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Le château de Bonaguil

sans titre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Présentation[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Le château fort est bâti dès le XIIe siècle par les barons de Beynac[2] pour verrouiller la vallée. À la mort d'Adhémar de Beynac (1147-1189), croisé décédé sans postérité, Richard Cœur de Lion, roi d'Angleterre offre Beynac à Mercadier, son fidèle routier. À l'époque de la guerre de Cent Ans, la forteresse de Beynac est l'une des places fortes françaises. La partie la plus ancienne du château est un gros donjon roman carré, vertigineux, aux rares percements, agrafé d'une bretèche et d'une échauguette, accosté d'une cage d'escalier en vis, mince comme un contrefort et terminé par une terrasse crénelée. Blason des Beynac. Liste des barons de Beynac[modifier | modifier le code] Au cinéma[modifier | modifier le code] Le château a servi de cadre au tournage des films : Photos[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code]

ABC des châteaux-forts sur internet, annuaire des sites sur les châteaux Ce site vous propose de vous faciliter les recherches d'informations sur les châteaux, enceintes de ville ou de village, forts, églises fortifiées... A ce jour plus de 1700 monuments ont été répertoriés sur 650 sites internet ! Vous êtes un passionné de château-fort et de fortification, et vous êtes déprimé en voyant s'afficher sur votre moteur de recherche préféré plusieurs millions de pages parlant de "château". Pour chaque monument identifié, il vous fournit la liste des sites internet qui présentent un ou plusieurs aspects de ce monument. Bonne recherche et n'oubliez pas de visiter le site de la revue des châteaux-forts d'Europe, qui vous fournira nombre de renseignements sur les châteaux. Si vous êtes Webmestre et que vous trouvez ce site intéressant, n'hésitez pas à le mettre dans votre page de liens. Ce site internet a été réalisé par la revue des châteaux forts d'Europe et le Centre d'Etude des Châteaux-Forts. Centre d'Etude des Châteaux-Forts 4, rue du Tonnelet Rouge

Château de Cadillac - Centre des monuments nationaux Le château de Beynac, son histoire Beynac, c’est d’abord un magnifique petit village qui a gardé tout son charme médiéval : empruntez ses ruelles pavées et escarpées, ses escaliers de pierre usés par le temps et vous serez récompensés, au fur et à mesure de votre progression essouflée, par des aperçus de la vallée de la Dordogne d’autant plus beaux que vous serez plus élevés. Une fois en haut, montez encore ! Passez la place du château, et si vous êtes férus de poésie, vous trouverez avec bonheur la maison où vécut Paul Éluard un peu plus avant sur votre droite. Un lion à Beynac Quant au château lui-même, ses origines remontraient au XIIe siècle, lorsque Maynard de Beynac fit bâtir ce qui n’était alors qu’un donjon. Le 6 avril 1199, alors qu’il assiégait en Limousin le château de Châlus, Richard Cœur de Lion était tué d’une flèche qui l’étonna. Jean Favier, Histoire de France, « Le temps des principautés », p. 164 Jean Flori, Chevaliers et chevalerie au Moyen Âge, p. 162 Un château convoité Beynac, une baronnie en Périgord .

sans titre Avec le château de Castelnaud, nous sommes assez loin de l’élégance du château de Fénelon : il s’agit en effet d’une forteresse médiévale, strictement dévolue à la guerre, hier comme aujourd’hui puisque il abrite un musée de la guerre au Moyen Âge. Fondé au XIIe siècle, sa situation a été choisie en connaissance de cause : sur une hauteur, le château de Castelnaud domine la vallée de la Dordogne et fait face à son rival, le château de Beynac. Les « parfaits » Au début du XIIIe siècle, les cathares voient leur hérésie se répandre largement dans le Sud-Ouest de la France, y compris à Castelnaud : son seigneur est un partisan de cette foi. Les « purs » (d’après l’étymologie grecque du mot « καθαρος ») admettent deux principes, celui du Bien, exclusivement spirituel, et celui du Mal, matériel. C’est ainsi que les « purs » s’attirent les foudres du pape Innocent III qui, inquiet pour l’unité du dogme, ordonne la croisade (dite « des Albigeois ») en 1209. Conflits franco-anglais courtine

sans titre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le château de Bellocq se situe sur la commune du même nom, dans le département français des Pyrénées-Atlantiques. Présentation[modifier | modifier le code] Cette forteresse béarnaise de la fin du XIIIe siècle consiste en un quadrilatère irrégulier, renforcé de sept tours, relié à la maison forte construite en 1281. Elle fut transformée au XIVe siècle. Le château fut brûlé par Louis XIII en 1620 pour éviter qu'il ne soit utilisé par les Protestants. Histoire[modifier | modifier le code] À la fin du XIIIe siècle, Bellocq se trouvait à la frontière avec la Guyenne sous domination anglaise. En 1370, Gaston Fébus renforça le château et construisit de nouvelles places fortes pour préserver l'indépendance de son territoire contre les puissants royaumes de France, d'Angleterre et de Navarre. En 1542, Henri II d'Albret renforça le château pour parer à toute invasion espagnole. Notes et références[modifier | modifier le code] Château de Bellocq

