L'univers universitaire Aujourd'hui, demain et vendredi, je suis une formation sur la rédaction de thèse. Je m'y suis inscrite évidemment parce que c'est le moment et c'est aussi l'argument que j'ai mis en avant lorsqu'on m'a mise sur liste d'attente : c'est maintenant ou jamais ; plus tard, ça me sera à peu près aussi utile que de me mettre au kung-fu. La première journée m'a donné l'idée de faire une petite "typologie" des personnes qui assistent à ces formations, parce c'est franchement assez sciant. Tous les croisements sont possibles et la liste n'est pas exhaustive, bien sûr. Type 1 : les insupportables fantômes (dits aussi "les gros bâââââââtaaaaards"). Selon les formations, ça va de la moitié aux deux tiers des inscrits. ("Salut ! Type 2 : l'analphabète. Pris d'un réflexe compulsif (qui explique aussi peut-être l'absence des fantômes), il s'est inscrit sans même lire le descriptif de la formation. « Ah, il fallait amener son ordinateur ? Type 3 : le génie. Ça se passe de commentaire. « Alors !
Qu’est-ce que chercher ? (4) Les sociabilités savantes 3 Les sociabilités savantes Je voudrais pour conclure insister sur un troisième aspect de ma conception de la recherche à l’heure des humanités numériques : le travail collectif, la communication, le partage, le don. Le premier enjeu est sans doute la redéfinition des frontières entre travail individuel et travail collectif. La recherche ne se réduit pas au face-à-face d’un chercheur avec son objet ou sujet. Il convient d’imaginer et d’encourager de nouveaux dispositifs, conjoignant le travail sur des plateformes numériques et le dialogue in vivo. Un second enjeu me semble résider dans l’ouverture de nos laboratoires et de nos centres de recherche, de nos salles de séminaire et de nos amphithéâtres. C’est là je crois un atout majeur de cette plateforme de micro-blogging : permettre de constituer des collectifs informels et de construire une expertise collective. Deux points me semblent fondamentaux : - la dimension réflexive. Il est temps de conclure. Imprimer ce billet
PRAG à l’Université « Je suis enseignant (PRAG) et chercheur (docteur, “membre” d’un Labo UMR) mais en aucun cas considéré comme un enseignant-chercheur. 21 ans de carrière, professeur en CPGE, ENS prépa-Agreg, plus de 20 publications (bien plus que bon nombre de MCF de mon Labo !), chapitres de livres, brevets, conférences invité, projets de Recherche-Coopération étrangère proposés clefs en main à des PU si peu reconnaissants, même pour les voyages qu’ils ne manquent jamais de “consommer”, …. Tout cela pendant le WE, les vacances, à mes frais, au détriment de ma vie familiale, … mais rien que pour le plaisir ! Même pas la peine de demander un petit allègement de service pour terminer ses travaux en vue de préparer une HDR, systématiquement refusé : 6 PRAG candidats dans mon Université dont 5 doctorants et un docteur (moi), allègement de service accordé l’an passé aux 5 doctorants, refusé pour le prag-docteur car administrativement “ça n’est pas prévu pour un docteur mais seulement pour un doctorant”.
"J'suis large" ou la mauvaise évaluation chronique des plannings | Journal d'un Thésard Je suis psycho-rigide, j’aime l’ordre, l’obligation, les plannings et les calculs statistiques prévisionnels. Non, je ne dors pas dans une chambre où les murs sont molletonnés, je ne me prends pas pour Napoléon (quoi que…) et je ne fais pas 13 fois le tour de la table avant de m’assoir pour aller manger; mais je fais des statistiques et des plannings à tour de bras… La thèse n’y loupe pas: planning, retro-planning, calcul de la durée de la rédaction d’une page dans un environnement optimisé, génération de tableurs Excel pour contrôler a posteriori le rendement rédactionnel sur un titre, un chapitre, une section, un paragraphe… Bref, j’ai fait plein de tableaux, de calculs et (presque) jamais aucun n’a été tenu sur la longueur. Non pas à cause d’un arrêt de l’écriture de la thèse, mais simplement par plusieurs faits internes et externes (et je ne parle pas ici des facteurs liés au directeur de thèse): Je suis parti sur un objectif de 450 pages.
