background preloader

Ecrire pour la presse web : les portes d’entrée de votre article

Ecrire pour la presse web : les portes d’entrée de votre article
Les articles sont lus – on peut l’espérer – sur une grande diversité de supports. Et le lecteur y entre par de multiples portes. Quelles en sont les conséquences pour le journaliste ? Voici une première série de réponses. Qu’est-ce qui fait la différence entre écrire pour la presse web ou la presse papier ? L’actualité est la même et le lecteur reste la même personne. Oui, mais les supports changent et ça change tout ! Une multiplicité de supports différents Avant, le lecteur achetait SON journal. Avec l’avènement du numérique, le nombre de supports se multiplie. Presse : papier, papier et web et pure players Les journaux papiers seuls tendent à disparaître. Je n’aborderai pas ici la question du modèle économique de la presse en ligne qui se cherche encore. Je veux dans cette série d’articles considérer le point de vue du journaliste et voir comment écrire efficacement pour le web. Une multiplicité de portes d’entrée pour votre article Les différentes portes d’entrée vers votre article J'aime :

10 Common features found on hyperlocal news sites 2008 and 2009 saw an explosion in the number of hyperlocal news media around the world. Since then, hyperlocal media has matured and many news sites now offer similar features that both distribute and aggregate news from their respective communities. Community voices Hyperlocal news sites often capture the thoughts and voices of their community of readers through blog posts and articles written by citizen journalists or local bloggers. Story submission page Nobody knows more about what’s happening in the community than those who live in it. Fix-it callout In addition to a general call-out for news tips, many sites also ask readers to identify problems in the city or region that need to be fixed. Oakland Local uses the community tool SeeClickFix to map areas in the northern California city that are in need of repair. Community calendar A great way for a site to present itself as a go-to resource for events in a community is to provide an online calendar. Donation page Social media Video

Ecrire pour le Web - Rédiger pour le Web 1. Les titres 1. Prévoir impérativement un titre pour chaque page. Le titre sera : 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 2. 10. 11. 12. 13. 3. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. Entre deux expressions équivalentes, choisissez la plus courte (par exemple, « sauf » plutôt que « à l'exception de »). 23. 24. 25. 26. 27. 4. 28. Sept liens maximum recommandé au sein d'un bloc de navigation. 29. 30. 31. 32. 33. 34. 35. 36. 37. 38. 39. 40. 41. 5. 42. 43. 44. Téléchargez cette checklist au format PDF L’Assemblée Nationale, ARTE TV, l’UNESCO, le Parlement européen, BNP Paribas et bien d’autres nous ont fait confiance… pourquoi pas vous ? Découvrez notre programme ! Auteur : Jean–Marc Hardy

Presse web : un rédacteur en chef nommé Google Pourquoi les journalistes web re-titrent leurs articles à intervalles réguliers et y insérent-ils des signes de ponctuation ? Plus qu'une manie comme une autre des journalistes web, cette pratique n'a qu'un seul but : plaire à Google. Google News : c'est la principale obsession du rédacteur en chef d'un titre de presse en ligne. Qui sont ces nouveaux gourous indispensables ? Il faut degainer le premier Mais la quête de la première place dans les résultats de recherche amène aussi à des contraintes plus importantes, qui dans le cas des journalistes, relèvent directement du rédactionnel. Autre critère de Google News : la nouveauté. "tu as la pression de Google" On le voit donc : Google, et notamment Google News, ont un poids très important . Or le moteur de recherche hiérarchise l'information de façon automatique, sans aucun contrôle humain. l'audience et la pub Mais pourquoi les sites sont-ils prêts à se plier à de telles "contraintes", imposées qui plus est par un robot ? Par Vincent Coquaz

