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L’enquête « Lycéens et réseaux sociaux »

L’enquête « Lycéens et réseaux sociaux »

Le choix du numérique : un devoir et une opportunité pour l’Ecole Le Conseil national du numérique (CNNum) a lancé en juin 2011 une réflexion sur la place du numérique à l’Ecole et sur les conditions de son développement. Le groupe de travail qu’il a constitué a auditionné plus de 50 personnalités du monde de l’éducation, de l’édition et du numérique. Le CNNum présente aujourd’hui ses recommandations sur ce sujet central pour la société. Près de 100 000 écoliers sortent tous les ans du CM2 sans maîtriser les compétences de bases. Le potentiel offert par le numérique reste encore très peu exploité, comparé à tous les autres champs de l’activité humaine, alors qu’il pourrait être un puissant facteur d’amélioration des processus pédagogiques et de l’organisation du système éducatif. Quelques chiffres le démontrent : L’acquisition d’une culture du numérique et la maîtrise de ses outils sont aujourd’hui nécessaires à une insertion réussie dans la société et la vie active, qui est l’une des missions premières de l’Ecole Une gouvernance régionale plus adaptée

Observatoire ConsumerLab Ericsson: comment les adolescents communiquent-ils et socialisent-ils aujourd’hui ? “Le chat vidéo, c'est comme avoir ses amis assis sur son bureau!" - Victoria, 15 ans Entre juin et novembre 2011, l’observatoire ConsumerLab d’Ericsson a mené une étude afin d’analyser le comportement des adolescents et les implications que cela a sur les terminaux mobiles et la technologie à venir. « Les comportements s’inscrivent dans une dynamique et évoluent au cours d’une vie. L’étude révèle que l’usage courant des textos et de Facebook a modifié la dynamique des rencontres chez les adolescents. Autre point important : faire passer son statut facebook de « célibataire » à « en couple » est désormais perçu par les amis comme une déclaration officielle. Lorsqu’une rencontre en tête à tête n’est pas possible, l’échange de textos reste pour les adolescents l’outil de prédilection. Dans le cadre de cette étude, près de 2 000 personnes ont été interrogées parmi un échantillon représentatif de 20 millions d’adolescents âgés de 13 à 17 ans, sur l’ensemble des Etats-Unis.

décrochage Le recensement des décrocheurs n’est pas une mince affaire. Dès 1992, le ministère en dénombre quarante-cinq-mille par an. À la fin des années 90, les mêmes sources en donnent 8 % d’une classe d’âge, soit environ soixante-mille. Le 11 juillet 2004, le journal Libération en compte cent-mille. L’appareil scolaire comptabilise les décrocheurs sans jamais avoir défini le décrochage. Le décrochage étant mal identifié, les décrocheurs sont parfois répertoriés dans des rubriques hétéroclites : changement d’établissement, réorientation, entrée dans la vie active, scolarisation par correspondance, départ à l’étranger, alternance, etc. In fine, qu’il concerne des décrocheurs ou de décrochés, le phénomène semble recouvrir au moins trois réalités souvent imbriquées : Nombre d’établissements se préoccupent de décrochage, mais ne s’occupent pas des décrocheurs. Le déniLes collèges et lycées les plus conservateurs rejettent l’éventualité du décrochage.

Un réseau social n'est pas un média...et réciproquement En deux mots : on a tendance à systématiquement assimiler un réseau social à un média alors que ces deux types d’outils sont de nature différente. Cette différence qui touche à la réciprocité de la relation entraine des différences notables dans la manière de les utiliser. C’est une réflexion qui me vient souvent lorsque je lis des articles ou voit passer des discussions sur twitter : la plupart des outils que l’on qualifie de réseau social n’en sont pas. En tout cas à mon avis. Cela signifie plusieurs choses : - qu’on ne sait pas encore ce qu’est un réseau social, ou que la grande majorité n’a pas encore saisi toutes les subtilités du concept. - que parce que c’est à la mode on met « social » et « réseau social » à toute les sauces sans rien savoir de quoi on parle. - que faute de comprendre son outil on en fait et en attend n’importe quoi. Alors bien malin qui peut prétendre détenir la vérité en ce domaine mais je m’empresse de partager la mienne avec vous. La différence principale ?

