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Grèce : Tout un symbole de dette illégitime

Grèce : Tout un symbole de dette illégitime
Résumé : La dette publique grecque a fait la une de l’actualité au moment où les dirigeants de ce pays ont accepté la cure d’austérité demandée par le FMI et l’Union européenne, ce qui a provoqué de très importantes luttes sociales tout au long de l’année 2010. Mais d’où vient cette dette grecque ? Du côté de la dette à charge du secteur privé, l’augmentation est récente : une première augmentation forte suit l’entrée de la Grèce dans la zone euro en 2001, une deuxième explosion de la dette se produit à partir de 2007 quand l’aide financière octroyée aux banques par la Réserve fédérale aux Etats-Unis, par les gouvernements européens et par la Banque centrale européenne (BCE) est en partie recyclée par les banquiers vers la Grèce et d’autres pays comme l’Espagne ou le Portugal. Du côté de l’endettement public, la croissance est plus ancienne. Des éléments évidents d’illégitimité de la dette publique Pour poursuivre, on trouve le scandale des Jeux olympiques de 2004. Source : FMI |4| Taxes

Famine : « On n'avait pas vu ça en Grèce depuis l'Occupation » -- Enfant de la Société Menacés par la famine, comme pendant la Seconde Guerre mondiale, les Grecs ont l'impression de replonger dans la dictature. Economique, cette fois. Tous les jours, la même scène : à midi, une foule silencieuse se presse devant les grilles de la mairie d'Athènes, à deux pas de la place Omonia. Certains tentent de doubler, d'autres de repasser une seconde fois. Années fastes. Premier pays «dégradé» d'Europe, la Grèce est aujourd'hui le plus mal noté par les agences financières. «J'ai commencé à m'inquiéter lorsqu'en consultation j'ai vu un, puis deux, puis dix enfants qui venaient se faire soigner le ventre vide, sans avoir pris aucun repas la veille», raconte Nikita Kanakis, président de la branche grecque de Médecins du monde. Diktats. Mais si le mot revient si souvent pour décrire le retour de la faim qui frappe les classes moyennes, c'est aussi en référence aux diktats de Bruxelles, et plus encore de Berlin. «Laboratoire».

Holding Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au Québec et en Belgique, le terme société de portefeuille est plus communément utilisé. Présentation[modifier | modifier le code] La création d’une holding permet aux majoritaires d’accroître leur pouvoir dans les affaires gérées. En général, la société holding est une société mère. Une holding peut également effectuer des actions de contrôle, d'aide au lancement d'entreprises récemment créées, gérer des brevets, placements et financements. Un des grands intérêts des holdings est de pouvoir détenir de nombreuses participations, et partant un contrôle relativement important, à partir d'un capital réduit, ce grâce à la possession de holdings par d'autres holdings. En détenant par exemple 50 % d'un holding détenant lui-même 50 % du capital d'entreprises, on contrôle celles-ci tout en ne détenant en réalité qu'un quart de leur capital. Types[modifier | modifier le code] On distingue deux types de holdings : Fiscalité[modifier | modifier le code]

Pourquoi faire un audit citoyen de la dette publique française ? La tentation est forte au vu de quelques éléments déjà connus des causes de l’endettement public de considérer un audit comme un passage inutile. Parmi ces éléments connus qui permettent de qualifier cette dette comme illégitime et non due, on peut citer pêle-mêle pour la dette publique française (à compléter) : Pour la dette publique de l’Etat central : l’obligation depuis 1973 d’avoir recours aux marchés financiers ; l’effet « boule de neige » qui a consisté à payer des taux d’intérêt sur les obligations d’Etat supérieurs à l’accroissement des ressources nécessaires à ce paiement (décision politique) ; la réforme de l’Etat suivie de la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) et son impact sur les pertes de moyens des administrations publiques ; la dérèglementation des marchés financiers depuis 1983 ; la privatisation systématique des banques et assurances depuis 1986 ; les privatisations des autres entreprises publiques depuis cette date Pour la dette des collectivités locales :

Theodorákis : Il y a un complot mondialiste pour le genocide du peuple grec Un complot international est en cours, visant à mener à terme la destruction de mon pays. Les assaillants ont commencé en 1975, avec comme cible la culture grecque moderne, puis ils ont poursuivi la décomposition de notre histoire récente et de notre identité nationale et aujourd’hui ils essaient de nous exterminer physiquement par le chômage, la famine et la misère. Si le peuple grec ne se soulève pas pour les arrêter, le risque de disparition de la Grèce est bien réel. Jusqu’en 2009, la situation économique de la Grèce n’avait rien de très grave. Il est évident que ces deux grandes plaies auraient pu être évitées si les dirigeants des deux parties politiques pro-américains n’avaient pas été infiltrés par la corruption. Par cette arnaque, les étrangers gagnaient doublement: d’une part, par la vente d'armes et de leurs produits et d'autre part, par les intérêts sur l'argent prêté au gouvernement (et non pas au peuple). L’année passée, M. M. Mais M. Ensuite, M.

