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Urbanisation (informatique)

Urbanisation (informatique)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'urbanisation du système d'information d'une entité ou organisation (une entreprise ou une administration) est une discipline d’ingénierie informatique consistant à faire évoluer son système d'information (SI) pour qu'il soutienne et accompagne de manière efficace et efficiente les missions de cette organisation et leurs transformations. L'urbanisation du SI ne fait pas table rase du passé mais tient compte de l'existant et doit permettre de mieux anticiper les évolutions ou contraintes internes et externes impactant le SI, et en s'appuyant le cas échéant sur des opportunités technologiques. Les concepts manipulés peuvent s'apparenter à ceux de l'urbanisation de l'habitat humain (organisation des villes, du territoire), concepts qui ont été réutilisés en informatique[1] pour formaliser ou modéliser la réingénierie du système d'information (SI)[2]. L'urbanisation facilite la transformation continue du système d’information.

Système d'information Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un système d'information (SI) est un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel, données et procédures) qui permet de collecter, regrouper, classifier, traiter et diffuser de l'information dans un environnement donné[1]. L'apport des nouvelles technologies de l'Information (NTIC) est à l'origine du regain de la notion de système d´information. L'utilisation combinée de moyens informatiques, électroniques et de procédés de télécommunication permet aujourd'hui -selon les besoins et les intentions exprimés- d'accompagner, d'automatiser et de dématérialiser quasiment toutes les opérations incluses dans les activités ou procédures d'entreprise. Enjeux du système d'information[modifier | modifier le code] Le système d'information est le véhicule des entités de l'organisation. Les différentes natures du système d'information[modifier | modifier le code] Système d'information et finalité de la chose[modifier | modifier le code]

Resource-based view The resource-based view (RBV) as a basis for the competitive advantage of a firm lies primarily in the application of a bundle of valuable tangible or intangible resources at the firm's disposal (Mwailu & Mercer, 1983 p142, Wernerfelt, 1984, p172; Rumelt, 1984, p557-558; Penrose, 1959[1]). To transform a short-run competitive advantage into a sustained competitive advantage requires that these resources are heterogeneous in nature and not perfectly mobile (:[2] p105-106; Peteraf, 1993, p180). Effectively, this translates into valuable resources that are neither perfectly imitable nor substitutable without great effort (Barney, 1991;:[2] p117). Key Points[edit] The key points of the theory are: Identify the firm’s potential key resources.Evaluate whether these resources fulfill the following criteria (referred to as VRIN): Valuable – A resource must enable a firm to employ a value-creating strategy, by either outperforming its competitors or reduce its own weaknesses (:[2] p99;:[3] p36).

Format de données Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Typologie[modifier | modifier le code] On distingue un format dont la spécification est publiquement accessible, un format ouvert, d'un format fermé dont la spécification est secrète. Une autre distinction s'opère entre un format normalisé, faisant l'objet d'une normalisation par une institution publique ou internationale (ISO, W3C) et un format quelconque, qui peut devenir un standard de fait s'il est populaire. Un format est dit propriétaire s'il a été élaboré par une entreprise, dans un but essentiellement commercial. Formats des nombres[modifier | modifier le code] Nombres entiers[modifier | modifier le code] Par exemple, avec un octet on peut représenter : les entiers naturels de 0 (00000000 en binaire) à 255 (11111111 en binaire)les entiers relatifs de -128 (10000000 en binaire) à -1 (11111111 en binaire) et de 0 (00000000) à 127 (01111111) ; on code donc avec un octet les entiers de -128 à +127. Exemple agrandi d'une image carte de points

Alignement stratégique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'alignement stratégique est la démarche de fond consistant à redessiner la stratégie générale de l’entreprise et la stratégie de développement technologique afin qu’ils soient en parfait accord. Ceci implique une cohérence de la stratégie générale avec l’infrastructure administrative d’une part et avec l’infrastructure des applications d’une autre part. Le modèle général de l'alignement stratégique[modifier | modifier le code] Le principe de l'alignement stratégique[modifier | modifier le code] L’alignement stratégique se réalise autour de deux mouvements : premièrement autour de la cohérence stratégique entre les dimensions internes et externes de l’entreprise et deuxièmement, autour de l’intégration fonctionnelle des technologies de l’information au sein de l’entreprise. Le modèle de l’alignement stratégique est articulé selon deux dimensions de la mise en cohérence : Le processus de mise en cohérence[modifier | modifier le code] Principes