Enseignement Supérieur et Recherche en France Las mejores combinaciones de colores para probar en 2020 – nosotros-los-diseñadores ¿Estás buscando combinaciones de colores geniales para probar en tus próximos proyectos de diseño? En este artículo Graphicmama, ha reunido y revisado algunas de las combinaciones de colores más modernas en 2020 para diseño web, diseño gráfico e ilustraciones digitales. Ha incluido algunos clásicos absolutos que sería un pecado no intentar. Otras combinaciones de colores son súper innovadoras, por lo que también debes probarlas. Negro y amarillo Brillante, casi amarillo neón y negro es una combinación muy moderna en este momento que solo llama la atención. Azul y rojo Una combinación de colores muy clásica y elegante que hace la combinación de colores perfecta para muchos diseños gráficos e ilustraciones. Morado y coral Una combinación de colores muy moderna que cautiva con la sensibilidad y la mística. En blanco y negro No es posible omitir la combinación de colores más popular de todos los tiempos: blanco y negro. Gris y verde Coral y verde agua Negro y naranja Azul y naranja
Hermann Hesse, Narcisse et Goldmund Hermann Hesse, Prix Nobel, Narcisse et Goldmund (Narziss und Goldmund), récit traduit de l'allemand par Fernand Delmas, Calmann-Lévy, 1948. L'écrivain de langue allemande Hermann Hesse est né en 1877 dans le Wurtenberg, à Calw (Kolw). Fils de missionnaires qui le destinaient à devenir pasteur, il s'enfuit en 1892 du couvent de Maulbronn et se forme tout seul en exerçant divers métiers. En 1899, il s'établit en Suisse et publie ses premiers poèmes ainsi qu'un roman, Peter Camenzind (1904), vite remarqués. Novice au couvent de Mariabronn, Narcisse se distingue par son intelligence et sa culture. C'est alors pour Goldmund la vie errante : aventures galantes dont il attend éperdûment qu'elles manifestent le visage idéal de la femme, de l'"Eve éternelle", visage mythique venu se substituer à celui de sa mère morte. "Ce fut une étrange amitié celle qui s'établit entre Narcisse et Goldmund. Ce fut Narcisse, le penseur, qui, d'abord, eut le plus à en souffrir. - Tu le sais, dit Narcisse.
`géométrie pâtissière vidéo Glace vanille A base de crème anglaise, décorée de cerises amarena. herbes et épices Vanille Vanilla planifolia. recettes Pavot, pas pris ! La petite graine au goût de noisette qui parfume pains et gâteaux recette Sphère vanille pavot Une présentation originale, pour ces sphères à la vanille. Sphère vanille chocolat Envie de Sphère vanille chocolat ? [Recette] le Shag Cake Facile et Inratable + Astuces ! Concrètement, il n’y a pas de recettes précises pour faire un Shag Cake. Un Shag Cake est un principe de décoration, donc vous pouvez partir des recettes que vous souhaitez et qui vous font envie. Le mieux est de réaliser un Layer Cake à l’intérieur (à savoir donc, un gâteau à étages), puis, c’est à vous de choisir :– Le Biscuit que vous souhaitez -clic-– Le Fourrage qui vous fait envie -clic- Pour la garniture de couverture, je vous conseille vivement de faire une Crème au Beurre. Après, que ce soit une crème au beurre meringuée (à l’italienne ou suisse) ou une crème à l’Américaine, c’est à vous de voir en fonction de votre goût. Personnellement, je fais une crème au beurre à la meringue italienne, c’est ma préférée au goût, et elle se poche très bien ! Voilà l’article où vous pourrez retrouver ma recette de crème au beurre meringuée à l’italienne :
Comment expliquer les maths plus simplement ? En faisant la cuisine ! Pour comprendre des concepts mathématiques complexes, rien de tel que la préparation de beignets, de crème anglaise ! C’est l’idée d’Eugenia Cheng, prof à Stanffield. Mathématicienne et professeure à l’université de Chicago, la britannique Eugenia Cheng a eu une idée originale : pour expliquer des concepts abstraits, pas du tout destinés à une application pratique (en l’occurence, les structures mathématiques), elle fait… la cuisine ! Mais l’idée va plus loin que simplement couper une tarte en plusieurs morceaux pour illustrer les fractions. Cette fois, il s’agit d’aborder des concepts véritablement complexes. Son essai « Comment cuire un 9 » (Flammarion, 2016) est un livre de cuisine d’un nouveau genre : chaque chapitre présente ainsi une recette, qui résume un thème mathématique. Pas question en tout cas pour Eugenia Cheng de diffuser le message selon lequel les maths ne seraient intéressantes qu’à travers des analogies : « Tout est analogie dans les maths.