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Journalisme

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Les formations pour devenir journaliste abondent. Pas les débouchés. La précarité est la règle, même quand on sort d’une école de journalisme reconnue. Les jeunes maîtrisant les nouvelles technologies ont une carte à jouer dans ce secteur plurimédia. © B.Gilles de la Londe/Onisep - Journaliste reporter d’images (JRI), agencier, présentateur… il y a mille et une façons d’exercer le métier de journaliste. Piges et CDD pour débuter Sur les 37 477 journalistes "encartés", on compte plus de 6000 pigistes, rémunérés à l’article, et près de 1400 salariés en CDD (contrat à durée déterminée), soit 20% des effectifs. Regroupant plus de 66 % des journalistes, la presse écrite reste le principal employeur, les opportunités se situant plus dans la presse spécialisée (professionnelle ou grand public) que dans les quotidiens nationaux ou les newsmagazines, où les places sont peu nombreuses. JRI, agencier, présentateur… Un journaliste, deux JRI et un secrétaire de rédaction Quelques formations reconnues

Professeur des écoles Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce corps est créé par la loi d'orientation sur l'éducation n°89-486 du 10 juillet 1989, avec la création des IUFM dès le en remplacement des écoles de formation des maîtres qui formaient les instituteurs. Ces derniers ont eu, s'ils le souhaitaient, la possibilité de devenir professeurs des écoles par le biais d'un concours interne ou de promotions spécifiques puis par l'ancienneté. Les IUFM ont été renommés en ESPE par les réformes voulues par Vincent Peillon. Les professeurs des écoles peuvent également enseigner : Obligations et responsabilités[modifier | modifier le code] Les obligations auxquelles sont tenus les professeurs des écoles sont sensiblement les mêmes que celles de l'ensemble des fonctionnaires, notamment avoir un casier judiciaire vierge, auxquelles s'ajoutent les obligations d'enseignement fixées notamment par la loi d'orientation et dans les programmes scolaires. Concours d'accès[modifier | modifier le code]

Les licences d’art © iStockphoto Les licences d’art apportent une culture indispensable. Elles doivent être complétées par une spécialisation dans un autre domaine : droit, économie, management, médiation culturelle… Accès Les études d’art plaisent aux étudiants. Le bac général est les plus adapté pour une poursuite d’études en licence, en particulier le bac L avec enseignement de spécialité arts. Certains bacs techno permettent de s’inscrire dans les mentions de licence correspondant à leur spécialité d’origine : techniques de la musique et de la danse (TMD) option danse pour la licence danse ou option instrument pour la licence musique et musicologie ; sciences et technologies du design-arts appliqués (STD2A) pour la licence arts appliqués. Dans tous les cas, mieux vaut postuler avec une pratique artistique préalable : cours de dessin, atelier de théâtre, formation en musique ou en danse au sein d’un conservatoire, etc. Les principales mentions Arts appliqués Pour qui ? Et après ? Arts du spectacle Pour qui ?

Cartographie des metiers de la presse Déterminez ce que vous voulez faire pour identifier le bon espace de navigation : - un domaine : en cliquant sur son libellé, vous aurez la liste des profils type, des activités, des compétences et des connaissances qu’il couvre. En cliquant sur le "i", vous faites apparaître une définition synthétique du domaine d'activités. - un métier (profil type) : chaque domaine possède une liste de profils type qui lui est propre. En cliquant sur un profil type, vous disposez de sa description. En cliquant sur le "i", vous faites apparaître une définition synthétique du profil type. - l’ensemble des activités, des compétences et des connaissances en presse : cliquez sur les dictionnaires en PDF, en haut à droite de l’écran. En utilisant le moteur de recherche (en haut à gauche) vous pouvez rechercher un mot ou un groupe de mots (activité, compétence ou connaissance), connaître sa nature et son niveau de rattachement. Vous pouvez comparer votre profil avec un profil type.

Ecole supérieure de journalisme de Lille - ESJ Lille Etam reporter-photographe Fiche métier Le reporter-photographe est un témoin de son temps. Appareil photo en bandoulière, il parcourt le monde pour saisir des images de l'actualité (conflit armé, paysage tropical, cabinet ministériel...). Un métier fascinant qui reste difficile d'accès. © Onisep 2001 Niveau d'accès : bac + 2 Statut(s) : Indépendant, Statut salarié Synonymes : Photographe , Photographe de presse, Photo-journaliste Secteur(s) professionnel(s) : Presse - Edition - imprimerie Centre(s) d'intérêt : Enquêter, analyser l'information, je veux en faire mon travail, J'ai le sens du contact, J'aime bouger, J'aimerais informer, communiquer, Je rêve de travailler à l'étranger, Je rêve d'un métier artistique

Les 14 écoles de journalisme reconnues Quatorze établissements de formation initiale au journalisme dispensent des cursus reconnus par la profession depuis 1956. Cinq de ces lieux de formation se trouvent à Paris ou en région parisienne. Les neuf autres sont situés en province (Bordeaux, Grenoble, Lannion, Lille, Marseille, Nice-Cannes, Strasbourg, Toulouse et Tours). Les diplômes délivrés vont des DUT aux masters en passant par des diplômes visés par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. CELSA – Master option journalisme Établissement universitaire public Coût annuel des études : frais d’inscription universitaires* Diplôme : master de journalisme 30 admis sur concours Cursus en apprentissage possible en M2 depuis 2011 Adresse : 77 rue de Villiers – 92200 Neuilly-sur-Seine Tél : 01 46 43 76 76 / Fax : 01 47 45 66 04 * 256 € pour les masters, 186 € pour les IUT, gratuit pour les boursiers

Pimkie journaliste Grand reporter, présentateur du journal télévisé : le métier de journaliste fait rêver, mais n'est pas facile d'accès. Pour l'exercer, il faut une solide culture générale, mais aussi de très bonnes qualités rédactionnelles et un esprit critique. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, les journalistes vont assez peu sur le terrain (manque de temps, ou de moyens). Ils retravaillent les informations qu'ils collectent sur le Web, réalisent des dossiers thématiques ou effectuent des interviews par téléphone. Toujours à l'affût de la moindre information, le journaliste sait se mettre à l'écoute de ses interlocuteurs et retranscrire fidèlement leurs propos. Pour exercer ce métier, il faut avoir plusieurs cordes à son arc et maîtriser diverses techniques : l'écriture, mais aussi la photo et la vidéo. La plupart des journalistes travaillent pour la presse écrite.

Les écoles de journalisme De nombreuses écoles forment au journalisme : publiques ou privées, accessibles après le bac ou un bac + 2 ou 3, sur concours ou sur dossier, reconnues ou non par la profession. Le secteur recrute au compte-gouttes, néanmoins les candidats aux concours d’entrée restent nombreux. © Brigitte Gilles de la Londe / Onisep - Les formations au journalisme sont très demandées et la sélection est forte. Les écoles de journalisme reconnues par la profession Parmi la trentaine d’écoles existantes, 14 sont reconnues par la CPNEJ (Commission paritaire nationale de l’emploi des journalistes) : Les IUT (instituts universitaires de technologie) de Lannion et de Cannes pour leur DUT Information-communication option journalisme (bac + 2) Des écoles privées ( CFJ à Paris, EJT Toulouse, ESJ à Lille, IPJ Paris-Dauphine) et publiques ( Celsa, CUEJ, EJCAM, EJDG, EPJT*, IFP, IJBA*, Sciences Po Paris) délivrent des masters ou diplômes d'école (bac + 5). L’avantage des écoles reconnues ? *Les principaux sigles :

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