PHYSIOPATHOLOGIE DE L’INFECTION VIRALE Au cours d'une infection virale, le virus se multiplie tandis que l'organisme résiste ... Cette situation conflictuelle génère chez l'hôte des réactions, des lésions et des dysfonctionnements cellulaires responsables de la maladie. L'analyse physiopathologique de ces états implique donc la connaissance des deux acteurs : l'agent infectieux avec ses effets pathogènes et l'hôte avec ses réactions. L'agent infectieux : le virus Les virus s'introduisent dans l'organisme, s'y disséminent, s'y multiplient et s'en échappent. a) le réservoir de virus Parasites cellulaires obligatoires, les virus ne peuvent provenir que d'un organisme vivant : homme ou animal. b) la porte d'entrée Les virus pénètrent dans l'organisme par différentes voies et tantôt restent sur place, occasionnant des infections localisées (grippe, coryza, verrues), ou tantôt se propagent à distance, donnant lieu à des Infections généralisées (rougeole, poliomyélite) c ) la diffusion d) la multiplication e) l'excrétion L'organisme infecté
IST_Société Française de Dermatologie Recommandations diagnostiques et thérapeutiques pour les Maladies Sexuellement Transmissibles Le groupe "IST et SIDA" de la SFD vient de publier les "Recommandations diagnostiques et thérapeutiques pour les Maladies Sexuellement Ttransmissibles" 2016 Sommaire Dépistage des MST/IST Gonococcie Infection à Chlamydia trachomatis Trichomonose Mycoplasmes génitaux Syphilis précoce Syphilis tardive Herpès génital Chancre mou Lymphogranulome vénérien Donovanose (granulome inguinal) Verrues génitales (condylomes) externes MST mineures Primo-infection VIH Urétrite masculine Leucorrhées Cervicite muco-purulente Ulcération génitale Orchi-épidydimite MST anorectales Balanite Traitement post-exposition sexuelle au VIH, VHB et VHC MST et grossesse MST chez les HSH Vaccinations Prévention des MST/IST Retrouvez tous les chapitres dans l'espace Recommandations du site de la SFD, rubrique "Pathologies infectieuses" Plus d'information Retour au listing des actualités
ANTIBIOCLIC: Antibiothéraphie rationnelle en soins primaires Inflammation; - Notre Expérience En Micro-Immunothérapie - | Notre expérience en Micro-Immunothérapie Nous reprenons ici quelques extraits d’un article de la pharmacienne Mme Béatrice Lejeune sur la contribution de la Micro-Immunothérapie dans le traitement de l’arthrose, publié dans la revue trimestrielle des professionnels de la santé de l’Association Espagnole de Micro-Immunothérapie « Nuevo Contact » (nº 7 – Automne 2011). Schéma d’évolution de l’arthrose : Schéma d’évolution de l’arthrose. « Le propre de l’être humain, outre son habileté à penser, est de pouvoir se mouvoir dans l’espace. Nos bras, nos jambes, notre tête, tout peut être bougé par notre seule volonté.Les piliers de soutènement de nos mouvements sont nos articulations, jonctions entre deux ou plusieurs os. Ces articulations sont faites de très nombreux composants : musculaires, ligamenteux, mais également d’une capsule articulaire qui protège le cœur de notre articulation : le cartilage qui recouvre la terminaison osseuse. Arthrose et Système Immunitaire Traitements
ECN Pilly2016 - Accueil - spilf - infectiologie Les questions et commentaires doivent être adressées exclusivement à ecnpilly@infectiologie.com Les documents sont ceux de l'ouvrage ECN.PILLY 2016 (les items mis à jour depuis l'impression de l'ouvrage sont suivis de l'icone Il s'agit de documents protégés ne permettant ni la copie de texte, ni l'impression. Ils peuvent être consultés sur un ordinateur, une tablette ou un smartphone par un logiciel lisant les fichiers pdf (par exemple acrobat reader). UE6 N°156 Tétanos UE6 N°157 Infections urinaires de l'adulte (dont les particularités au cours de la grossesse) UE2 N°27 Voir ci dessusUE6 N°158 Infections sexuellement transmissibles (IST) : gonococcies, chlamydioses, syphilis, papillomavirus humains (HPV), trichomonoseUE6 N°159 Coqueluche UE6 N°161 Oreillons UE6 N°162 Grippe UE6 N°163 Hépatites virales UE6 N°164 Infections à herpès virus du sujet immunocompétentUE6 N°165 Infection à VIH UE6 N°166 Paludisme
Recommandations thérapeutiques Antibio-guide Mise à jour : 22-03-2006 Ce guide prescription des antibiotiques reprend en partie les propositions faites par la commission des antibiotiques de l'Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille. Ces propositions ont été discutées au sein de l'IFR 48. Ont participés aux discussions : Pr. Didier RAOULT (Bactériologie - Virologie - Hygiène) Pr. Les recommandations proposées dans ce guide l'ont été conformément à l'état actuel des connaissances scientifiques. Référence : Clin Infect Dis 1994 ;18 :421 Certaines références sont citées à plusieurs reprises dans ce guide. Sanford guide to antimicrobial therapy 2004 (34è édition) Antimicrobial Therapy, Inc., P.O. 1.1. 1.1.1. Agents étiologiques: Streptococcus pneumoniae, Neisseria meningitidis, Listeria, Haemophilus influenzae Traitement empirique pour toute méningite purulente (non HIV) Si diplocoque Gram + à l'examen direct (pneumocoque) Si diplocoque Gram - à l examen direct (méningocoque) Si BACILLE Gram + à l examen direct (Listeria)
Les IST [Infections Sexuellement Transmissibles] - Tout savoir sur les IST : La syphilis L'épidémie de syphilis affecte notamment les homosexuels et bisexuels masculins. Cependant, le nombre de cas chez les hétérosexuels augmente également. Signes possibles : chancre (petite plaie indolore), boutons ou petites plaques rouges sans démangeaisons sur la peau et les muqueuses Apparition des signes : 2 à 4 semaines après la contamination Diagnostic : par examen médical et prise de sang. Complications graves si non traitée : atteinte du cerveau, des nerfs, du cœur, des artères et des yeux, atteinte du nouveau-né si la mère est infectée Traitement : Antibiotiques par piqure ou par comprimés Pas de vaccin La syphilis et le VIH/Sida Comme toute IST, la syphilis fragilise les muqueuses et augmente considérablement le risque de contamination par le virus du sida.Inversement, si on est atteint par le virus du sida, cette IST peut être plus grave et compliquer le traitement.
