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L'innovation

L'innovation
Le changement a ses raisons que le désir reconnait. Malgré la présence d'indicateurs faibles qui viennent contredire la qualité des solutions mises en place, les concepteurs de formation, de par leur fonction de régulateurs des compétences en entreprise, entretiennent une démarche conservatrice de leurs actions. La priorité va à la consolidation des solutions au lieu d'étudier à nouveau la situation pour construire de nouvelles solutions adaptées et performantes. D'aujourd'hui à demain, de la formation perçue à la formation désirée Quels sont les manques actuels dans les dispositifs de formation actuels ? De votre passé à votre avenir pédagogique. De vos représentations, de vos souvenirs, de vos expériences, de votre affect, de votre histoire et de votre système de valeurs qui sont vos fondements identitaires, le changement pédagogique permet, non de perdre votre identité mais au contraire de l'affirmer, de la faire évoluer dans un sens favorable à vos yeux et aux yeux de l'autre.

Le labyrinthe de la formation Kevin Warwick Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Warwick. Kevin Warwick Kevin Warwick, né le à Coventry en Angleterre, est un scientifique britannique et professeur de cybernétique à l'Université de Reading, au Royaume-Uni. Il est probablement le plus connu pour ses études sur les interfaces directes entre les systèmes informatiques et le système nerveux humain, mais il a fait beaucoup de recherche dans le domaine de la robotique. Il s'est greffé des électrodes dans son bras qui sont directement reliées à son système nerveux, il y a relié un ordinateur. Biographie[modifier | modifier le code] Il travailla ensuite dans les universités d'Oxford, Newcastle et Warwick et en 1987 fut nommé à la chaire de cybernétique à l'université de Reading. Sources[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Kevin Warwick » (voir la liste des auteurs)Émission "Rayon X" sur France 2

Empathie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'empathie (du grec ancien ἐν, dans, à l'intérieur et πάθoς, souffrance, ce qui est éprouvé) est une notion désignant la « compréhension » des sentiments et des émotions d'un autre individu, voire, dans un sens plus général, de ses états non-émotionnels, comme ses croyances (il est alors plus spécifiquement question d'« empathie cognitive »). En langage courant, ce phénomène est souvent rendu par l'expression « se mettre à la place de » l'autre. Cette compréhension se produit par un décentrement de la personne (ou de l'animal) et peut mener à des actions liées à la survie du sujet visé par l'empathie, indépendamment, et parfois même au détriment des intérêts du sujet ressentant l'empathie. Théories et théoriciens[modifier | modifier le code] Le terme a ensuite été repris par Karl Jaspers puis par Sigmund Freud en 1905 dans Der Witz und seine Beziehung zum Unbewussten[4],[5]. En 1909, le terme anglophone a été calé par Edward B.

Systémique La systémique est une méthode d'étude ou façon de penser les objets complexes. Forgée sémantiquement à partir du mot en grec ancien systema, signifiant « ensemble organisé », elle privilégie une approche globale, holiste, la pluralité des perspectives selon différentes dimensions ou à différents niveaux d'organisation, et surtout la prise en compte des relations et interactions entre composants. Apparue progressivement au milieu du XXe siècle, la systémique s'est construite en opposition à la tradition analytique cartésienne et à d'autres formes de réductionnisme, qui tendent à découper le tout en parties indépendantes et montraient leurs limites dans la compréhension de la réalité. Éclairage[modifier | modifier le code] Les principes de la systémique ont la particularité de venir d'à peu près tous les domaines de la science et d'être également applicable à chacun d'eux. Historique[modifier | modifier le code] Les courants précurseurs[modifier | modifier le code]

Sciences cognitives Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les six disciplines scientifiques constituant les sciences cognitives et leurs liens interdisciplinaires, par l'un des pères fondateurs du domaine, G. A. En France, où la tradition disciplinaire est forte, la question de leur statut entre en résonance avec des problématiques liées à la structuration de la recherche. à une science fondamentale, dite science de la cognition, dont les spécialistes, parfois appelés cogniticiens[3], sont réunis en sociétés savantes et publient dans des revues scientifiques internationales transdisciplinaires.à un secteur applicatif industriel du domaine de l'ingénierie de la connaissance : la cognitique. Il est à noter que le singulier cognitive science est d'usage courant dans les pays anglophones. Histoire des sciences cognitives[modifier | modifier le code] Il est d'usage de dater la naissance des sciences cognitives de 1956. Disciplines[modifier | modifier le code] Neurosciences[modifier | modifier le code]

Pourquoi les parents devraient laisser leurs enfants tranquilles Et si la meilleure chose que nous puissions faire pour nos enfants était simplement de les laisser tranquilles ? Ou pourquoi les méthodes d’éducation modernes rendent nos enfants malheureux. Par Jay Griffiths (*). « Autant en Europe qu’en Amérique, aujourd’hui de nombreux enfants sont en réalité en résidence surveillée”. Je me sentais comme complice de torture malgré moi. La mère du bébé était visiblement perturbée, trop. Contrôle. L’idée derrière cette méthode, c’est qu’on peut “apprendre“ à un bébé à arrêter de pleurer en le laissant pleurer seul. Câlinés, soignés et bichonnés, la plupart des nourrissons à travers la plus grande partie de l’histoire ont découvert le monde accompagnés. Beaucoup des raisons pour lesquelles de nombreux parents optent pour la méthode Ferber peuvent se résumer en un seul mot : travail. Lorsque les enfants sont plus âgés, le désir de liberté semble inextinguible. Le plus triste, c’est que cela fonctionne. Prenons un peu de recul.

Le cœur a un Cerveau, le cœur a un système nerveux indépendant et bien développé Après avoir étudié les Mathématiques, et après sa carrière de pianiste et d'organiste, elle a été professeur à La Sorbonne. Ensuite, elle s’est installée en Inde et a participé à la création de la communauté d'Auroville avec Sri Aurobindo et Krishnamurti. Et peu après, elle a fondé l'Institut pour le Développement de la Personne au Québec. Elle est l'auteur de : «Le pouvoir de choisir», «La liberté d'être» et «Le maître du cœur» (le Ver luisant). Elle a passé de nombreuses années à investiguer sur l'interférence entre la science et la conscience, et ses exposés sont toujours rigoureux et bien documentés. Que le cœur ait un cerveau, c'est une métaphore, non ? Est-il intelligent ? La communication neurologique au moyen de la transmission d'impulsions nerveuses. Deuxième connexion L'information biochimique au moyen des hormones et des neurotransmetteurs. Troisième connexion La communication biophysique au moyen des ondes de pression. Quatrième connexion Source : La Vanguardia

Le cerveau: ce créateur d'émotion! (partie 1 de 2) Point de vue – Isabelle Fontaine Littéralement fascinée par l’étude des phénomènes humains, Isabelle, a développé une expertise en coaching de gestion basée sur le développement de l’intelligence émotionnelle. Sa spécialité, faire émerger le plein potentiel d’un individu ou d’un groupe. Conférencière, détentrice d’un baccalauréat en psychosociologie de la communication et d’une maîtrise en communications organisationnelles, elle enseigne à l’École Polytechnique de Montréal et au Département de communication sociale et publique de l’UQUÀM. Note 1: Participez à une étude sur l’intelligence émotionnelle et le fonctionnement du cerveau en répondant aux quelques questions suivantes (voir tous les détails un peu plus bas dans la section Un petit test…Si vous désirez obtenir vos résultats personnels, inscrivez votre courriel à la dernière question du sondage): Notre vie, c’est nos émotions! Connaître le fonctionnement de notre cerveau pour mieux le déjouer

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