conférence « Vers la fin du management de reporting » les 26 et 27 mars prochains. Faut-il vraiment virer tous les managers ? À 1re vue, cette question paraît inutilement provocatrice et totalement inconsidérée. Pourtant, si l’on en croit Gary Hamel et son article « Fisrt, let’s fire all the managers[1] », un tel modèle est possible. En réalité, Gary Hamel, qui a, vous l’aurez compris, un goût certain pour la provocation, ne décrit pas une société sans aucun manager. Pour autant et même si cet article a déjà été largement commenté, prenons le temps d’en reprendre les termes essentiels. Évidemment, non !

Les petites entreprises consacrent temps et argent aux réseaux sociaux De plus en plus de PME américaines annoncent avoir intégré les médias sociaux à leurs activités. Elles y développent une stratégie, avec un budget en conséquence. Les petites et moyennes entreprises ont compris l’intérêt des médias sociaux et n’hésitent plus à les intégrer dans leurs activités. Elles sont quatre fois plus nombreuses cette année à allouer un budget pour le social media plus élevé que l’année précédente, selon l’étude publiée par VerticalResponse, menée auprès de 462 petites entreprises, et qui vise à comprendre la place du social dans l’activité de ces sociétés. "Notre étude confirme que les petites entreprises ont compris la valeur des médias sociaux", déclare Janine Popick, PDG et fondatrice de VerticalResponse. Les réseaux sociaux pas encore pour l’environnement concurrentiel Des PME prêtes à débourser pour se perfectionner

Isaac Getz : « L'organisation où les salariés sont libres vaincra toujours les concurrents traditionnels » Professeur à l’ESCP et co-auteur de « Liberté & Cie, Quand la liberté des salariés fait le bonheur des entreprises », Isaac Getz est spécialiste de l’innovation et du leadership libérateur. Il propose aux entreprises et à leurs dirigeants une méthode pour repenser et transformer leur modèle managérial en levier de croissance. Le 26 mars prochain, il interviendra sur le thème de la liberté des salariés comme levier de croissance et de rentabilité lors de la 2e édition de « Vers la fin du management de reporting », la conférence organisée par EFE, en partenariat avec Collaboratif-info. Il répond en attendant à nos 4 questions flash. 1/ Pensez-vous que les pratiques managériales actuelles soient un frein à l’innovation et à la croissance en entreprise ?Isaac Getz : C'est une évidence, car toute innovation commence par une idée partagée. 2/ Pour reprendre les termes du gourou du management Gary Hamel, faut-il virer tous les managers ?

L'emplacement et l'âge de l'équipe, déterminants dans l'adoption de Twitter ? Certains critères comme le degré d'innovation d'une entreprise, l'âge de ses managers et son emplacement géographique influencent plus ou moins positivement la capacité à utiliser Twitter pour sa communication ou sa relation client. L'activité de l'entreprise peut déterminer sa présence ou non sur Twitter, de même que l'appétence technologique de ses managers. Dans une étude, Samuel Fosso Wamba, de l’université de Wollongong en Australie et Lemuria Carter, de l’Université d’agriculture de Caroline du Nord, ont cherché à déterminer le nombre maximal de caractéristiques qui peuvent expliquer une plus ou moins grande présence sur le site de microblogging du côté des PME. Ils se sont plus particulièrement intéressés au poids des caractéristiques organisationnelles, managériales et environnementales dans l'adoption du site. L'ouverture à l'innovation, l'âge et la localisation Des critères sans importance Enfin, l’emplacement géographique n'est pas négligeable non plus.

Et si on parlait des managers irresponsables ? | Cracking the management code La responsabilité sociétale des organisations (RSO) est sans conteste le nouveau paradigme du management en ce début de XXIe siècle. Cette aspiration à une entreprise plus responsable dans les domaines de l’économie, de l’environnement et du social se décline au sein des équipes avec la promotion d’un “management responsable”. Des managers qui exercent leurs fonctions de façon éthique, respectueuse de l’environnement, et qui sont capables de gérer la diversité de leurs équipes. Cette évolution des attentes envers les entreprises impacte évidemment les écoles de commerce, qui forment les managers de demain. Or si la définition du management responsable semble simple, sa mise en œuvre est plus complexe. Pour mieux comprendre le phénomène, examinons les travers, les lâchetés, les ratés de l’exercice managérial au quotidien, qui dessinent les contours de l’irresponsabilité en management (1). De la dénégation au mensonge Il y a déni quand on fait comme si les choses n’existaient pas.

Diagnostiquer une maladie, élémentaire pour Watson? En 2011, les capacités démontrées par Watson, le superordinateur d'IBM qui avait remporté le quiz de Jeopardy! un célèbre jeu télévisé américain, pourraient être mises au service du domaine médical. Watson avait en effet ouvert de nouveaux horizons pour l'intelligence artificielle. En jouant à Jeopardy! Pour tester le système, Watson a réalisé une première tâche en répondant à des questions issues de Doctor's Dilemma, une compétition pour la formation des médecins qui se tient chaque année au American College of Physicians. 188 nouvelles questions ont été soumises au superordinateur. A long-terme, Watson pourrait-il devenir un détective médical et assister les médecins? Des progrès sont encore à effectuer et cela intéresserait notamment. Cette technologie serait particulièrement utile dans le domaine de l'oncologie, car les médecins peinent à faire face à l'explosion de données génomiques et moléculaires générées sur chaque type de cancer.

Faites des économies, changez vos (mauvais) managers | econstantblog Dans une enquête récente réalisée auprès de 30 000 employés aux USA, il ressort que ce qui caractérise un mauvais manager ce n’est pas ce qu’il fait mais bien plutôt ce qu’il ne fait pas Les 5 aspects les plus cités dans cette enquête sont : - Incapacité à inspirer ses troupes - Acceptation de la médiocrité - Manque d’une vision claire et de direction - Incapacité à collaborer et à être un bon équipier - Ne pas faire ce qu’il dit Ces managers qui génèrent une mauvaise ambiance au travail, entrainent d’avantage de stress et de maladies coronariennes chez leurs collaborateurs que leurs alter égos moins pénibles. Ils entrainent davantage de démissions dans leur service et de l’ordre de 25 à 30% de comportements contre-productifs chez leurs collaborateurs dans leur organisation. Toutes ces « bonnes raisons » devraient encourager si besoin était à moins de complaisance que l’on en voit habituellement dans les entreprises pour les comportements déviants chez les managers. Like this: J'aime chargement…

Vers la fin du management de reporting II Mardi 6 décembre 2016 Journée animée par Marion BREULEUX, ABILWAYS DIGITAL Keynote speech Pour être heureux en entreprise, soyons bienveillants ! Retour d'expérience Le management bienveillant : l’exemple Casino• Pourquoi et comment Casino s'est-il impliqué dans le programme de management bienveillant de ses cadres ? Keynote speechSlow Business : ne travaillez ni moins ni plus mais mieux ! Retour d'expérienceLes vacances illimitées augmenteraient-ellesla productivité ? Passez à l’actionInnovation game : «remember the future»Marion BREULEUX, Digital EvangelistABILWAYS DIGITAL Passez à l’actionCorporate innovation : comment passer à l’action ? Retour d'expérienceQuand startupers et grands groupes innovent main dans la main• Pourquoi développer la sensibilité à l’entrepreneuriat chez vos collaborateurs ? Keynote speechLa blockchain vous dispensera-t-elle du management ? Ftopia Partner, U Change ODDES CONSEILChristian LAPOINTE, Associé Mercredi 7 décembre 2016 OCTO Technology

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