L’ANSM rappelle qu’aucun médicament homéopathique ne peut être considéré comme un vaccin contre la grippe Alors que la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière est en cours, l’ANSM rappelle qu’aucun médicament homéopathique ne peut être considéré comme un vaccin. En France, trois vaccins grippaux inactivés sont commercialisés et pris en charge par l’Assurance maladie dans le cadre de la campagne 2016 (Influvac, Immugrip et Vaxigrip). Dans son avis relatif aux vaccins anti-grippaux[1] , le Conseil supérieur d’hygiène publique de France rappelle que les médicaments homéopathiques ne peuvent se substituer à ces vaccins anti-grippaux notamment pour les personnes appartenant aux groupes pour lesquels cette vaccination est recommandée. Des médicaments homéopathiques avec Autorisation de mise sur le marché (AMM) peuvent avoir une indication dans la prévention ou le traitement de l’état grippal. Il existe également des médicaments homéopathiques unitaires contenant des souches homéopathiques diluées (exemple granules influenzinum 9CH) qui n’ont pas d’indications thérapeutiques.
Réseau Sentinelles > France > Informations générales En France métropolitaine, la semaine dernière (2020s04), le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 190 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [173 ; 207]).Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Provence-Alpes-Côte d’Azur (403 [293 ; 513]), Ile-de-France (249 [206 ; 292]) et Nouvelle-Aquitaine (248 [176 ; 320]).Conclusion du groupe de travail pour la surveillance de la grippe en France métropolitaine : - Forte augmentation des indicateurs de l’activité grippale - Métropole : toutes les régions en épidémie excepté la Normandie - Antilles : début de l’épidémieÀ retrouver sur Bulletin grippe Santé publique France
Situation des approvisionnements en vaccins Dans le cadre de l'extension des obligations vaccinales applicables pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018, l'ANSM a demandé aux laboratoires concernés de mettre à disposition les informations nécessaires au suivi de la couverture des besoins supplémentaires inhérents à cette extension d'obligation. L'extension d'obligation concerne onze valences en primo-vaccination du nourrisson âgés de 0 à 24 mois : Diphtérie - Tétanos - Poliomyélite - Coqueluche - Haemophilus influenzae b - Hépatite B - Pneumocoque - Méningocoque C - Rubéole - Rougeole - Oreillons. Un suivi régulier des approvisionnements, stocks disponibles et ventes des vaccins concernés a été mis en place par les laboratoires et partagé avec l'ANSM dès la fin de l'année 2017. Il permet de surveiller l'adéquation, au niveau national, des unités disponibles avec les besoins définis par le ministère de la santé. Lire aussi : → La disponibilité des vaccins Couverture prévisionnelle des besoins en vaccins au niveau national
Accueil 2018-342 du 7 mai 2018 complétant la liste des maladies faisant l'objet d'une transmission obligatoire de données individuelles à l'autorité sanitaire JORF n°0107 du 10 mai 2018 texte n° 16 Décret n° 2018-342 du 7 mai 2018 complétant la liste des maladies faisant l'objet d'une transmission obligatoire de données individuelles à l'autorité sanitaire ELI: Alias: Publics concernés : médecins ; responsables des services et laboratoires de biologie médicale publics et privés ; agences régionales de santé ; Santé publique France. Objet : inscription de la rubéole à la liste des maladies pour lesquelles la transmission de données individuelles de signalement ou de notification à l'autorité sanitaire est obligatoire. Le Premier ministre,Sur le rapport de la ministre des solidarités et de la santé,Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 3113-1, R. 3113-1, R. 3113-4 et D. 3113-6 ;Vu l'avis du Haut Conseil de la santé publique en date du 20 janvier 2017,Décrète : Fait le 7 mai 2018.
Labtest - Tests Les Examens de Biologie Médicale #abcdefghijklmnopqrstuvwxyz "acide aminé essentiel""bon" cholestérol"mauvais" cholestérol117-Hydroxyprogestérone17-OH progestérone 17-OHP25 diOH vitamine D25-dihydroxy-vitamine D (Calcitriol)25-hydroxy-vitamine D (Calcidiol)25OH vitamine D; 15-HIAA B12 & FolatesBAAR : coloration et cultureBactérie responsable de la maladie Bandelettes urinairesBéta hCGBicarbonatesBilan du ferBilan électrolytiqueBilan hépatiqueBilan lipidiqueBilan martialBilirubine Bilirubine directe (ou bilirubine conjuguée)Bilirubine indirecte (ou bilirubine non conjuguée)Bilirubine néonataleBilirubine totaleBlennorragieBNPBNP pour peptide natriurétique de type B (en anglais « Brain Natriuretic Peptide »)Bordella pertussis BRCABRCA-1 et BRCA-2BReast CAncer Gene 1 et 2 – gènes du cancer du sein 1 et 2