Building Customer Communities Is the Key to Creating Value - Bill Lee by Bill Lee | 1:00 PM February 1, 2013 What are your customers telling their friends and colleagues about your business? As I described in my last post, your prospective customers and buyers increasingly learn about you from their peers — including your current customers — while tending more and more to ignore traditional sales and marketing communications from corporate. Creating and capturing such value from customer relationships doesn’t just happen, no matter how stellar your products and services are. At Level 1, buyers perceive you as the supplier of a commodity. At Level 2, buyers perceive you as helping them get a job done. At Level 3, you engage the customer emotionally, which strengthens loyalty and retention. But not everyone can create such awesome products or services — and even when you do, maintaining that emotional connection through your products and services may be fleeting. This is an area of tremendous creativity. Help customers build their reputation Give them a say
GraphSearch de Facebook : un service intéressant, mais inquiétant 01net le 25/01/13 à 14h18 Annoncé en grande pompe la semaine dernière, GraphSearch, le moteur de recherche interne de Facebook, doit constituer le « troisième pilier » du réseau social, à côté du fil d’actualités et du journal, explique Mark Zuckerberg. Contrairement à Google et ses concurrents, Graph Search ne recherche pas sur le web. 01net a testé pour vous la version beta (en anglais) afin de juger sur pièces le potentiel de cette nouvelle fonctionnalité. Une fois Graph Search activé, la première modification est graphique: la barre de navigation située en haut de la page adopte un look plus moderne. Des questions sur la protection de la vie privée Intéressant dans le concept et plutôt bien conçu (malgré quelques bugs de jeunesse), GraphSearch doit cependant faire ses preuves. Des internautes ont aussi testé GraphSearch et ont créé un Tumblr pour partager leurs recherches.
Anki 2.0 User Manual As mentioned in the basics section, Anki creates cards automatically, based on the notes you add. (Please read the basics section if you have not done so already, as the rest of this section assumes that you have read it.) You can configure the cards Anki should create and what should be shown on them when adding or editing material by clicking on the “Cards…” button. At the top of the window you’ll see a set of tabs, one for each card type. On the top left is the front template, on the bottom left is the back template, and in between them is the card styling section. In Anki, templates are written in HTML, which is the language that web pages are written in. On the right is a preview of the front and back of the currently selected card. At the bottom of the window is a More button that gives you options to rename or reorder the cards, as well as the following two options: Reverse Cards Basic Templates The most basic template looks something like this: What's the capital city of {{Country}}?
Avec Graph Search, Facebook tente de socialiser la recherche En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Accueil Ni smartphone, ni streaming ! Le réseau social a finalement annoncé une fonction de recherche sociale proposant de répondre à des questions posées par ses utilisateurs. Un moteur de recherche social, voila donc la nouveauté annoncée mardi par Facebook dans ses bureaux de Menlo Park. Contrairement à Google et ses concurrents, Graph Search ne recherche pas sur le web. Pas d'information sur la version finale Graph Search répond à d’autres questions. « Trouver la réponse à ses questions nécessite aujourd’hui de se rendre sur différentes pages, indique Tom Stocky, l’un des responsables du développement. Tweeter Partager Ailleurs sur le web
