Can Pekdemir, série Fur, créatures nées de transformations mathématiques À la foire néerlandaise Unseen, la galerie The Empire project présentait les trois dernières œuvres de Can Pekdemir tirées de sa série Fur. L’artiste turc, basé à Istanbul, y explore les possibilités de déformations du corps humain ou animal. Quand on parle de Can Pekdemir au galeriste Kerimcan Güleryüz, fondateur et directeur de The Empire Project, il tient tout de suite à ce qu’on ne limite pas son artiste au médium photographique : « Il n’est pas que photographe. Il travaille beaucoup avec des matériaux physiques qu’il soumet ensuite à des mutations mathématiques grâce à des algorithmes ». Can Pekdemir travaille ses images comme des portraits, et sous les excroissances de matière, on semble parfois deviner un être vivant doté de sa propre personnalité et sensibilité. Can Pekdemir est né en 1982.
Primera Infancia y Educación Artística Artista Land-Art británico. Escultor, fotógrafo y ambientalista. Produce obras de "Land-Art", situadas en entornos naturales y urbanos. Su propuesta artística consiste en el uso de los recursos naturales y objetos encontrados, a fin de crear esculturas tanto temporales como permanentes, que destaquen el carácter de su entorno. Así, el espacio natural se convierte en su “estudio” de trabajo. Andy Goldsworthy realiza creaciones sumamente simples en el paisaje con elementos y objetos de la naturaleza (flores, hojas, hierba, agua, nieve o hielo, madera, arena, piedras, etc). La educación artística y estética de la naturaleza en la Escuela Infantil representa un área mágica donde los niños y niñas viven intensamente experiencias sensitivas, básicas para su desarrollo perceptivo y el de su expresividad artística, especialmente cuando se realizan a modo de juego en creaciones bi y tridimensionales tales como construir con materiales de la naturaleza.
L'art et la nature Cette fiche, au vu de la largeur du sujet abordé, ne comprend que des pistes de réflexion. L’art, issu du latin ars (habileté, connaissance technique), a donné la racine du mot artisanat, qui est une forme de création, mais aussi du mot artifice. Or l’artificiel s’oppose au naturel. Le naturel, ici, est tout ce qui a trait à la nature, c’est-à-dire l’ensemble des éléments qui constituent l’environnement, ce que l’Homme n’a pas créé. A cet effet, on pourrait penser que l’art s’oppose à la nature. L’art peut être perçu comme limite à l’harmonie entre l’Homme et la nature. L’art est création, par opposition à la nature. Si l’art et la nature paraissent tous deux être des créations aux yeux des scientifiques, une grande différence les sépare : l’Homme crée l’art, tandis que la nature se crée d’elle-même. L’art est une imitation (mimesis) de la nature, une expression qui éloigne du réel. Platon, dans Le Banquet, montre que les poètes travestissent le réel. L’Homme est un artiste par nature.
Land art Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le land art est une tendance de l'art contemporain utilisant le cadre et les matériaux de la nature (bois, terre, pierres, sable, rocher, etc.). Le plus souvent, les œuvres sont à l'extérieur, exposées aux éléments, et soumises à l'érosion naturelle ; ainsi, certaines œuvres ont disparu et il ne reste que leur souvenir photographique et des vidéos. Les premières œuvres ont été réalisées dans les paysages désertiques de l'Ouest américain à la fin des années 1960. Les œuvres les plus imposantes, réalisées avec des équipements de construction, portent le nom d'Earthworks (littéralement terrassements). Caractéristiques[modifier | modifier le code] Si les Earthworks sont des altérations durables du paysage, la plupart des œuvres du land art relèvent plutôt de l'art éphémère, vouées à plus ou moins longue échéance à la disparition sous l'effet des éléments naturels. Histoire[modifier | modifier le code] Autres artistes[modifier | modifier le code]
La nature dans l'art PLAN : . Introduction : la nature au fil des siècles . 1960-1970 : Changement de paradigme de la nature dans l'art . Catégorisation des pratiques artistiques autour de la nature - Nature reconstruite - Nature incisée - Nature voilée ou empaquetée - Nature et astronomie - Nature et espace - Nature et symboles - Nature prise entre les murs - Nature domptée - Nature modelée - Paysage miniature - Beauté cachée - Nature comme matériau - Nature figurative . Esthétique de ces oeuvres . Mouvements artistiques : Land Art et Earth Works . La nature a toujours été au centre des préoccupations des artistes. Dès la fin des années soixante, beaucoup d'artistes quittent l'atelier pour investir la nature. Elles impliquent bien souvent le spectateur comme partie intégrante du processus. Toutes ces oeuvres peuvent être regroupées sous les termes Land Art et Earth Works désignant les formes d'art prenant la nature comme lieu, support, sujet et matériau de création.