Le guide du web 2012 du Café pédagogique : Documentation - CDI Par Julie Anne, Justine Margherin et Fred Yvetot Dix sites, comment se limiter à dix sites ? Quels sont ceux qu'il faut absolument avoir dans nos favoris ? Voici notre sélection du web pour cette année : les indispensables pour un professeur documentaliste (ou un étudiant qui souhaite le devenir). SavoirsCDI On ne présente plus ce site du CNDP qui offre l'outillage complet de ressources professionnelles. Savo Docs pour docs A l'initiative de ce site, on trouve Alain Gurly, professeur-documentaliste à présent à la retraite, qui continue à alimenter à domicile le site aux côtés de Nicole Boubée, Edith Boulo, Ghislain Chasme et Jacqueline Valladon. A travers trois types de ressources : les brèves, les articles et les infoliens, ce site permet de trouver une mine d'informations sur l'ensemble des problématiques qui concernent les professeurs-documentalistes dans l'exercice de leur métier. Docspourdocs gère également la liste de diffusion e-doc. L@BD.fr

Panorama des médias sociaux 2012 (The english version of this article is here: Social Media Landscape 2012) Il y a quelques années une analyste disait que dans cinq ans, les médias sociaux seront comme l’air (omniprésents). Nous sommes en 2012 et les médias sociaux n’ont jamais occupé une place aussi importante sur le web, à tel point que l’on en vient à se demander dans quelle mesure il est encore pertinent de dissocier les médias sociaux et le web. Pourtant, si l’on s’en tient à la définition que j’ai donnée (“Les médias sociaux désignent un ensemble de services permettant de développer des conversations et des interactions sociales sur internet ou en situation de mobilité”), il existe bien une différence entre un site web classique et les médias sociaux, surtout si l’on étudie de plus près les différents types de médias sociaux. Un écosystème toujours aussi dense Nous retrouvons ainsi au centre de ce schéma trois acteurs qui proposent une large palette de fonctionnalités (Facebook, Twitter et Google+).

SIMONOT et GALLEZOT,  Google 1Ce titre annonce d’emblée une posture critique et, plus largement, une promesse de dévoilement. L’approche communicationnelle, affirmée dès le sous-titre, saisit Google comme un objet de recherche à construire à distance des discours promotionnels ou pamphlétaires. La recherche collective prend appui sur une perspective sociotechnique, mais également sociopolitique du moteur de recherche et de ses usages, pour interroger la production de valeurs par la société Google. Le moteur est scruté au prisme des modèles de recherche d’information qu’il convoque, du discours idéologique sur son algorithme et de l’uniformisation des modes d’interrogation par mots-clés. 2Ainsi, c’est à la jonction entre sciences du document et analyse des pratiques documentaires que l’ouvrage pose un regard sensiblement novateur sur son objet. 3Le premier volet entre de plain-pied dans l’analyse des pratiques documentaires de deux publics, les étudiants et les journalistes.

Ces réseaux numériques dits sociaux Présentation Facebook, MySpace, Twitter, YouTube, Copains d’avant, Viadeo... Deux tiers des internautes seraient déjà séduits par la nébuleuse « médias sociaux ». En consacrant ce numéro aux « réseaux socionumériques », derniers nés de ces dispositifs, Hermès prolonge et approfondit la critique du numérique menée par la revue et l’Institut des sciences de la communication du CNRS (ISCC). Chercheurs de divers horizons disciplinaires et professionnels du Web interrogent le phénomène, en procédant non seulement à une analyse des diverses appellations, souvent trompeuses, mais aussi en replaçant ces sites dans l’histoire des réseaux de communication. Les formes de lien social et de communication, la visibilité de la vie quotidienne, l’effacement des frontières publiques et privées (caractéristiques de ces dispositifs) sont mises en perspective. Sommaire Thomas Stenger et Alexandre CoutantIntroduction Nicole EllisonRéseaux sociaux, numérique et capital social (entretien) Edgar MORIN, La Voie.

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