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La voiture sans chauffeur de Google : comment ça marche ?

La voiture sans chauffeur de Google : comment ça marche ?
Google a fait sensation avec son projet de voiture autonome, ou "sans chauffeur", appelée la Google Car. Mais concrètement, comment fonctionne-t-elle ? Sur quelles technologies repose-t-elle ? La voiture autonome de Google a beau s'appuyer en grande partie sur des technologies de pointe, elle reste dépendante de l'humain et son intelligence. Dès son introduction au grand public, le responsable du projet, Sebastian Thrun, qui a aussi co-inventé le service Street View, a d'ailleurs bien précisé que cette Google Car ne se conduit en fait jamais sans pilote. Autre précision importante : l'itinéraire est d'abord parcouru une ou plusieurs fois de manière classique, avec un conducteur pilotant le véhicule, afin d'enregistrer la route et toute sa signalisation, et d'en dresser une carte très détaillée. Pour toutes ces tâches, la voiture pourra compter sur plusieurs technologies, d'une valeur totale estimée à quelque 150 000 dollars, dont notamment :

Le FBI craint que la voiture sans chauffeur de Google profite aux criminels Un rapport du bureau fédéral craint que les criminels ne puissent à terme la détourner pour échapper aux forces de l'ordre ou commettre des infractions. Google dévoilait fin mai son prototype de voiture sans chauffeur. Derrière son allure mignonne et innocente, l'automobile inquiète les forces de l'ordre américaines. La voiture sans chauffeur pourrait être détournée pour griller des feux rouges ou dépasser les limites de vitesse. En revanche, le rapport estime que la Google Car pourra à l'avenir réduire le nombre d'accidents, notamment en évitant les erreurs d'inattention ou les mauvaises décisions du conducteur. La Google Car inquiète généralement plus pour ses risques d'accidents que ses détournements criminels. Pour l'heure, Google se retrouve face à un défi d'image et de communication encore plus grand qu'avec ses lunettes connectées.

Voitures autonomes : tout savoir sur l'automobile du futur - Tech Les experts la prédisent disponible pour tous d'ici 2030, mais dès aujourd'hui des modèles de voitures autonomes de test commencent à prendre la route et des dizaines de projets ont vu le jour. Point d'étape, constructeur par constructeur. Tesla, Google, deux noms dont nous parlons souvent. Pourtant ils ne représentent pas l’alpha et l’oméga de la voiture autonome sur le marché : Chinois, Européens et Américains sont tous dans la course pour fournir les plus early-adopters des conducteurs. Avec des stratégies parfois divergentes. Chez Tesla, nous sommes dans la performance et le test de terrain ; chez Google, dans le perfectionnement de l’intelligence artificielle ; chez BMW, dans un futur idéal aux allures un peu kitsch. Tour d’horizon d’un marché futuriste et qui brasse déjà des millions et anime les esprits. les constructeurs européens L’Europe se scinde en deux à propos des voitures autonomes. RenaultRenault prend son temps Renault-Nissan lancera dix voitures semi-autonomes d’ici 2019

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