L'estampe japonaise d'Hokusai à l'honneur au Grand Palais À partir du 1er octobre, le Grand Palais de Paris accueillera en son sein les œuvres d’Hokusai. La plus grande rétrospective jamais réalisée en France sur l’illustre maître japonais. La Grande Vague de Kanagawa © Hokusai / Victoria and Albert Museum, London, given by the Misses Alexander Katsushika Hokusai (1760 – 1849) est sans nul doute l’un des plus célèbres artistes japonais, dont l’œuvre a depuis longtemps dépassé les frontières de l’archipel nippon et inspiré l’art occidental. Né en 1760 dans un faubourg campagnard de la ville d’Edo (l’ancien nom de Tokyo) de parents inconnus, Hokusai est adopté à l’âge de 3 ans par un artisan, chez qui il développera très jeune le goût du dessin et de la peinture. Estampe issue des “Trente-six vues du Mont Fuji” © Hokusai Cent-vingt noms d’artistes En parallèle de son œuvre peinte, Hokusai est aussi connu pour avoir utilisé quelque 120 noms d’artistes tout au long de sa carrière. Un hommage à Hokusai Je veux recevoir plus de news !
L'estampe japonaise Génie protéiforme, créateur audacieux, Katsushika Hokusai (1760-1849) incarne la spiritualité et l’âme japonaises. « Fou de dessin » (gakyôjin) tel qu’il aime à s’appeler lui-même, doué d’une curiosité artistique insatiable et d’un élan créateur durable et fécond tout au long d’une carrière prolifique, longue de soixante-dix années, servi par une extraordinaire capacité de travail, il laisse une production monumentale, comprenant des milliers d’œuvres remarquables tant par leur qualité esthétique que par leur variété stylistique : peintures, dessins, gravures, livres illustrés, manuels didactiques. Cent vingt noms d’artiste Sur les cent vingt noms d’artiste et pseudonymes utilisés par Hokusai, on peut en retenir six principaux qui ponctuent les périodes stylistiques les plus importantes de son œuvre et correspondent aux six grandes phases de sa carrière :• de 1779 à 1794, Katsukawa Shunrô (« Splendeur du Printemps »). Les « Trente-six vues du mont Fuji » Feuilleter la « Manga »
L'estampe japonaise Le déclin de la culture d’Edo Alors qu’au tournant du siècle, l’estampe polychrome ukiyo-e a atteint son apogée, tout entière consacrée aux quartiers réservés et au théâtre kabuki, monde éphémère des plaisirs cher à la bourgeoisie marchande, elle n’en marque pas moins le pas, la culture d’Edo déclinant peu à peu. Les autorités Tokugawa, qui ont cristallisé un ordre politique et social suranné, se raidissent et exercent sur l’édition une censure de plus en plus sévère ; une série d’édits interdit d’abord de publier des estampes érotiques (shunga), ensuite de mentionner l’identité des courtisanes représentées, enfin de réaliser de grands portraits en buste. Les artistes voient ainsi leur source d’inspiration et leur liberté d’expression grandement réduites. Si le paysage donne à l’art de l’estampe un second souffle, c’est qu’il correspond aux aspirations de la société japonaise de l’époque. Renouer avec la nature Ce genre suscite un engouement immédiat du public. Hokusai et Hiroshige
