Bibliographie - Participation des habitants : des compétences nouvelles, entre spécialité et transversalité ? 1 – La participation dans les travaux des agences Panorama des démarches participatives menées par les agences d’urbanisme Rennes, AUDIAR, 2011 Synthèse d’une enquête auprès des agences réalisée en vue des rencontres de la FNAU 2011. (En cours) « Désirs d’habitants ? Rennes, AUDIAR, 2011, 44 p. Comment l’idée de démocratie participative est-elle perçue par les habitants de Rennes Métropole ? « Désirs d’habitants ? Le Blosne. Rennes, AUDIAR, 2011, 4 p. Le quartier du Blosne a peu évolué pendant une trentaine d’années sur le plan de l’aménagement. Le Blosne. L’ADDOU. Rennes, AUDIAR, 2011, 2 p. Depuis dix ans, vingt-sept Addou (Approche développement durable dans les opérations d’urbanisme) ont été réalisées dans le Pays de Rennes. L’ADDOU. Le cadre juridique de la participation locale Sur tous les projets qui touchent à l’urbanisme, à l’aménagement du territoire, à l’équipement des collectivités et à la préservation de l’environnement, la concertation est devenue nécessaire. MAHEY Pierre
Populaction : le site français de la démocratie directe Populaction est une base d’information sur la démocratie directe et les assemblées locales d’habitants Populaction.com recense des expériences et des témoignages qui montrent que si nous le voulions, nous pourrions changer l’état de marche du monde, pacifiquement et rationnellement : en nous ressaisissant de notre pouvoir politique - de notre pouvoir de décision sur notre propre vie et sur les affaires communes -, par le biais d’assemblées d’habitants, en discutant et décidant ensemble de ce que nous voulons pour nous-mêmes et pour nos enfants, à tous les niveaux (travail, logement, santé, éducation…), et pour notre terre. Ce site est une vraie mine d’or. Ce média est une des meilleures surprises que l’Internet m’ait offert ces derniers mois. Accéder au site
Les jeunes et l’action politique : participation, contestation, résistance Les jeunes et l’action politique : participation, contestation, résistance Nicole Galland et Stéphanie Garneau (dir.) Presses de l'Université Laval, « Regard sur la jeunesse du monde » 274 p. Prix : 25.00 € Présentation de l’éditeur Les jeunes sont souvent décriés pour leur apathie politique, notamment parce que les formes d'engagement qu'ils déploient sont parfois peu légitimées socialement. Ce livre retrace les processus qui favorisent ou non l'engagement politique des jeunes, par le regard croisé d'études rigoureuses portant tantôt sur des formes d'action politique attendues des pouvoirs publics (le vote, la participation associative), tantôt sur des formes plus contestataires (notamment chez des jeunesses marginalisées), en passant par des modes plus diffus de résistance au pouvoir. De cette panoplie de manières de s'engager se dégage le portrait de jeunesses variées, mais loin d'être apathiques. Extrait de l'introduction de Nicole Gallant et Stéphanie Garneau Avec la collaboration de :
Le réseau des composteurs pailleurs - Participation Brest De l’habitat à l’éducation en passant par l’économie, etc., notre territoire se développe par la contribution croisée de la puissance publique, de la vie associative sans oublier l’initiative citoyenne. Celles-ci renforcent la démocratie. Cette fiche est le résultat d’une analyse comparative des divers entretiens réalisés par Leïla Milandou, stagiaire à la mission Développement Social Urbain de Brest métropole océane. Lire les autres fiches Description Des habitants passionnés par la technique de compostage paillage sont recrutés par l’agent de développement de la collectivité qui leur propose de participer à un réseau de guides sur le territoire de BMO. Dans quel contexte est née l’action ? En 2009 une technicienne de B.M.O a suivi une formation ADEME, Agent de Maîtrise de l’Environnement, sur le compostage ainsi qu’une formation sur l’accompagnement des réseaux. Quel cadre a nécessité la mise en oeuvre de l’action ? Dans quel registre de la participation se situe l’action ? Initiative
LIENS | populaction L’écologie sociale est un mouvement d’écologie radicale théorisé par Murray Bookchin dès les années 60. L’écologie sociale cherche à redéfinir le lien entre l’être humain et la nature par la mise en place d’une société écologique et décentralisée sous la forme politique d’une confédération démocratique. Conscient que les problèmes écologiques découlent de problèmes sociaux, elle cherche à résoudre conjointement ces deux questions, notamment par la promotion de citoyens acteurs et gestionnaires de leur communauté. Animé par Vincent Gerber, ce site a pour but de proposer des informations de bases en langue française concernant l’écologie sociale, tout en apportant des ouvertures pour aller plus loin. dans l’approfondissement du sujet. ♥ The Institute for Social Ecology : L’Écologie Sociale pose un regard nouveau sur les problèmes sociaux et environnementaux, et promeut une politique de démocratie directe, confédérale.
Le débat, l’éthique, la démocratie Mettre en débat le débat, c’est interroger l’une des conditions essentielles de la démocratie. Le point de vue est ici celui de l’éthique. Une éthique participative, si elle peut exister, implique une pensée du sujet et du social. Ce que le débat n’est pas 1. 2. 3. 4. 5. Les obstacles à un débat participatif et citoyen dans un média numérique 6. 7. 8. 9. 10. L’éthique comme mode de dépassement des obstacles 11. 12.L'éthique n'est pas seulement une déontologie et des règles relatives à la morale, comme le respect de l'autre ou du bien commun, la proscription de la stigmatisation, de l'insulte ou de l'injure. 13. 14. 15. 16. 17. Débat et démocratie 18. 19. 20. 21. Il est urgent d’inventer des alternatives citoyennes qui sauront replonger la démocratie à ses sources véritables : la délibération publique et le débat citoyen. Pascal Maillard
RECit Démocratie participative : de Paris à Reykjavik, des outils au service des citoyens Des citoyens qui aident les élus et leurs services à bâtir le futur des collectivités territoriales, c’est aujourd’hui une réalité à l’échelle mondiale, qui compte déjà plusieurs partisans en France. Pour ce faire, de nombreux outils participatifs ont été conçus et sont utilisés, notamment par les communes. Ils permettent de recueillir les idées, avis et votes de chacun avec pour but de financer ensuite les projets de demain, la finalité étant bien la co-construction de ces derniers. Paris, l’exemple français le plus frappant Pour bâtir une ville juste, progressiste et durable, l’intelligence collective est notre plus grande force. Ces propos sont signés Anne Hidalgo, Maire de Paris, qui a décidé de consacrer 5% du budget d’investissement de la ville sur l’ensemble de sa mandature, soit 480 millions d’euros, pour financer des projets proposés par des citoyens. Via un site dédié, les habitants de la capitale peuvent soumettre des idées en début d’année.
Démocratie participative Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La démocratie participative est une forme de partage et d'exercice du pouvoir, fondée sur le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision politique. On parle également de « démocratie délibérative » pour mettre l'accent sur les différents processus permettant la participation du public à l'élaboration des décisions, pendant la phase de délibération. La démocratie participative ou délibérative peut prendre plusieurs formes, mais elle s'est d'abord instaurée sur le terrain de l'aménagement du territoire et de l'urbanisme, avant de s'étendre dans les champs de l'environnement. Dans ces cadres, les associations jouent un rôle central en tant qu'interlocuteurs pour les autorités publiques. Fondements[modifier | modifier le code] L'impératif participatif : « démocratiser la démocratie »[modifier | modifier le code] Démocratie et cohésion sociale[modifier | modifier le code] Le désintérêt[modifier | modifier le code]
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