Le débat des “forçats” de l’info | misspress Mise à jour: LE DEBAT AURA LIEU LE 23 Juin à 19h30 à l’école de journalisme de Sciences Po. Pour vous inscrire, c’est ouvert à TOUS. Et envoyez moi un email:melissa (point) bounoua(at) gmail (point) com, afin que je puisse vous donner toutes les informations. Après publication du billet ci-dessous, des discussions par mail, twitter et téléphones interposés avec plusieurs journalistes, m’est venue l’idée de faire un débat entre journaleux concernés par l’avenir de l’info online. Et Aude Baron me dit de me lancer alors…voilà! Au coeur du débat le mot “forçat”, le titre de cet article sur les journalistes web en France. Tout le monde est invité, mais j’aimerais en particulier que soient présents ceux qui interrogent l’avenir de l’info en ligne depuis beaucoup plus longtemps que moi: Johan Hufnagel, un des fondateurs de Slate.fr Benoit Raphaël, rédacteur en chef du Post.fr--> OK Eric Mettout, rédacteur en chef de l’Express.fr Boris Razon, rédacteur en chef du Monde.fr (Alexis Delcambre sera là)

Ecrire pour l'Internet mobile : élaguer, élaguer, élaguer ! 12 mars 2012 Ecrire pour l'Internet mobile : élaguer, élaguer, élaguer ! Avez-vous déjà désinstallé une application mobile parce qu'elle était difficile à utiliser ? Moi aussi. L'agence d'ergonomie digitale Miratech consacre sa dernière newsletter aux règles d'ergonomie pour les tablettes et les smartphones : "Comment faire une appli ou un site mobile qui marche ?". Après avoir réalisé plus de 400 tests utilisateurs, voici leurs premières conclusions : "Pour faire une appli ou un site mobile qui marche, suivez deux règles basiques : ■ Règle n°1 : soignez l'intuitivité ■ Règle n°2 : les règles du web s'appliquent encore (presque) toutes au mobile Si vous introduisez une nouvelle ergonomie ou de nouveaux services, pensez surtout à vos utilisateurs. Côté éditorial, il s'agit d'être encore plus exigeant que pour un site Internet classique : faire ressortir l'essentiel de l'information en premier. L'interface d'un smartphone, comme celle d'une tablette, est constituée principalement de mots.

Scoop.it : Conseils pour optimiser vos topics En 2012 la #curation est l’un des sujets les plus recherchés sur Google, la progression en 2013 devrait continuer de plus belle. Il existe de nombreux services en ligne proposant des solutions de curation, parmi ces outils Scoop.it est un de ceux que les veilleurs utilisent le plus. Scoop.it est un outil de curation, il permet de : sélectionner,organiser,et partager du contenu existant. Avec 500 000 utilisateurs dans le monde, 6 millions de visiteurs uniques par mois et des utilisateurs répartis dans 150 pays, Scoop.it est l’un des services en ligne les plus utilisés comme solution de curation. Voici quelques conseils pour optimiser vos topics sous Scoop.it. Le scoring sous Scoop.it La notion de score sous Scoop.it a pour objectif de mesurer l’engagement, l’activité du curateur et de sa communauté. l’actualisation du topicl’utilisation de la fonction « insight »les commentaires de vos scoopsl’utilisation des « tag »le nombre de partages de votre topic… Utiliser les options de partage

Oui, le web est (aussi) bon pour le journalisme Question de contrôle qualité. Il y a quelques jours, David Leonhardt, directeur du bureau de Washington du New York Times, a participé à une session “Ask Me Anything” (demandez-moi tout ce que vous voulez) avec les utilisateurs de Reddit, un site communautaire de partage de liens Internet. David Leonhardt – (CC) The Aspen Institute Comme le relate GIGAom, il lui fut notamment demandé s’il considérait que le développement d’Internet – et des réseaux sociaux en particulier – et la transition de la presse du papier au numérique constituaient une bonne nouvelle pour le journalisme. Sa réponse fut éclairante : “Je pense que le web a créé une presse plus responsable avec des standards plus élevés. Incidemment, cette citation m’a rappelé une remarque de Jodi Kantor, une autre journaliste très expérimentée du New York Times, qui avait expliqué que le fait de savoir que ses articles étaient désormais décortiqués par des myriades de blogueurs la rendait plus rigoureuse.

