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Un premier festival ludique dans les bibliothèques

Un premier festival ludique dans les bibliothèques
À l’approche de la relâche scolaire, le réseau des bibliothèques de Montréal s’associe aux industries du jeu vidéo et du jeu de société pour la première édition du Festival Montréal joue. Deux semaines d’activités visant à «dépoussiérer» les bibliothèques et, surtout, à amener les jeunes à prendre contact avec la culture. «On accuse un grand retard au Québec : les bibliothèques sont perçues comme des lieux austères plutôt que des lieux de plaisir», explique la directrice associée de Bibliothèques de Montréal, Louise Guillemette-Labory. Pour remédier à la situation, plus de 35 bibliothèques montréalaises offriront, du 23 février au 10 mars prochains, des tournois, des conférences et des animations entièrement centrés sur les jeux vidéo et les jeux de société. La genèse du Festival Montréal joue remonte à 2008. L’engouement suscité par le Festival Montréal joue auprès de l’industrie du jeu vidéo témoigne de cette vivacité. «Le domaine du jeu vidéo offre des métiers passionnants.

Etude : les bibliothèques aident à vendre des livres et des ebooks Etude : les bibliothèques aident à vendre des livres et des ebooks Les relations entre les bibliothèques et les éditeurs sont assez tendues aux Etats-Unis. Les bibliothèques sont accusées d’être des pourvoyeuses de livres gratuits et de concourir à leur dévalorisation. L’association des bibliothèques américaines et Overdrive ont effectué un vaste sondage en ligne pour en avoir le cœur net. L’étude a été menée auprès de 75 000 lecteurs d’ebooks en bibliothèque. D’autres chiffres : 57% des personnes interrogées disent aller dans les bibliothèques pour repérer des livres. 53% indiquent avoir pensé acheter un ebook listé sur le site d’une bibliothèque. 53% empruntent des livres et en achètent en même temps. 35% achètent un ebook après l’avoir emprunté gratuitement en bibliothèque. 78% des personnes interrogées qui empruntent des livres sont des femmes. 55% ont entre 40 et 65 ans et 74% ont un bon niveau d’études. Source : goodereader

Place au jeu dans les bibliothèques Hugo Prévost @HugoPrevost Montréal joue: sur la table de cuisine, mais aussi dans les salons et, depuis samedi, dans les bibliothèques de la ville. Après l’annonce par la compagnie Warner Brothers, l’an dernier, de l’arrivée de plusieurs titres de jeux vidéo dans les bibliothèques, voilà que Montréal embrasse ce neuvième (ou est-ce le dixième?) art, et invite la population à s’amuser, tout simplement, dans le cadre du Festival Montréal joue. Photo: Festival Montréal Joue Ce premier festival axé sur le jeu vidéo, le jeu de société et les activités ludiques pour toute la famille se déroulera durant la relâche, du 23 février au 10 mars 2013, dans 39 bibliothèques montréalaises participantes. Toujours au dire de M. Au total, ce seront plus de 200 activités gratuites qui seront offertes en bibliothèque, et ce jusqu’à la fin de la semaine de relâche. Dans la catégorie: À la une • Société

Audioblogs ARTE Radio Les jeux vidéo d'occasion plus populaires que les jeux téléchargés Les pratiques des joueurs ne sont pas toujours évidentes à cerner. Aussi, des sondages sont régulièrement menés afin de connaître aussi précisément que possible les préférences des aficionados de la manette. La dernière enquête en date a été conduite par NPD. Le spécialiste des études de marché s'est intéressé à la manière dont les joueurs se procurent légalement des jeux. Il ressort de cette enquête que les joueurs préfèrent globalement acheter des jeux d'occasion qu'en télécharger sur les plateformes légales. 78 % des joueurs réguliers se rendent régulièrement dans une boutique pour acquérir un nouveau titre. Si le NPD ne donne pas les raisons de ce succès, le facteur prix et la satisfaction de posséder le boîtier du jeu sont sans doute parmi les plus les plus mentionnées. Mais si l'achat de jeux d'occasion ou dématérialisés séduisent une très forte majorité de joueurs, ces deux modes de consommation ne rivalisent pas encore avec la traditionnelle sortie d'un jeu neuf en boutique.

Beat Bang, l'application de La Médiathèque sur les musiques électroniques Par: Sébastien Cools 26/11/12 - 12h05 L'application gratuite Beat Bang, mise en ligne par La Médiathèque de la Communauté française de Belgique et traitant de l'histoire des musiques électroniques, est désormais disponible aussi pour iPhone et iPad via l'App Store. Elle était déjà proposée pour smartphones et tablettes Android via Google Play avec quelques jours d'avance. L'appli Beat Bang invite à découvrir les musiques électroniques grâce à 500 albums electro de référence de 1988 à 2012, depuis la techno industrielle jusqu'au breakbeat, en passant par le trip-hop ou l'electronica.Deux axes construisent le classement des albums.

"Derrière le jeu vidéo, c'est toute notre culture ludique qui s'est transformée" LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Anne Chemin (propos recueillis) Vincent Berry est maître de conférences en sciences de l'éducation à l'université Paris XIII et membre de l'équipe de recherche "Loisir, jeu et objets culturels de l'enfance" au sein du laboratoire Experice. A l'approche de Noël, il analyse la place grandissante du jeu vidéo à côté du jeu traditionnel, et ses effets. Des études montrent que les enfants abandonnent de plus en plus jeunes les jouets pour les jeux vidéo. Est-ce le début d'une marginalisation du jouet "à l'ancienne" ? Les frontières d'âge, c'est vrai, se déplacent, mais je ne crois pas à une marginalisation du jouet : ce secteur est en progression constante depuis plusieurs années. C'est une façon de marquer le passage à une nouvelle période de la vie. En passant du jouet au jeu vidéo, les enfants passent de la manipulation physique d'un objet à la visualisation d'une image. Le plaisir de la manipulation est toujours présent dans le jeu vidéo.

