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PEDAGOGIE, POURQUOI UTILISER LES PEDAGOGIES DITES "ACTIVES" ? - PEDAGOFORM Le Blog

PEDAGOGIE, POURQUOI UTILISER LES PEDAGOGIES DITES "ACTIVES" ? - PEDAGOFORM Le Blog
Lors d'une rencontre récente, une Direction m'a interpellée en me demandant pourquoi je pronais à tous crins l'utilisation des pédagogies dites actives. Loin de moi l'idée de vouloir créer une "dictature" des pédagogies dites actives mais cette interrogation m'a amenée à me réinterroger sur l'adéquation de ces nouvelles pédagogies avec le monde REEL du travail. "Après tout, vous pourriez leur faire un bon cours de 2 jours, où chacun prend des notes et cela ferait aussi bien l'affaire, non ?" C'est la phrase de conclusion de l'entretien avec mon interlocutrice. J'avais essayé de convaincre cette Direction de la vertu des pédagogies dites actives, mais force est de constater que je n'y suis guère parvenue : naïvement, je pensais que cette vision était acquise pour elle, comme pour bon nombre d'autres Directions que je cotoie, mais la réalité de ses propos m'ont remis en doute quant à la vertu des pédagogies dites actives face à l'environnement professionnel. Qu'est-ce qu'une formation ? Related:  La Pédagogie activeClasse inversée

100 activités génériques de pédagogie active - Fiches complètes - Gratuit - Denys Lamontagne - 03 février 2021 Voici une ressource pédagogique de qualité, accessible à tous et proposée comme aide pédagogique pour les profs de Polytechnique Montréal, une école affiliée de l'Université de Montréal. Les enseignants en génie sont avant tout des experts de leur domaine, mais pas nécessairement de la pédagogie. Aussi le service pédagogique IMPAct (Innovation en moyens pédagogiques d’apprentissage actif) a préparé des fiches d'activités génériques, qui peuvent être utilisées comme approche pédagogique dans n'importe quelle matière. Ces fiches sont conçues pour des professeurs qui ne sont pas des pédagogues mais qui apprécieront le devenir. Améliorer la qualité de l'enseignement Les principes du travail intellectuel demeurent les mêmes, peu importe l'âge, l'expérience ou la matière abordée. Même si au départ on s'adresse à une clientèle universitaire, ces fiches peuvent être utilisées aussi bien au primaire qu'à l'université. Situations et besoins pédagogiques variés Vignettes de pédagogie active

Pédagogie interrogative, active, co-active, inversée… quelles différences ? – Le blog de C-Campus Il existe un nombre infini de méthodes et techniques pédagogiques. Aucune n’est meilleure que l’autre, tout dépend du contexte dans lequel elles sont utilisées. On peut les classer aujourd’hui en cinq grandes familles. Voici leurs avantages et leurs inconvénients. 1) Pédagogie Expositive Les pédagogies dites « expositives » ou « transmissives » ou encore « magistrales » ont longtemps été le modèle de référence en formation. Les pédagogies expositives gardent encore de l’intérêt pour diffuser un savoir en un minimum de temps. 2) Pédagogie Interrogative ou participative Pédagogie prédominante aujourd’hui dans le domaine de la formation en entreprise, les techniques interrogatives ou participatives font appel à la connaissance des apprenants. Beaucoup de formateurs pensent faire de la pédagogie active alors qu’ils ne font que de la pédagogie interrogative ou participative. Certaines pédagogies ludiques à base de quiz ou d’exercices de mémorisation simples entrent dans cette catégorie.

Étudier ensemble : pas si facile Osmose a été une expérimentation menée pendant deux ans, entre 2009 et 2011, au Cégep à distance. La recherche visait à favoriser la collaboration entre étudiants, tout en développant chez eux un sentiment de présence sociale. Le principal défi de ce projet était de déployer des outils de collaboration tout en composant avec les contraintes liées au modèle d’apprentissage du Cégep@distance qui, d’entrée de jeu, ne favorise pas la collaboration entre pairs. Dans quelle mesure les étudiants en formation à distance choisissent-ils librement de collaborer entre eux ? Quels usages font-ils des espaces d’apprentissages sociaux, de la visioconférence et des activités d’apprentissages élaborées pour ce projet ? Les réponses ont été déstabilisantes. L’expérimentation a été réalisée sur la plate-forme ELGG, adaptée et améliorée et intégrant plusieurs fonctions et modules (recherche de pairs, vidéo, agenda, sondage, etc.), des modes d’emploi et des espaces d’échange. A-n-i-m-a-t-i-o-n Référence :