L'estampe japonaise Issu d’une famille de samouraïs, Andô Hiroshige (1797-1858) reçoit de son père la charge d’officier de la brigade des pompiers à la cour du shôgun, mais il perd ses deux parents dès 1809. Suivant ses aptitudes, il s’oriente très jeune vers le dessin, entre à l’âge de quatorze ans dans l’atelier de Toyohiro Utagawa (1773-1828), et joint dès 1812 le caractère hiro (du nom du maître) à son nom d’artiste. Durant ses années de formation (vers 1811-1830), il s’intéresse surtout à l’estampe de personnages, dans la tradition de ses aînés ; il produit des portraits de courtisanes, d’acteurs et de guerriers, des illustrations de livres, ainsi que des surimono pour des clubs de poésie. À partir des années 1830, il se tourne vers le paysage. La popularité croissante de Hiroshige et les nombreuses commandes d’éditeurs qu’il doit honorer entraînent une surproduction à la fin de sa carrière et son art accuse parfois une baisse de qualité. Une approche poétique de la nature
Paradoxes et problèmes éthiques liés aux modifications corporelles | Art contemporain et identité ORLAN, Triptych Opera Operation, 1993. Le Body Art comme l’art charnel se conçoivent comme des pratiques choquantes et subversives. Parce qu’elles utilisent le corps, et donc l’humain, elles soulèvent irrémédiablement des questions éthiques. Les articles suivants nous permettront d’aborder cet aspect en interrogeant le rôle de la médecine, la conception de l’humanité, ainsi que l’état de réduction du corps à celui de simple médium et les paradoxes qui en découlent. Nous avions déjà parlé, dans notre article sur « l’importance du corps dans la construction identitaire« , de l’éditorial « Culte de l’individu et perte de l’identité » rédigé par Yves Charles Zarka pour Cités n°21, publié en janvier 2005 et disponible sur Cairn. Mais cet article nous permet également d’aborder la question des paradoxes inhérents au Body Art ou à l’art charnel. Ce premier article peut aisément être lié aux travaux d’ORLAN. J'aime : J'aime chargement…
Quand le street art investit les villes en cohabitant avec la nature A quoi ressemblerait le street art s’il se mêlait à la nature ? Il est vrai que l’urbanisme et l’écologie semblent très éloignés, pourtant les villes s’appliquent de plus en plus à redonner une place de choix aux espaces verts. On vous propose donc de découvrir ces œuvres originales où le graphisme urbain cohabite avec la verdure. Souvent connoté de façon péjorative, assimilé aux dégradations, l’art du « graffiti » est avant tout celui de jouer avec les éléments environnants pour dessiner de réels chefs-d’œuvre qui attirent l’attention et l’émotion de chacun. Banksy, les pratiquants du Yarn Bombing (ou Knit Graffiti) et bien d’autres artistes, ont réalisé certaines de leurs créations en étroite communion avec la nature. Ces œuvres sont vraiment sublimes et originales, une belle façon de remettre de la couleur dans la morosité urbaine.
Redonnez une bouffée d’air frais aux rues de votre ville en réalisant des graffitis végétaux Le street art a beau être un art des plus jolis, il utilise cependant des produits chimiques… Et si on vous disait que vous pouvez devenir un expert en la matière tout en respectant la planète ? C’est en tout cas ce que certains artistes s’amusent à faire à partir d’une recette très simple qui permet de réaliser de splendides oeuvres d’art verdoyantes et éco-responsables. Oubliez les aérosols, c’est avec de la mousse que l’on peint désormais ! Si, comme Jaime Rojo, Anna Garforth et Edina Tokodi, vous souhaitez devenir des esthètes du street art éco-responsable, voici le processus à suivre et les ustensiles dont vous devez vous munir : Environ 400g de mousse (lavée et sans résidus de terre)500g de beurre500g de yaourt (de préférence entier)470ml d’eau ou de bière1/2 cuillère à café de sucreun peu de sirop de maïs (optionnel)Et, surtout, un mixeur que vous n’utiliserez, de préférence, qu’à cet effet ! Le street art version écolo a beaucoup de charme !