BREVE : Les sommets européens infiltrés par les banques Lors des sommets européens comme ceux de juillet et octobre 2011, où il s’agit ni plus ni moins depuis trois ans de « sauver l’euro » ou de « sauver la Grèce », les débats essentiels ne sont pas publics mais informels. On peut même parler de tractations de couloir entre banquiers et élus nationaux, pour le plus grand bonheur des banques, évidemment. Ces deux derniers sommets de juillet et octobre 2011 ont porté sur la restructuration de la dette grecque : on a demandé aux banques de réduire les profits qu’elles attendaient de leurs prêts toxiques (puisque la Grèce sera insolvable, on le sait depuis le départ). Avec le risque, largement souligné par les banques, que certaines d’entre elles se retrouvent dans les choux. D’après le Corporate Europe Observatory, un groupe de recherches sur le lobbying en Europe, l’Europe a choisi comme principal interlocuteur dans ces débats un lobby financier qui s’appelle l’Institute of international Finance[1].

Le droit naturel à l’insolvabilité… Sur le dernier livre d’Eric Toussaint | Joli Mai L’actuelle crise européenne, parmi les plusieurs effets négatifs sur la vie des millions de personnes, a eu le mérite de développer une nouvelle littérature hétérodoxe et alternative capable de fournir des outils pour une analyse et une politique économiques anti-néolibérales. Un bon exemple de cela est constitué par le livre collectif (Edizioni Allegre, 172 p., 15 euros, sous la direction de D. Millet et E. Toussaint, avec la postface de Salvatore Cannavò). Les deux auteurs appartiennent au CADTM, fondé en 1990, et ils ne sont pas des économistes dans le sens strict du terme : le premier est professeur de mathématiques et le deuxième est docteur en sciences politiques. Le texte réunit des essais brefs, clairs et compréhensibles pour un public non spécialisé. Plusieurs dispositions juridiques du droit international valent la peine d’être analysées, notamment parce qu’elles ne sont que la reprise de certains droits déjà existants, au moins formellement. Un livre à lire sans aucun doute.

Grèce : « Nous n’aurons bientôt plus aucune raison de ne pas être violents » Marie-Laure, Française exilée en Grèce depuis vingt ans, raconte la manifestation qui a secoué les rues d’Athènes le 12 février, et l’angoissant climat qui s’installe dans le pays. « Prenez soin de vous, et de votre humanité. Si on oublie, si de rage, de peur ou de désespoir on en vient à se perdre, rappelez-nous à la nôtre », nous prévient-elle. La manif de dimanche n’était en fait pas vraiment une manif. C’était plutôt comme si beaucoup, beaucoup de Grecs avaient décidé de quitter leur boulot, leur cuisine, l’endroit ils se trouvaient, pour aller se camper autour du Parlement... On s’est retrouvés avec Yorgos Mitralias (fondateur de l’ELE, le comité pour l’audit de la dette grecque), dans une galerie historique, en contrebas de Syntagma. Les forces de l’ordre, style Ninjas, « carapacées » jusqu’aux oreilles, avaient bloqué l’accès à plusieurs rues, et formé un cordon impressionnant devant le Parlement. Une foule immense et pacifique Catastrophe, donc, à Athènes. On aura faim, et froid

Alertes maximales suivant le site Gold-UP Pratiquement inconnue de tous, sauf de l’élite financière mondiale, le CHIPS est la de compensation des grosses opérations aux Etats-Unis, qui gère le transfert de plus de 1 milliard de dollars par jour au travers des 250.000 paiements interbancaires qui, avec le , exploité par la Fed, constitue le principal réseau américain au niveau international (96% du trafic mondial) des paiements en dollars américains. D’après ce rapport, la cause sous-jacente de l’effondrement du CHIPS, est due à une demande « » dans le cadre du soulagement en liquidité immédiate demandée par les principales banques de l’Union Européenne et les États-Unis. Écrasées par la dette combinée des USA et les pays européens, dont le total avoisine les 39 000 milliards de dollars… Nous observons qu’il est en chute libre de . Une perte terrifiante jamais vue depuis les jours sombres de la fin 2008 (alors que le SP &500 est en lévitation artificielle…) Vous pouvez le suivre en temps réel sur le site de Bloomberg ici.