Étudier ensemble : pas si facile - Denys Lamontagne - 20 mai 2013 Osmose a été une expérimentation menée pendant deux ans, entre 2009 et 2011, au Cégep à distance. La recherche visait à favoriser la collaboration entre étudiants, tout en développant chez eux un sentiment de présence sociale. Le principal défi de ce projet était de déployer des outils de collaboration tout en composant avec les contraintes liées au modèle d’apprentissage du Cégep@distance qui, d’entrée de jeu, ne favorise pas la collaboration entre pairs. Dans quelle mesure les étudiants en formation à distance choisissent-ils librement de collaborer entre eux ? L’expérimentation a été réalisée sur la plate-forme ELGG, adaptée et améliorée et intégrant plusieurs fonctions et modules (recherche de pairs, vidéo, agenda, sondage, etc.), des modes d’emploi et des espaces d’échange. La plupart des réponses, on ne pouvait que les trouver dans l’expérimentation elle-même. Les activités collaboratives suscitent... peu d’intérêt. A-n-i-m-a-t-i-o-n Une tradition d’individualisme Référence :

Les classes inversées, variété et effets différenciés Marcel Lebrun présente ici les premiers résultats d’une recherche prolongeant la mise en place de la typologie qu’il nous a présentée dans l’article du dossier papier de ce numéro. Le but premier de la recherche présentée ici est de dégager une typologie des classes inversées (des dimensions en interaction plus qu’une catégorisation disjonctive) et, éventuellement, de valider celle que nous avions proposée en 2014 sur notre blog [1]. C’est ainsi que nous avons également souhaité mesurer, dans une première approche, à la fois des constituants explicatifs des classes inversées (rôle de l’expérience des enseignants, des disciplines enseignées, des options pédagogiques, etc.) et leurs effets différenciés (sur la motivation des élèves, sur le caractère actif et interactif des situations pédagogiques mises en place par les enseignants, en particulier au niveau de la différenciation pédagogique, sur les compétences développées, etc.). Validation de la typologie Un premier bilan positif

APPRENDRE AUTREMENT - APPRENDRE AUTREMENT est le blog dédié aux approches innovantes de la formation dans les organisations La neuroscience appliquée aux séquences d’apprentissage Le mot « apprentissage » revient fréquemment lorsqu’on parle d’éducation et d’enseignement. Mais comment apprend-t-on? Heureusement, les recherches sur le fonctionnement du cerveau progressent et mettent en lumière des facteurs qui favorisent (ou compliquent) l’apprentissage. Au cours d’un atelier présenté dans le cadre du Sommet du numérique en éducation, Marie-Andrée Croteau, directrice à l’innovation pédagogique au Collège Bourget, a présenté un condensé des 7 principes neuroéducatifs qui sont au cœur d’un ouvrage rédigé par Steve Masson, Activer ses neurones pour mieux apprendre et enseigner, paru en 2020. Concrètement, les 7 principes neuroéducatifs permettent de faire le lien entre les neurosciences (qui permettent de comprendre le cerveau) et des stratégies concrètes (qui permettent d’aider à apprendre). 1- Activation des neurones reliés à l’apprentissage L’activation des neurones passe par l’utilisation d’approches actives ainsi que par la limitation des sources de distraction.

« Les pratiques au cœur de la classe inversée remontent à plus d’un siècle ! La classe inversée, on en parle beaucoup et, surtout, beaucoup d’enseignants la pratiquent. Loin de la définition communément donnée, notre dossier montre à quel point ces pratiques sont diverses, inspirées les unes par les autres et appuyées sur les outils numériques. Pour les coordinatrices du dossier, la classe inversée est souvent une impulsion pour innover et « recommencer à impliquer les élèves ». Après avoir coordonné ce dossier, pouvez-vous esquisser une définition de ce qu’est la classe inversée ou de ce que sont les pratiques de classe inversée ? Françoise Colsaët : Je ne savais pas grand chose de la classe inversée avant de me lancer dans cette aventure, hormis la définition simplifiée : « le cours à la maison, les devoirs en classe ». Héloïse Dufour : La définition souvent entendue, voire lue dans la presse généraliste, ne tient évidemment pas après examen des pratiques. F. H. Deuxièmement, nous sommes dans un contexte particulièrement favorable à ces pratiques. F. H. F. H.

La veille pédagogique : un comportement gagnant! Ceux qui sont familiers avec le domaine des médias connaissent ce qu’est une veille médiatique, soit un constant regard sur ce qui se passe dans l’actualité afin de partager les nouvelles et de s’assurer de leur véracité. Le principe peut aussi s’appliquer dans le domaine de l’éducation. C’est quoi, une veille pédagogique? De la même façon qu’un journaliste veille sur les nouvelles qui sortent afin de ne pas en manquer une, un acteur du milieu de l’éducation peut suivre ce qui se fait en éducation afin de le propager dans son milieu et l’intégrer dans sa pratique. De plus en plus de médias s’orientent principalement vers le domaine de la pédagogie et plusieurs enseignants y partagent leurs découvertes, leurs questionnements et leurs projets. Pourquoi? En tant qu’enseignante, je crois beaucoup à l’autoformation, au développement professionnel et à la formation continue. Où et qui? Les médias sociaux sont une mine d’or pour effectuer une veille pédagogique. Bonne veille pédagogique!

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