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La régulation de l’économie collaborative en question

La régulation de l’économie collaborative en question
En septembre, rapporte Ron Lieber pour le New York Times, Nigel Warren a loué la chambre qu’il occupe dans son appartement à New York sur Airbnb pour 100 $ la nuit. Mais à son retour quel ne fut pas sa surprise d’être convoqué par son propriétaire et les agents de la ville de New York pour avoir enfreint plusieurs interdictions et se retrouver condamné pour plus de 40 000 $ d’amendes ! En effet, les lois locales ou votre contrat de location peuvent interdire la sous-location voir la location de courte durée. A New York, par exemple, vous ne pouvez pas louer d’appartements ou de chambres pour moins de 30 jours, sauf si vous vivez dans les locaux en même temps. Des lois plus restrictives existent encore à San Francisco ou à la Nouvelle-Orléans, mais également à Paris ou Londres. Et il existe des règlementations à suivre pour devenir maison d’hôte ou Bed & Breakfast. L’économie collaborative dans la tourmente L’économie collaborative, ce nouveau perturbateur ! Hubert Guillaud

Consommation collaborative Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La consommation collaborative désigne un modèle économique où l'usage prédomine sur la propriété : l'usage d'un bien, service, privilège, peut être augmenté par le partage, l'échange, le troc, la vente ou la location de celui-ci. Cette optimisation de l'usage est une réaction à la sous-utilisation classique supposée des : biens ;services ;privilèges ; principalement permise par l'échange d'information via Internet et à l'essor, dans un cadre légal, sécurisé, dans la transparence, de cette tendance depuis les années 2000 est donc fortement lié à l'essor des échanges en ligne ; des immenses places de marché, publiques, telles qu'eBay, aux secteurs émergeant de : La consommation collaborative bouscule les anciens modèles économiques en changeant non pas ce que les gens consomment mais la manière dont ils le consomment[1]. Origines[modifier | modifier le code] Le terme avait été introduit par Ray Algar dans la revue Leisure Report d'avril 2007.

La montée de la consommation collaborative « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.

Partage, P2P… bienvenue dans l’économie collaborative! Boostés par les outils web et la crise, la consommation collaborative émerge comme une véritable alternative à une société propriétaire. De la voiture partagée au booksurfing, Antonin Léonard dissèque les nouvelles tendances. Un jour, nous regarderons le XXe siècle et nous nous demanderons pourquoi nous possédions autant de choses affirmait récemment Bryan Walsh dans TIME Magazine qui consacrait la Consommation Collaborative comme l’une des dix idées amenées à changer le monde. Alors que plus de 3 millions de personnes dans 235 pays ont déjà « couchsurfé », ce sont plus de 2,2 millions de trajets en vélo libre-service (tels que le Velib’ à Paris) qui sont effectués chaque mois dans le monde. Tandis qu’Airbnb annonçait il y a quelques mois avoir dépassé le million de nuits réservées sur son site, en France, c’est covoiturage.fr qui a récemment franchi la barre du million de membres inscrits. On se rend compte que ce mouvement n’est pas qu’une tendance passagère. Du bien au lien Sterneck ;

Connecting the Collaborative Economy Outils collaboratifs Web 2.0, le passage d’un web statique à un web dynamique | Participer, coopérer, collaborer : ces trois termes sont abondamment utilisés mais les idées qu'ils recouvrent, quoique proches, divergent. Dans tous les cas, l'activité et l'intelligence collective sont au cœur du dispositif d'apprentissage. > On doit se demander quels sont la place et le(s) rôle(s) de(s) l'enseignant(s) ? de(s) l'élève(s) dans ces nouvelles pratiques de classe ? (rapport aux autres, rapport au temps, rapport à l'espace, rapport à l'organisation) > Quelles formes de collaboration numérique ? Après cette réflexion une sélection de sites collaboratifs : Aujourd’hui le web 2.0 permet le passage d’un web statique à un web dynamique, c’est-à-dire à une gestion de contenu plus dynamique, chaque acteur du web y étant en interaction. Si vous souhaitez contribuer avec vos adresses web envoyez vos suggestions. Pour aller plus loin :

