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Classement mondial 2013

Classement mondial 2013
Télécharger le rapportTélécharger la carte de la liberté de la presseLire en arabe (بالعربية)Lire en turc (Türkçe)Lire en italien (Italiano)Lire en allemand (Deutsch)Lire en chinois (看中文) Après les « printemps arabes » et les mouvements contestataires qui en 2011 avaient provoqué des hausses et des chutes, le Classement mondial de la liberté de la presse 2013 publié par Reporters sans frontières marque un retour à une configuration plus habituelle. Le rang d’un grand nombre de pays est moins lié à l’intensité de l’actualité politique. Ainsi, avec le Classement 2013, apprécie-t-on mieux l’attitude et les intentions des régimes vis-à-vis de la liberté de la presse à moyen et à long terme. En tête du classement, les trois pays européens qui occupaient les premières places l’an dernier composent à nouveau le trio de tête. « Le Classement mondial publié par Reporters sans frontières ne tient pas compte directement de la nature des régimes politiques. Du sommet aux abîmes

A rare insight into Kowloon Walled City By Pamela Owen Published: 12:21 GMT, 5 May 2012 | Updated: 14:45 GMT, 5 May 2012 Once thought to be the most densely populated place on Earth, with 50,000 people crammed into only a few blocks, these fascinating pictures give a rare insight into the lives of those who lived Kowloon Walled City. Taken by Canadian photographer Greg Girard in collaboration with Ian Lamboth the pair spent five years familiarising themselves with the notorious Chinese city before it was demolished in 1992. The city was a phenomenon with 33,000 families and businesses living in more than 300 interconnected high-rise buildings, all constructed without contributions from a single architect. Kowloon Walled City was notorious for drugs and crime but many of its 50,000 residents lived their lives peacefully until it was demolished in the early 90s Canadian photographer Greg Girard and Ian Lambot spent five years getting to know the residents and taking pictures of the densely populated buildings

Combien d’esclaves travaillent pour vous? Comment savoir si vos biens de consommation ont été confectionnés par des travailleurs forcés? Vous pouvez calculer votre empreinte-esclave grâce au site américain de Slavery Footprint. À Darjeeling en Inde, de jeunes garçons travaillent comme porteurs plutôt que d'aller à l'école. Photo: Shutterstock Sur le même principe que les sites qui calculent votre empreinte écologique, un site Web vous permet dorénavant d’examiner votre mode de vie afin de déterminer combien de travailleurs forcés se cachent derrière vos achats: slaveryfootprint.org. Slavery Footprint définit le travail forcé par l’absence de rémunération ou l’exploitation économique sans possibilité d’y mettre fin. L’organisme sans but lucratif californien base notamment ses résultats sur un rapport du département d’État américain portant sur le trafic humain en 2011. Comment cela fonctionne? Il existe 27 millions d’esclaves dans le monde, selon le plus récent rapport du département d’État américain (2013). Toutes les Nouvelles

La source de cet article est un site de reportaire sans frontière, donc un site fiable. Il traite de l'evolution de la liberté de la presse après le printemps arabe avec son classemnt de 2013. L'objectif de cet article est de nous montrer que beaucoup de pays n'ont pas forcément évoluer après ce printemps et que certain grand pays ne se retrouve pas en tête du classement. Cest un article pertinent qui nous montre l'état du monde en matière de démocratie et de liberté de la presse, de plus très complet. by maximejuvin Jan 16

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