Spéculation : l'Espagne a déjà remboursé trois fois sa dette ! - Crise financière En dix ans, l’Espagne a remboursé 1 020 milliards d’euros de dette, taux d’intérêt compris. Soit trois fois le montant de ce que l’État avait emprunté en 2000. Un énorme transfert des richesses ponctionnées sur la population et les services publics au bénéfice de riches créanciers. Comme en Grèce ou au Portugal… La dette de l’État espagnol est le point de mire de toute l’Europe, du fait que les marchés financiers (banques d’investissement, fonds vautours et assurances) continuent à spéculer sur cette dette avec un seul objectif : amasser de juteux bénéfices. Cependant, et contrairement au discours dominant, ce ne sont pas les dépenses publiques qui ont augmenté la dette de l’État espagnol, mais, bien au contraire, les mesures qui ont provoqué des déficits obligeant à un endettement croissant, et dont le bénéfice pour l’ensemble de la population est plus que douteux. Effet boule de neige Nécessité d’un audit de la dette Photo : Photo : Dan Simpson

Athènes : provocation organisée -- Enfant de la Société Normal en quelque sorte: Hitler a bien organisé l'incendie du Reichstag pour pouvoir accuser les communistes, et les interdire par la suite ... ! Ne sommes-nous pas en EURO-DICTATURE capitaliste franco-allemande, c' est-à-dire sous le IVe Reich en construction et en pleine marche vers l' Est ? La souveraineté des Nations, l'Indépendance des États intégrés, cela ne compte d'ailleurs déjà plus ... Une provocation bien organisée Toutes les informations divulguées jour après jour, montrent à quel point a été organisé le plan de répression d'Etat et de provocation qui s'est déroulé dimanche dernier lors des grandes manifestations à Athènes, afin de frapper le mouvement ouvrier. Jusqu'à présent, les données suivantes ont été répertoriées : 1. 2. 3. 4. 5. Que montre tout cela ?

Société de financement de l'économie française Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La société de financement de l'économie française (SFEF) (originellement appelée société de refinancement des activités des établissements de crédit) (SRAEC) est présidée par Michel Camdessus[1]. Il sera remplacé le 1er janvier 2010 par Françoise Malrieu[2], alors que la SFEF a annoncé la fin de ses émissions à l'automne 2009. Par une loi du 16 octobre 2008[4], la France prévoit un mécanisme de refinancement destiné à stabiliser les marchés financiers. Les autorités françaises ont fait le choix de ne pas recourir à un mécanisme direct de garantie, mais de s’appuyer sur une structure créée pour l’occasion – la Société de financement de l'économie française (SFEF) – qui sera la seule à recevoir la garantie étatique. La SFEF est pour 66 % une filiale de la plupart des banques françaises, l'État en détenant 34 %. Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Crise financière Portail de la finance

Grèce: Les dettes illégitimes odieuses ou d’illégales. Titre originale: Grèce: Tout un symbole de dette illégitime par Eric Toussaint sur Mondilisation.ca Résumé : La dette publique grecque a fait la une de l’actualité au moment où les dirigeants de ce pays ont accepté la cure d’austérité demandée par le FMI et l’Union européenne, ce qui a provoqué de très importantes luttes sociales tout au long de l’année 2010. Mais d’où vient cette dette grecque ? Voilà pourquoi la légitimité et la légalité des dettes doivent être soumises à un examen rigoureux, à l’image du travail accompli par la commission d’audit intégral des dettes publiques de l’Equateur en 2007-2008. Des éléments évidents d’illégitimité de la dette publique D’abord il y a la dette contractée par la dictature des colonels, elle a quadruplé entre 1967 et 1974. Pour poursuivre, on trouve le scandale des Jeux olympiques de 2004. De nombreux contrats signés entre les autorités grecques et de grandes entreprises privées étrangères font scandale depuis plusieurs années en Grèce.

Goldman Sachs a camouflé la dette de la Grèce. Puis parié sur sa faillite De nouvelles révélations accablent la banque d’affaires américaine, qui semble avoir joué sur tous les tableaux, mettant Athènes à genoux. Et l’euro en danger. Quel cynisme! Si l’on en croit le New York Times et l’hebdomadaire allemand Spiegel, ce sont les banques de Wall Street, comme Goldman Sachs, qui ont permis à la Grèce de s’endetter en cachette, bien au-delà des limites fixées par Bruxelles. Et cela, grâce à des montages financiers complexes, qui ressemblent curieusement aux subprimes responsables de la pire crise mondiale des quatre-vingts dernières années. Et ce n’est pas tout. Mais reprenons. Le cercle vicieux C’est donc en toute légalité que Goldman Sachs a empoché une commission de 300 millions de dollars pour avoir monté l’opération. Plus dérangeant encore: la même banque investit dans des «credit default swaps», qui parient sur l’incapacité de la Grèce à honorer les intérêts de sa dette.

Institut français de finance islamique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir IFFI. L’Institut français de finance islamique est une organisation ayant pour but la promotion et accompagnement du mouvement de la finance islamique, en France et dans le monde, ainsi que de faire de Paris une place financière plus ouverte à cette industrie par la mobilisation des investisseurs islamiques en faveur des entreprises et des collectivités territoriales françaises[1]. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Banque

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