My First Company - Investissez dans les start-up de demain Kit médias My­First­Com­pany, pre­mière plate-forme in­ter­net de crowd­fun­ding dé­diée à l’en­tre­pre­neu­riat, dé­marre en Bel­gique My­First­Com­pany est la pre­mière plate-forme de crowd­fun­ding qui per­met au grand pu­blic d’in­ves­tir dans des en­tre­prises nais­santes. L’am­bi­tion de My­First­Com­pany est de dé­mo­cra­ti­ser et pro­fes­sion­na­li­ser l’in­ves­tis­se­ment dans l’en­tre­pre­neu­riat en Bel­gique. My­First­Com­pany offre de la vi­si­bi­lité aux en­tre­pre­neurs ainsi qu’un pro­ces­sus simple et trans­pa­rent aux in­ves­tis­seurs in­for­mels (Fa­mille, amis et autres connais­sances). « Le crowd­fun­ding - ou fi­nan­ce­ment par­ti­ci­pa­tif - est un nou­veau mo­dèle né ré­cem­ment aux Etats- Unis qui vise à sou­te­nir des pro­jets pri­vés en fai­sant appel au fi­nan­ce­ment col­lec­tif prin­ci­pa­le­ment grâce à in­ter­net et aux ré­seaux so­ciaux. Vous avez une idée, un pro­jet à fi­nan­cer ? Té­lé­char­gez notre com­mu­ni­qué de presse Vu dans les médias

Evolution de la consommation collaborative au rythme des réseaux Panorama des plateformes de consommation collaborative qui, si elles multiplient, ne partagent pas toutes la même vision ni les mêmes modèles économiques. La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs”, explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un “mouvement”. Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). “La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons”, affirment ses défenseurs.

The Sharing Economy It’s 8:30 a.m. in Silicon Valley, and Neal Gorenflo is already busy sharing. Inside his Mountain View town house, just a few short blocks from the Caltrain station where commuters pour out each morning on their way to Google, Gorenflo hands over his 15-month-old son, Jake, to a nanny he shares with his neighbor. At a local coffee shop, he logs on to a peer-to-peer banking site called Lending Club to make a series of small loans to someone planning a wedding, another starting a pet business, and a guy named Pat who wants to move. After biking down to the station, he drags his ancient Peugeot onto the train to San Francisco, where he hops into a Prius he’s reserved for a few hours from City CarShare, a not-for-profit version of Zipcar. After driving out to Berkeley for a tour of a cohousing community, he finally lands at a shared office space in SoMa, from which he works once a week. Gorenflo does, of course, still own stuff. AirBnB, on the other hand, had to create demand. He laughs.

The intricate rented world The new issue of Forbes has a cover story, headlined “Who Wants to Be a Billionaire,” about the new “economic revolution” of “peer-to-peer sharing.” Fueled by a proliferation of personal asset-rental clearinghouses on the web, run by companies like Airbnb, Lyft, and DogVacay, this revolution, says Forbes, is “quietly turning millions of people into part-time entrepreneurs, and disrupting old notions about consumption and ownership.” As its prime example, the magazine points to a 63-year-old photographer named Frederic Larson. He was laid off from his full-time job at the San Francisco Chronicle in 2009 and since has only been able to find some part-time work, without the benefits he once enjoyed. But now Larson is a micro-entrepreneur in the “gig economy”: Twelve days per month Larson rents his Marin County home on website Airbnb for $100 a night, of which he nets $97. It’s good that Larson has found ways to make ends meet. Maybe that’s an overstatement. Photo by Julia Manzerova. Related

Collaborative Consumption | Beyond The Beyond “Collaborative Consumption describes the rapid explosion in traditional sharing, bartering, lending, trading, renting, gifting, and swapping redefined through technology and peer communities. “From enormous marketplaces such as eBay and Craigslist, to emerging sectors such as social lending (Zopa) and car sharing (Zipcar), Collaborative Consumption is disrupting outdated modes of business and reinventing not just what we consume but how we consume. New marketplaces such as Swaptree, Zilok, Bartercard, AirBnb, and thredUP are enabling “peer-to-peer” to become the default way people exchange — whether it’s unused space, goods, skills, money, or services — and sites like these are appearing everyday, all over the world. “As the Collaborative Consumption movement grows and evolves, so will this online hub. We believe in well-designed, simple tools that people can openly share and build on.

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