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Webzine de l'Internet gratuit

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Comprendre Facebook Facebook a été créé en 2004, par Mark Zuckerberg. Ce site Internet comptera bientôt, à priori, près d'un milliard d'utilisateurs dans le monde... Fédérateur, critiqué, lieu de révolutions Web et sociales, ses enjeux sont considérables, quoi qu'on en pense, pour notre société actuelle. Autant mieux le comprendre, pour mieux l'utiliser (ou pas). On le sait depuis longtemps. Facebook, réseau social incontournable... © DR Comprendre les médias sociaux et leur fonctionnement social et psychologique comme technique, tel est l’enjeu. Facebook est-il utile ou est-ce un bavardage dénué de sens ? Un dossier réalisé par Hubert Guillaud, rédacteur en chef d'Internet Actu et responsable de la veille à la Fing.

Outils numériques artisanalement modifiés Des designers conçoivent leurs propres outils de production et systèmes de pilotage, modifiant leur rapport aux circuits industriels classiques et à leur métier. Un phénomène notoire est en train de se développer avec le numérique : la fabrication de la part des designers de leurs propres outils et protocoles de production. Tandis que le designer est dans une large mesure associé à un concepteur, celui qui imagine et fait projet, voilà qu’il se met à élaborer des machines « maison » et à bidouiller les programmes qui vont les piloter. En effet, depuis quelques années, plusieurs designers se tournent vers la création artisanale de machines à commandes numériques. À travers elles, ils se plongent au cœur des logiques de production et s’immiscent dans le paramétrage des machines. Dès lors, comment interpréter ce phénomène ? Les fab labs : un idéal démocratique qui se concrétise ? Des technologies de pointe à disposition du particulier Paramétrages et programmations « maison »

Actualités et communiqués de presse polythématique Association de protection de l'enfance sur internet Tetalab mixe art et hack Le Tetalab est un jeune hackerspace basé à Toulouse. Basé à Mixart-Myrys, un centre culturel, il monte entre autres des projets autour de l'art. Hiver dernier, alors que WikiLeaks fait trembler les ambassades du monde entier en faisant fuiter des câbles diplomatiques et s’agiter les rédactions qui publient analyses géopolitiques sur analyses géopolitiques, les hackers toulousains du Tetalab s’emparent à leur façon du sujet. Pas de révélation fracassante, mais un hack poétique qui leur vaudra leur quart d’heure de célébrité, de Boing Boing [en] au Guardian [en] : Haikuleaks. Les bidouilleurs se sont amusés à concevoir un outil qui repèrent dans les câbles ceux qui correspondent à la forme ultra-codée du haiku japonais. Par exemple : « As is typical/the Pope stayed above the fray/and did not comment. » Installé dans le centre culturel Mixart-Myrys Et à l’instar de nombreux travaux du Tetalab, haikuleaks est un hack artistique. On t’apprend à être décomplexé par rapport à la technique.

Les meilleures applis pour enfants Laser Cutter DIY - Tetalab Pendant 2 jours, nous avons assemblé les pièces que Lionel avait apporté, et les parties de scanners qui se trouvaient dans le container, afin de monter un laser cutter DIY basé sur le design de Groover: Pocket Laser Engraver Pour ce projet, nous avons: 1 Arduino Duemilanove2 structure de scanner récupérée au fil des mois2 controlleurs moteur EasyDriver, disponibles chez Sparkfun1 Power ScrewShield Snootlab (ou autre proto-board pour le cablage)1 diode laser IR récupérée dans un graveur DVD1 laser de chez DealExtreme, dans lequel mettre la diode laser IR, qui contient une lentille et le driver de la diode (courant constant) Le plotter est composé de 2 structure de scanner sur lesquelles on a laissé les moteurs (ainsi tout est déjà aligné et bien stable). L'axe X est le scanner du bas, nous avons choisi le scanner le plus stable pour cet axe (un gros scanner Agfa) et rajouté des pieds afin de niveler la structure horizontalement. Une fois connecté à l'arduino, vous pouvez:

Makers (2/2) : Refabriquer la société Le mouvement makers est en plein essor, comme le montre la multiplication des lieux qui leurs sont dédiés (voir la première partie de ce dossier). L’éclosion des TechShops, des foires, des ateliers, qui sont pour beaucoup dans une logique de développement et d’essaimage du modèle y participe pleinement. A certains endroits, à San Francisco, le TechShop est au cœur de la réhabilitation d’un quartier (comme c’est le cas à South Market). Mais surtout, ces lieux s’implantent au coeur d’un écosystème qui favorise leur développement : écoles, musées, start-ups et grands acteurs de l’internet qui souhaitent redéployer leur activité en centre-ville… Faire société : des lieux et de leurs enjeux Pour Michael Shiloh, l’enjeu va bien au-delà des lieux. On devine derrière ce mouvement makers, un véritable enjeu pour un apprentissage différent. Reprendre confiance dans sa capacité à créer Image : visite du Maker Space avec Michael Shiloh. Image : la voiture-oeuvre en forme de maison victorienne…

Makers (1/2) : Faire société “We are all makers” (Nous sommes tous des artisans). Le credo de Dale Dougherty, fondateur de Make Magazine et de Maker Faire, le plus grand événement dédié au mouvement “makers”, est en passe de devenir le nom de référence d’une communauté extrêmement diverse et dynamique, en pleine expansion. Derrière ce sigle rassembleur, inventé par Make Magazine il y a plus de 10 ans au sein même d’O’Reilly Media, géant de l’édition orientée techno fondée par Tim O’Reilly l’un des gourous de l’internet à l’origine du concept de Web 2.0, on trouve une idée clé : il faut encourager la créativité individuelle car elle est porteuse de plus de conscience et responsabilité sociale, comme l’exprimait Dale Dougherty sur la scène de TED. Profitant de la vague du DIY (Do it yourself, pour “Fais le toi-même !”) Qui sont les makers ? La place particulière de San Francisco dans ce monde des makers est peut être à trouver dans le fait que les gens, ici, ont eu le talent d’initier le réseau. Image : Noisebridge.

Les fab labs en route vers le Grand Soir Le Parti communiste français met le nez dans les fab labs. Avec comme une vieille envie de se remuer un peu le logiciel. Et convoque Sabine Blanc pour déminer le terrain de la valeur d'usage du DIY et de ces nouveaux moyens de production. Gonzostory entre quatre murs ambiance Paco Rabanne. Celui de la déco 70's, pas de la fin du monde. Conférence de Sabine Blanc sur les Fab Labs au siège du PCF à Paris, le 2 décembre 2012. - cc Ophelia Noor/Loguy (logo via le site officiel des fablab du MIT) Si le PC vous auditionne aujourd’hui sur les fab labs, c’est d’abord parce que Yann Le Pollotec n’a pas arrêté de nous faire chier. Hier, j’ai passé trois bonnes heures devant une poignée de membres du Parti communiste français, dont quelques cadres, pour leur expliquer en quoi consistait les fab labs, ces espaces collaboratifs de prototypage rapide nés au MIT qui font fantasmer aussi bien à droite qu’à gauche en raison de leurs supposées vertus à répondre aux défis posés par les crises actuelles.

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