Système binaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Exemple d'informations binaires C'est un concept essentiel de l'informatique. En effet, les processeurs des ordinateurs sont composés de transistors ne gérant chacun que deux états. Un calcul informatique n'est donc qu'une suite d'opérations sur des paquets de 0 et de 1, appelés octets lorsqu'ils sont regroupés par huit. Définition[modifier | modifier le code] Le système binaire le plus courant est l'équivalent en base deux de la numération de position que nous utilisons en base dix dans la vie courante. Dans ce type de codage, chaque nombre est représenté de façon unique par une suite ordonnée de chiffres. On voit que la signification des représentations 10, 100, 1000, etc. dépend de la base utilisée : 10 est toujours égale à la base, c'est-à-dire dix en base dix, mais deux en base deux[1] Un nombre qui s'exprime en base B par les quatre chiffres 1101 s'analyse : , qui donne : Énumération des premiers nombres[modifier | modifier le code] ainsi:

Edith Penrose Edith Penrose, née le 15 novembre 1914 à Los Angeles et morte le 11 octobre 1996 à Waterbeach, Cambridgeshire, est une économiste américaine. Elle est diplômée de Berkeley (BA). En 1939, elle accompagne son mari à Genève au Bureau International du travail. Elle écrit son premier livre, Economics of the International Patent System, publié en 1951. La théorie de la croissance de la firme par les services subjectifs des ressources Dans sa théorie de la firme, Edith Penrose propose une théorie des processus de croissance basée sur la recherche de la connaissance par l'entreprise, sans que celle-ci ne subisse la contrainte de l'Etat. Les services rendus par les ressources sont une fonction de la manière dont elles sont utilisées, en combinaison avec les différents types ou les montants des autres ressources. "La distinction importante entre les ressources et les services n'est pas leur durabilité relative. Edith Penrose propose une approche basée sur les compétences et les capacités.

Byte Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec octet ni bit. Le byte (prononcé [baɪt]), de symbole B, ou multiplet, est la plus petite unité adressable d’un ordinateur. Aujourd’hui, les bytes de 8 bits se sont généralisés en informatique, alors qu’en télécommunications ils peuvent contenir 8 ou 9 bits. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme est créé en 1956 par Werner Buchholz, alors qu'il travaille à la conception de l'IBM Stretch. Distinction entre byte et octet[modifier | modifier le code] Le mot byte vient de l'anglais. Toutefois, en anglais comme en français, si l'on veut explicitement désigner une quantité de huit bits, on utilise le mot octet ; tandis que si l'on veut exprimer l'unité d'adressage indépendamment du nombre de bits, on utilise le mot byte. La même distinction entre byte et octet existe donc dans les deux langues, seul change le mot que l'on utilise couramment dans les cas où le byte mesure huit bits. Portail de l’informatique

Analyse décisionnelle des systèmes complexes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'analyse décisionnelle des systèmes complexes est une discipline qui vise à fournir des méthodes et outils de pilotage des systèmes complexes ou de modélisation des environnements chaotiques (Théorie du chaos). La démarche insiste sur la Transdisciplinarité et inscrit donc l'Analyse décisionnelle des systèmes complexes dans le courant de pensée systémique. Enfin, elle s'inspire aussi largement du courant cybernétique. Principe[modifier | modifier le code] Avantages[modifier | modifier le code] L'analyse décisionnelle des systèmes complexes permet un meilleur alignement stratégique, en prenant en compte plusieurs aspects de l'activité des organisations qui n'étaient pas traités par la modélisation traditionnelle[4] comme : Structure[modifier | modifier le code] La délégation (ou l’automatisation) conduit à la complexification des organisations par émergence d’activités nouvelles Voir aussi[modifier | modifier le code]

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