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Neutralité du Net: NKM tente de faire oublier Loppsi et Hadopi.

Neutralité du Net: NKM tente de faire oublier Loppsi et Hadopi.

Au Mali, Sarkozy s'affiche aux côtés de Pierre Camatte - Libérat Le président français Nicolas Sarkozy, qui a effectué une visite de deux heures à Bamako dans la nuit de mercredi à jeudi pour rencontrer l’ex-otage français relâché par Al-Qaïda, a assuré le Mali du «soutien» de la France pour une «lutte déterminée» contre les terroristes. Accueilli à sa descente d’avion par son homologue Amadou Toumani Touré, M. Sarkozy a ensuite insisté sur l’idée que le chef de l’Etat malien avait pris la «bonne» décision dans cette affaire. «Nous tenons à remercier - je veux le faire du fond du coeur - le président du Mali, qui a été un homme courageux, humain et qui a accepté de considérer que la vie d’un homme, Pierre Camatte, méritait un certain nombre d’efforts, de prises de responsabilité», a-t-il dit, au cours d’une conférence de presse au palais de la présidence malienne. Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) avait libéré mardi l’otage français après avoir obtenu de Bamako la remise en liberté de quatre islamistes détenus au Mali. M.

Le message subliminal de TF1 Le médiateur de TF1 conteste le fait d'avoir "manqué à l'honnêteté de l'information" en montrant un hémicycle plein à craquer lors de la présentation, par Brice Hortefeux, de la Loppsi (la vingt-quatrième loi sécuritaire adoptée depuis 2002), et voudrait jeter l'opprobe sur moi : "soit l'auteur de ce blog est de mauvaise foi, soit il s'est trompé. Tout ceci demande à être vérifié, ce que nous sommes en train de faire". En attendant les résultats de leur enquête interne, Arrêts sur image a démontré, vidéos à l'appui, que "l'auteur de ce blog" (je suis aussi "journaliste", faut-il le préciser) ne s'était pas trompé. Le CSA, lui, vient de confirmer que, pour la première fois dans l'histoire de la télévision française, il allait imposer la lecture d'un communiqué sur TF1 qui, entre autres "manquements à l'honnêteté de l'information", avait présenté un hémicyle plein à craquer, l'an passé, lors du vote de l'Hadopi, alors qu'il était là aussi quasiment vide.

Oui, il y a même un stalinisme de droite! Je voudrais remercier notre sarkolâtre pur et dur… d’abord parce qu’il accepte le dialogue en participant au débat (tout démocrate ne peut que s’en réjouir) et, ensuite, parce qu’il m’offre aujourd’hui un biais pour aborder une actualité un peu répétitive. 1- Notre internaute ne perd pas une occasion de dénoncer, de façon un peu obsessionnelle, les turpitudes de la mitterrandie. Il exagère beaucoup (ainsi, je puis témoigner, pour avoir dirigé des journaux sous son règne - y compris Le Matin de Paris - qu’il n’intervînt absolument jamais, alors que le président actuel intervient, lui, continuellement), mais, parfois, notre internaute touche juste. Or, voilà qu’un représentant de ce qu’il y avait de plus exécrable dans la mitterrandie est nommé par Nicolas Sarkozy, par pur copinage et renvoi d’ascenseur, au Conseil constitutionnel. « Il m’a promis, a déclaré au conseil des ministres le chef de l’Etat, à en croire Le Figaro, de nous soutenir par ses votes ». On est prévenu.

LOPPSI adoptée, Internet sous contrôle ? Paris, 8 février 2011 -- Le Parlement vient d'adopter définitivement1 le projet de loi LOPPSI, dont l'article 4 met en place la censure administrative d'Internet via le cheval de Troie de la protection de l'enfance. Un tel dispositif extra-judiciaire permettra à terme de généraliser la censure des contenus sur Internet. Dans la droite ligne des projets de Nicolas Sarkozy pour un « Internet civilisé », la censure administrative expose à de dangereuses dérives tout en laissant prospérer les pédophiles et la pédopornographie. L'Assemblée nationale et le Sénat ont définitivement adopté le projet de loi ultra-sécuritaire LOPPSI, et notamment son article 4 qui met en œuvre le filtrage administratif du Net au prétexte de lutte contre la pédopornographie en ligne. Pourtant, le blocage de sites n'empêchera en rien les criminels qui se livrent à la production et à la distribution de ces contenus de prospérer2. 1.

The Maintainability of Unit Tests We Recommend These Resources At speakerconf 2010 discussion repeatedly arose around the idea that unit tests hinder your ability to refactor and add new features. It's true that tests are invaluable when refactoring the internals of a class as long as the interface doesn't change. However, when the interface does change, updating the associated tests is often the vast majority of the effort. In my experience, making the interface or interaction change often takes 15-20% of the time, while changing the associated tests take the other 80-85%. Should I write Unit Tests? Ayende proposed that scenario based testing was a better solution. In my opinion, Martin Fowler actually answered this question correctly in the original Refactoring book. The key is to test the areas that you are most worried about going wrong. It's a bit of a shame that sentence lives in Refactoring and not in every book written for developers beginning to test their applications. An example That's it?

FAI remise en cause du filtrage Net Kaspersky : "Contre l'anonymat sur le Net, un passeport digital" Eugène Kaspersky, expert en sécurité informatique et créateur de l’antivirus qui porte son nom (Sergei Chirikov/Reuters) Une carte d’identité pour se connecter à Internet afin de lutter contre la cybercriminalité et un appel au bon sens des internautes sur les réseaux sociaux : deux thèmes abordés par Eugène Kaspersky, créateur de l’antivirus du même nom, et spécialiste en sécurité informatique. Expert russe en lutte contre la cybercriminalité,Eugène Kaspersky est une personnalité joviale et sans langue de bois, dont les prises de position détonnent dans le monde policé de la lutte contre les pirates informatiques. Vous êtes favorable à la création d’un passeport virtuel pour se connecter à Internet, en mettant fin à l’anonymat... La question est de donner à la cyberpolice plus de pouvoirs, et plus de moyens pour lutter contre le cybercrime. Mon idée est simple : quand vous conduisez une voiture, si vous respectez le code de la route, la police vous laissera tranquille. ... et l’iPad ?