Widbook. Ecrire un livre en mode collaboratif Widbook est un site qui permet d’écrire, de lire et de partager un livre en mode collaboratif. Widbook est une plateforme d’écriture collaborative originale. Elle offre la possibilité d’écrire un livre de manière simple et ludique. Après vous êtes inscrit, vous pourrez aussitôt démarrer le travail de conception et d’écriture de votre premier livre. Widbook fonctionne en effet comme un réseau social doublé d’un outil de production de livres. Il sera disponible pour une lecture en ligne pour vos followers sur Widbook ou pour l’ensemble des utilisateurs. Là où le service de Widbook prend tout son intérêt c’est dans ses fonctions collaboratives. Widbook fera le bonheur de tous ceux qui souhaitent écrire entre amis ou en famille un livre de souvenirs par exemple. Le service Widbook est gratuit.

La nouvelle ère numérique : l'âge de la surveillance généralisée ? (New York Times) -- Julian ASSANGE La banalité du slogan de Google « Ne soyez pas malveillant » « La Nouvelle ère numérique » présente un programme étonnamment clair et provocateur de l’impérialisme technocratique, signé de deux de ses principaux apprentis-sorciers, Eric Schmidt et Jared Cohen, qui élaborent les nouveaux éléments de langage destinés à asseoir la puissance états-unienne sur le monde pour le 21e siècle. Ce langage reflète l’union sans cesse plus étroite entre le Département d’État et la Silicon Valley, incarnée par M. Schmidt, le président exécutif de Google, et par M. Cohen, un ancien conseiller de Condoleezza Rice et de Hillary Clinton, qui est maintenant directeur de Googles Ideas. Le livre fait l’apologie du rôle des technologies dans la refonte du monde des nations et des citoyens en un monde semblable à celui des superpuissances dominantes, de gré ou de force. Dans celui-ci, les auteurs enfilent avec aisance la cape du chevalier blanc. Les auteurs sont amers devant le triomphe égyptien de 2011.

Web Reporter | Reportage Multimedia Independant La CNIL estime que les fichiers de police ont toujours de "sérieux dysfonctionnements" La situation n'a pas vraiment changé depuis le rapport remis en 2009 par la CNIL au Premier ministre, François Fillon, sur le fichier STIC, principal fichier informatique de police en France. Le constat est toujours aussi dur, alors que la réorganisation des fichiers de police rend l'enjeu plus critique encore. En 2009, la CNIL soulevait plusieurs défaillances dans l'utilisation du STIC par les services de police : Des conditions d'enregistrement hétérogènes, avec un contrôle insuffisant et une conservation qui peut être illimitée au niveau local.Des informations non uniformisées dans la base nationale, avec le risque d'un traitement différent pour des personnes ayant commis les mêmes faits - ce qui contrevient au principe d'égalité.Un mauvais contrôle des accès, notamment à cause d'habilitations mal gérées et d'une traçabilité des accès inexploitée.Le manque de mises à jour, à cause essentiellement d'une absence de transmission des suites judiciaires d'une affaire par les parquets.

webullition : le webzine de la licence professionnelle journalisme et médias numériques de Metz Quand les artisans du web investissent les quartiers populaires - Formation Rendre accessible à toutes et tous la programmation informatique. Telle est l’ambition de Simplon.co, un projet de formation distillée par des informaticiens autodidactes et destinée aux jeunes sans diplômes issus des quartiers populaires. Ou comment apprendre à parler une langue « Open-source », comprendre les codes du développement web, pouvoir tenir une conversation avec un geek et monter sa web-entreprise artisanale, le tout en moins de cinq mois. « Le code informatique, la programmation, ce n’est pas un truc de matheux ou d’ingénieurs : c’est de l’artisanat ! ». Leur réponse : s’adresser à des personnes qui ne correspondent pas au stéréotype « jeune mâle et blanc » du développeur. Apprendre « l’alphabet de la révolution numérique » Tous ont été boursiers pendant leurs études. « Échelon 9, s’il avait existé ! Leur objectif : former et d’accompagner 24 personnes en cinq mois. Modèle ouvert et reproductible Autre spécificité : la formation sera rémunérée. Artisanat numérique

Related: