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Le temps, variable stratégique de l'entreprise

Le temps, variable stratégique de l'entreprise
Collection : Cahiers de Friedland 1er semestre 2011 Les entreprises souffrent aujourd'hui de la suprématie de l'urgence sur le temps de la réflexion, le temps du sens ou encore de la "réinvention" alors que nos économies et nos sociétés sont en période de rupture. Dans ce numéro, plusieurs auteurs tentent d'identifier, à travers leur expérience de chefs d'entreprise ou leur regard audacieux d'observateurs, les clefs et les outils pour réintroduire du temps long dans l'entreprise et l'économie. La valeur "temps" se révèle ainsi une variable stratégique de l'entreprise. Sommaire Consultez le sommaire des Cahiers de Friedland "Le temps, variable stratégique de l'entreprise" (PDF - 59 ko)Revue des livres Consultez la Revue des livres des Cahiers de Friedland « Le temps, variable stratégique de l'entreprise » (PDF - 90 ko)Prix La presse en parle

La prise en compte du temps modifie-t-elle la décision ? - stmg Thème 5 1ère question : la prise en compte du temps modifie-t-elle la décision ? Exposé de Corinne Berho, IA‐IPR Créteil et Alain Henriet, IGEN, accompagnant la présentation du diaporama Diapositive 2 : § Le temps est une notion difficile à saisir. C’est un questionnement universel, qui déborde bien largement la gestion puisque c’est un questionnement qu’on retrouve en philosophie, en histoire, en physique etc. Au sein des sciences de gestion, c’est un concept universel qu’on retrouve quelque soit la taille de l’organisation, quelque soit le secteur d’activité, quelque soit la spécialité (l’aménagement du temps de travail, le cycle de vie du produit, le développement des boutiques éphémères, les délais de paiement etc.) Il ne faut pas perdre trop de temps en envisageant toutes les différentes approches du temps en sciences de gestion. § Le programme privilégie 2 approches clés : - la dimension échéance (à une date donnée) et - la durée que l‘on peut distinguer en 2 sous-thèmes : Diapositive 3 :

La gestion du temps en entreprise: Cas pratique Cas pratique: Emmannuel VIERA Consultant en Tourisme, Chargé des études et de l’analyse statistique au Comité Régional du Tourisme de la Région Midi Pyrénées en FRANCE. La gestion du temps s’énonce comme la planification et l’organisation de notre relation au temps par rapport aux activités que nous réalisons. Gérer son temps suppose à priori que le temps est une propriété, ce qui est une grave erreur, vue son inélasticité. Nous nous devons de bien gérer notre temps, parce que nos réalisations sont calées sur des échéances données. Nous gérons mal notre temps, toutes les fois que nous pensons que le temps nous appartient, et que nous pensons avoir "tout notre temps" pour exercer une tâche. En Afrique, la conception que l’on a du temps est purement culturelle. Mon expérience au Comité Régional du Tourisme de la Région Midi Pyrénées en FRANCE est assez éloquente. Se dire à chaque fois, qu’un objectif non atteint dans le délai, est une contre-performance latente.

trebucq.u-bordeaux4.fr/1186-germain-trebucq.pdf gestion du temps Relations sociales et performance de l'entreprise Créer une chek-list et un rétro-planning (diagramme de Gantt) 1. Préparez les informations clés Qui veut/doit organiser Quoi ? Pour qui ou Avec qui ? Pourquoi (objectifs) ? Quand et Où ? Avec quels moyens : quel budget, pour ou avec Combien de personnes, Comment ? 2. Dans un premier temps, répertoriez sans trop vous préoccuper de leur ordre, les Tâches à accomplir. Une tâche principale (ex. : concevoir le livre d'accueil) pourrait être scindée en plusieurs tâches ? En effet, il est souvent difficile de suivre les tâches secondaires sur un planning. 3. Observez chaque tâche et repérez celles qui sont interdépendantes (ex. : concevoir le courrier d'invitation (D) précède obligatoirement la fixation du jour (A) et du lieu (B). Ensuite, classez les tâches par ordre logique de mise en œuvre. 4. Au regard de chaque tâche, précisez le temps nécessaire (en jour). Ensuite, et à partir de la Date « J », fixez les dates d'action en vous appuyant sur le nombre de jours de réalisation prévu. 5.

Performances financières et performances sociales sont-elles compatibles ? LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Nicolas Mottis, professeur à l'Essec Une entreprise peut-elle croître tout en étant vertueuse dans ses pratiques sociales, environnementales ou de gouvernance ? Dans le jargon managérial, cela renvoie au lien entre "création de valeur" - comprendre performance financière - et performances extra-financières ou performances "ESG" (environnementales, sociales et de gouvernance). Cette question simple est en fait bigrement compliquée. Malgré des années d'effort, la recherche en économie peine encore à apporter une réponse ferme. Par exemple, certains concluent qu'une gestion sociale de qualité est indispensable à l'obtention d'une bonne performance financière. Bien que la conclusion ne soit pas claire, le débat monte en puissance. Dans un article publié dans la Harvard Business Review en février 2011, l'un des derniers rares gourous du management anglo-saxon, Michael Porter, met en avant la notion de "valeur partagée".

Charges sociales en 2013 : les taux et les assiettes des cotisations Les cotisations, contributions et autres taxes sont payées par les employeurs et les salariés. Voici, en détail, comment se calculent les charges sociales en 2015. Pour les employeurs, elles représentent un coût. Quelques modifications interviennent au 1er janvier 2015. Le mode de calcul des cotisations FNAL évolue. La réduction Fillon change aussi en 2015. Les cotisations socialesVersées à la Sécurité sociale ou aux différents organismes du régime privé (Assedic...), les cotisations sociales sont directement calculées sur les salaires et s'intègrent dans la partie "taxes sur les traitements et salaires". Les cotisations sociales employeurs (ou cotisations patronales) sont calculées en fonction du salaire brut mensuel. Les nouveaux taux de la cotisation vieillesse plafonnée sont portés à : * 6,85 % pour la part salariale,* 8,50 % pour la part patronale. Les taux de la cotisation vieillesse déplafonnée sont portés à : * 0,30 % pour la part salariale,* 1,80 % pour la part patronale.

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