L’usurpation d’identité numérique Un député a interrogé le ministère de l’Intérieur sur la lutte contre l'usurpation d'identité sur Internet. L’objet de la question tient en quelques mots : le parlementaire souhaitait avoir un bilan des mesures de lutte mises en œuvre contre cette pratique numérique. La réponse du ministère de l’Intérieur, en date du 30 juin 2009, donne d’abord un descriptif de la situation : il existe déjà des dispositifs dans le droit pénal, mais ceux-ci sont cantonnés à des hypothèses bien particulières, par exemple l’usurpation d'identité ainsi que la fausse déclaration relative à l'état civil d'une personne. La LOPPSI vient combler un vide juridique « Ces dispositions pénales se révèlent cependant insuffisantes au regard de la multiplication des utilisations malveillantes de l'identité de personnes physiques ou morales sur les réseaux de télécommunications » prévient le ministère qui revient évidemment sur la LOPPSI. Cette mesure cohabite avec un autre système : Pharos.

Les Déboulonneurs à Jouanno : "Témoignez à notre procès" Une inscription sur une pub Gucci (Môsieur J. version 3.0b/Flickr) Dans une lettre ouverte publiée sur Rue89, le collectif des Déboulonneurs, qui pratique la désobéissance civile contre le système publicitaire, demande à Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat à l’Ecologie, de témoigner lors de leur procès prévu le 12 mars à Paris, suite au barbouillage de six panneaux publicitaires le 26 janvier 2008 sur les Champs-Elysées. Contacté à deux reprises ce jeudi par Rue89 pour connaître la réponse de Chantal Jouanno à la demande des Déboulonneurs, le cabinet de la secrétaire d’Etat n’a pas encore souhaité réagir. Madame la ministre, Vendredi 12 mars 2010, nous passerons en correctionnelle au tribunal de grande instance de Paris. Nous souhaitons que vous y soyez témoin. Nous avons été tentés de vous nommer « barbouilleuse d’honneur » ! Ce débat est bien évidemment un préalable nécessaire à toute refonte en profondeur de la loi de 1979 encadrant la publicité extérieure.

La police va utiliser des logiciels espions Montage représentant une main sortant d’un écran d’ordinateur (Don Hankins/Flickr/CC). « Keylogger » : le gros mot est lâché. Les logiciels espions font leur entrée officielle dans l’arsenal que la police peut utiliser pour mener des opérations de surveillance, dans le cadre d’enquêtes visant les terroristes présumés ou les personnes suspectées de crimes en bande organisée. La loi Loppsi 2 sur la sécurité, promulguée en mars 2011, restait dans le flou sur les moyens exacts donnés à la police pour surveiller communications et données numériques. Les circulaires diffusées par le ministère de la Justice fin août sont plus précises : elles expliquent aux procureurs et policiers comment ils doivent concilier les interceptions téléphoniques et électroniques standards avec les nouvelles « mesures de captations informatiques » prévues dans le texte. (Télécharger la circulaire) Contourner la perquisition Le véritable enjeu : la mobilité

Affaire Soumaré: la droite pressée de tourner la page - Libérati Point, à la ligne. Après une petite semaine d’intense polémique autour de l’initiative des deux maires UMP du Val-d’Oise qui ont mis sur le dos du socialiste Ali Soumaré cinq affaires judiciaires, dont un vol aggravé pour lequel un homonyme avait été condamné, la droite veut boucler cette affaire au plus vite. Ainsi, François Fillon, jusqu’alors silencieux, a regretté qu’on «parle beaucoup trop» de la controverse, embarrassante pour l’UMP francilienne, au détriment «du fond». Voeu qu’avait formulé son collègue, ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, mercredi, appelant à un climat de campagne «calme, apaisé, de confrontation d’idées». Pour le secrétaire général de l’UMP, Xavier Bertrand, la situation est désormais «très nettement clarifiée» concernant la tête de liste PS du Val-d’Oise, le maire (UMP) de Franconville, Francis Delattre, ayant présenté ses excuses pour l’erreur de l’homonymie. «Maintenant, c’est dit» Pas si vite, semblent dire les socialistes. Libération.fr

[Actu] Le filtrage par DPI at The Internets L’ article 5 de la loi Création et Internet du 12 juin 2009 prévoit que l’Hadopi évalue . Vendredi dernier, Jean Berbinau, membre de l’Hadopi, nous invitait à regarder l’expérience de l’Australie en matière de filtrage des réseaux. Là-bas, les tests, réalisés l’année dernière, sur la base du volontariat, par neuf fournisseurs d’accès Internet, ont été effectués sur un ensemble de technologies diverses : DPI, DNS, URL par proxy et hybride. Lors d’une conférence à Montréal, en avril 2008, Jean Berbinau soutenait : Il est donc envisageable que le filtrage par DPI – basée sur la centralisation du trafic au niveau d’un point du réseau où le trafic est inspecté au niveau de l’URL, ou plus en profondeur (port, application, mots-clés, etc.) – soit l’une des technologies que la Haute Autorité va souhaiter voir appliquée pour, comme l’a décrit le chef de l’Etat, . Résumé : Le principe général repose sur le blocage des paquets IP selon une liste de critères définis par le FAI.

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