sans titre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Géographie[modifier | modifier le code] au sud-ouest par la vallée alluviale du Giessen, rétrécie dans ce secteur par le pointement ganitique du Petit Hollé.au nord-ouest, par le vallon du Dumpfenbach qui marque la limite avec Saint-Maurice.au sud-oest et au nord-est par le vallon de Saint-Pierre-Bois peu pentue qui atteint 300 m d'altitude à la " Oberheid". Le village est installé à l'intersection de l'ancienne Route du Sel et du vallon de Saint-Pierre-Bois, peu avant le confluent du ruisseau du Giessen. La commune de Thanvillé compte quelques maisons situées dans l'agglomération de Saint-Maurice et une partie de l'agglomération de Saint-Pierre-Bois (rive droite du ruisseau) dont l'église qui se trouve ainsi singulièrement excentrée. Les habitants de Thanvillé s'appellent les Thanviléens. Toponymie[modifier | modifier le code] Thanvillé doit son nom à l'allemand Tannweiler[Informations douteuses] et au nom alsacien de Danwiller.

sans titre Le château de Commarque n’était à sa fondation qu’une simple tour de bois édifiée par une famille de militaires du XIIe siècle. Quoique perché sur un éperon rocheux, sa situation peut surprendre puisqu’il est enfoncé au fond de la vallée de la Beune – on y accède par une courte marche de 600 mètres, en descente. La situation Le choix de cet endroit s’explique pourtant : tout d’abord, le site était alors déjà habité par des paysans (le flanc de la falaise dominée par le château de Commarque conserve les traces de leurs habitations semi-troglodytiques, de larges sillons où venaient s’enfoncer les montants en bois et s’appuyer les charpentes de sorte que ces maisons étaient réellement accrochées à la falaise). Une coseigneurie Il semble toutefois que cette subtilité architecturale aient échappé aux Anglais puisque pendant la guerre de Cent Ans, après avoir soudoyé un traître, ils se firent ouvrir la porte d’entrée, franchirent sans encombres la barbacane La fin

sans titre Le château de Fénelon, situé sur les hauteurs de Sainte-Mondane d’où il surplombe toute la vallée de la Dordogne, allie élégance et puissance défensive et constitue assurément une étape obligée pour les amoureux de vieilles pierres et de meubles anciens ou tout simplement pour ceux qui cherchent un endroit apaisant. Apaisant et paisible, le château de Fénelon l’est aujourd'hui, mais ça n’a pas toujours été le cas – la guerre de Cent Ans est passée par là : en 1360, conséquence du traité de Brétigny, les seigneurs de Fénelon, qui possédaient Sainte-Mondane et d’autres terres alentour depuis l’an mil, deviennent vassaux du roi d’Angleterre Edouard III. Peu de temps après, en 1375, les Français s’en emparent, mais il faut attendre 1445 pour que la seigneurie de Fénelon devienne la pleine propriété des Salignac. La Révolution transforme le château en métairie et on y élève des vers à soie. Une double enceinte Des curiosités couleuvrines sol en pisé

sans titre Château de Spesbourg Cliquez sur l'une des rubriques ci-dessous L' aspect général rappelle le château-fort du XIIIe siècle, avec un donjon d'environ 24 m dont l'accès n'est possible que par une porte haut placée. Casteland.com remercie tout particulièrement l'association du château ainsi que Gabriel Gehenn pour les photos ainsi que les renseignements sur celui-ci. sans titre L'Association pour la Restauration du Château du Spesbourg est une association de bénévoles qui oeuvre depuis 1985 à la sauvegarde, la sécurisation et la mise en valeur de la ruine du Spesbourg, majestueux château propriété de la commune d'Andlau (Bas-Rhin). Elle est essentiellement composée d'habitants de la ville d'Andlau, mais recueille des adhésions dans un périmètre beaucoup plus important, de même que la richesse que représente un tel patrimoine excède de beaucoup le cadre simplement local. Année après année, l'association se donne pour missions: Vous trouverez dans ce site une courte présentation du château, le calendrier des activités organisées ou projetées par l'association ainsi que des compte-rendus en images de manifestations orchestrées par l'association ou auxquelles elle a pris part... Bonne visite !

Château fort du Kagenfels - Bienvenue sur le site officiel Prehome | Château Lascombes Château du Haut-Kœnigsbourg Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Haut-Kœnigsbourg est un château médiéval se situant dans la commune française d'Orschwiller dans le département du Bas-Rhin en Alsace. Le nom actuel du château, Haut-Kœnigsbourg, est le résultat de l'adaptation du nom allemand Hohkönigsburg qui se traduit par « haut-château du roi ». Situation géographique[modifier | modifier le code] Le château est situé à une altitude de 757 m, et placé à : 12 km à l'ouest de Sélestat, d'où on peut le voir ;26 km au nord de Colmar ;55 km au sud de Strasbourg. Historique[modifier | modifier le code] Les Hohenstaufen[modifier | modifier le code] En 774, Charlemagne fait don du Stophanberch ou Staufenberg, (nom du col où le Haut-Kœnigsbourg a été construit) et des terres attenantes au prieuré de Lièpvre, dépendantes de celle de Saint-Denis. En 1079, Frédéric de Hohenstaufen (Frédéric l'Ancien) est nommé duc de Souabe par l'Empereur du Saint-Empire Germanique Henri IV. Les Thierstein[modifier | modifier le code]

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