Biblio Numericus - Le numérique se joue aussi en bibliothèque Piratebox de la bibliothèque Dumont Cela fait maintenant plusieurs mois que nous avons mis en place des piratebox à la bibliothèque. C’est l’occasion de réaliser un petit bilan, de partager cette expérience et peut-être de donner envie de la vivre ! Après plusieurs semaines de mise en service, nous commençons à avoir plus de questions de la part des lecteurs. De quoi s’agit-il? « Et sinon, vous connaissez la piratebox ? Comme tout projet, il est important de communiquer autour de la piratebox. Nous sommes passés par différents canaux de diffusion. Les bibliothèques de la ville disposent aussi d’un blog dédié à l’actualité numérique du réseau. Nous nous appuyons également sur les réseaux sociaux pour disséminer l’information. Pour la rendre visible dans nos murs, nous avons également réalisé des affiches afin de la matérialiser dans la bibliothèque. « D’accord, mais les lecteurs alors ? Nous aimerions avoir un retour de l’utilisation de la piratebox. « Ça vous intéresse ?

L’espace jeux vidéo de la Gaîté Lyrique : un exemple de médiation Si ce n’est pas déjà fait, je vous conseille fortement d’aller faire un tour à la Gaîté Lyrique, à Paris. Notamment pour son centre de ressources et son espace jeux vidéo. Le dispositif de médiation mis en place dans ce dernier est très bien conçu (même s’il manque à mon avis quelques cartels à côté des écrans pour présenter rapidement chaque jeu) et pourra inspirer les bibliothèques souhaitant proposer du jeu vidéo sur place. L’idée forte que je trouve intéressante c’est d’avoir axé cet espace jeux vidéo autour d’une logique de programmation, de sélections thématiques. C’est-à-dire que les jeux disponibles dans cet espace sont choisis autour d’un thème, en lien avec par exemple une exposition en cours. Le but est de faire découvrir, de créer des ponts, de mettre en évidence des liens entre différentes œuvres, domaines artistiques, culturels. Pour la Gaîté Lyrique cette approche est bien choisie car elle permet d’intéresser ceux qui ne connaissent pas déjà le jeu vidéo.

Le Réseau Carel veut positionner les bibliothèques dans l’univers numérique Officiellement constitué en association le 20 mars 2012, le Réseau Carel (www.reseaucarel.org) entame l’année 2013 par une campagne d’adhésion. Car l’association doit maintenant grossir ses rangs pour peser face aux éditeurs. Manifeste – Elle s’est d’ores et déjà dotée de « recommandations pour le livre numérique en bibliothèque publique », publiées le 5 décembre 2012. « Nous sommes dans un contexte de développement du livre numérique, avec des offres très diverses, tant sur le plan des supports que des tarifs. Concrètement, cela signifie que les bibliothèques puissent, entre autres : accéder à l’ensemble de l’édition numérique disponible « dès sa parution »,ne pas soumettre les usages des lecteurs à des contraintes induites par des mesures techniques de gestion numérique des droits (DRM) attachées à un fichier,assurer la portabilité des ressources sur différents supports (ordinateurs, tablettes, liseuses, smartphones, etc.) Focus Carel a changé de braquet Un enjeu de société

Bibliothèque du futur : les usagers attendent les conseils du personnel Le Pew Research Center se veut comme l'organisme de référence en matière de levée des clichés, à l'aide de sondages à grande échelle : l'interrogation de près de 2.500 Américains lui a cette fois permis de conclure que le service public restait important pour une écrasante majorité d'entre eux. Toutefois, beaucoup attendent encore la révolution des établissements de prêt, en phase avec l'époque et les usages, rapporte l'American Librairies. thejester100, CC BY 2.0 Voilà un résultat qui mettra du baume au coeur des bibliothécaires américains lancés dans le combat pour le prêt des livres numériques : sur les 2.252 individus, minimum d'âge 16 ans, interrogés par le Pew Research Center (PRC), 80 % soutiennent mordicus qu'emprunter des livres et demander conseil à un bibliothécaire reste « un service très important ». L'objet de l'étude, réalisée par téléphone, s'inscrit dans la recherche de nouveaux modèles pour les établissements de prêt, plus en phase avec les attentes du public.

Édition - Article - Communautés de lecteurs : la nouvelle aubaine ? La lecture a toujours donné lieu à des pratiques d’échange d’information, de partage de données et de construction de réseaux qui ont trouvé avec Internet un cadre naturel de développement. Un réseau social du livre, ou « réseau numérique de « lecture sociale » est un réseau qui désigne comme objet de discussion les livres et la lecture mais le fait en plus savoir, le met en scène et se produit autour de ces objets », d’après Marc Jahjah, qui a développé une recherche approfondie sur cette question. Ces réseaux n’ont pas attendus le livre numérique pour se structurer. Pourtant, c’est bien l’ensemble des acteurs économiques du livre numérique qui s’intéressent aujourd’hui de très près aux communautés de lecteurs, quitte à en créer de toutes pièces : les fabricants de liseuses (Kobo avec Readinglife), les libraires (Decitre avec Entrées Livres ou Chapitre avec Bookinity), ou même les fournisseurs d’accès (Orange avec Lecteurs.com). Et les éditeurs ? [2].

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