Quellenübersicht: Immer die aktuellsten Zahlen zu sozialen Netzwerken Wir versuchen hier ja einen möglichst umfangreichen Statistik-Pool rund um Social Media aufzubauen und aktuell zu halten. Leider kommen wir aber nicht immer dazu, alles aktuell zu halten. Wenn Ihr also mal ganz schnell aktuelle Zahlen zu einem bestimmten Netzwerk braucht, könnt Ihr Euch auch selbst ein wenig helfen. Daher stelle ich Euch hier mal die Quellen für Nutzerzahlen zu den verschiedenen Netzwerken zusammen. Ich werde die Liste regelmäßig aktualisieren und den Artikel mal wieder nach oben holen. Inhalt: Facebook: So funktioniert es: Einfach auf “Erstelle eine Werbeanzeige” klicken. Twitter Aktive Twitterer in deutscher Sprache Thomas Pfeiffer erstellt in unregelmäßigen Abständen seinen Twitter-Zensus. Google+ Geschäftsberichte von GoogleGoogle veröffentlicht in seinen Geschäftsberichten (4x jährlich) oft auch Nutzerzahlen zu Google+. Xing Xing-Geschäftsberichte Viermal pro Quartal gibt es offizielle Zahlen der Xing AG inkl. LinkedIn Deutsche Netzwerke Allgemein
Facebook débranche Microsoft Bing de son réseau social 01net le 13/12/14 à 12h37 Graph Search, le nouveau moteur de recherche de Facebook, a créé un petit dégât collatéral… chez Microsoft. Depuis quelque jours, le réseau social a mis à jour cet outil - disponible pour l'instant que sur la version américaine - avec l’objectif d’aider les utilisateurs à retrouver plus facilement les messages publiés par leurs amis. Mais ce changement en a créé un autre: ils n’ont plus accès aux liens fournis par Bing, comme vient de le révéler Reuters. En effet, à la suite d'un accord entre Facebook et Microsoft, le moteur de recherche Bing fournissait jusqu’alors une partie des résultats de recherche sur Facebook Search, et notamment des liens vers des sites extérieures. Facebook considère la recherche comme une importante zone de croissance. Lire aussi: Source:
Tom König: Mit Social Media gegen miesen Service Jeder Markenartikler besitzt heutzutage eine eigene Facebook-Seite - von Twitter, Foursquare, Pinterest und dem anderen Kladderadatsch ganz zu schweigen. Viele Marketingexperten halten die neuen Kommunikationskanäle für eine feine Sache. Gewiefte Service-Guerilleros sehen das genauso, wenn auch aus anderen Gründen: Dadurch, dass sich viele Unternehmen vorbehaltlos auf Social Media eingelassen haben, sind sie nämlich in eine fiese Falle getappt. Jeder Kunde, dem etwas missfällt, kann dies nun öffentlich machen, und zwar an einem Ort, wo sich Tausende andere Menschen aufhalten, die mit der fraglichen Firma Geschäftsbeziehungen pflegen. Es ist möglicherweise der Beginn eines güldenen neuen Zeitalters des Konsumerismus. Seid ihr bereit, Compadres? Operationstaktik 1: Die öffentliche Beschwerde lancieren Nehmen wir an, Sie ärgern sich über die unverschämt hohen Gebühren, die Ihre Bank für eine Transaktion berechnet hat. "Liebe Sparkasse Dödelsberg! Erscheint Ihnen etwas ermüdend? Kunde vs.
Facebook : le bouton "j'aime pas" c'est non pour Zuckerberg ! À l’arrivée de Facebook, deux fonctionnalités nouvelles faisaient leur apparition. Le fameux « poke », dont on n’a jamais vraiment trouvé l’utilité jusqu’à maintenant, et le bouton « j’aime » devenu LA marque de fabrique du réseau social de Mark Zuckerberg ! Mais certains grognons pestent contre le fait qu’il faille à tout prix aimer ce que nos contacts publient sur le mur, et qu’à part un commentaire acerbe, il n’y ai pas de possibilité de « ne pas aimer » ce que l’on voit défiler sur notre fil d’actualité Facebook. C’est sans doute pour cela que tous les 6 mois, la rumeur de l’apparition d’un bouton « j’aime pas » ressort. Mark Zuckerberg n’aime pas le bouton « j’aime pas » ! Dans une séance de questions/réponses auprès d’utilisateurs de Facebook et diffusée sur le net, le créateur du réseau social a tenu à clarifier les choses concernant l’éventualité de l’apparition d’un bouton « j’aime pas » sur les publications. Réagir à cet article Vous souhaitez réagir ? Connexion
Szene: Bionade-Biedermeier Der Berliner Stadtteil Prenzlauer Berg ist das Experimentierfeld des neuen Deutschlands. Doch wer nicht ins Raster passt, hat es schwer im Biotop der Schönen und Kreativen Speichern Drucken Twitter Facebook Google + Die Straße, von der Yunus Uygur einmal annahm, sie sei sein Weg ins Glück, liegt im Dunkeln, als er einen neuerlichen Anlauf nimmt, um dieses Glück vielleicht doch noch zu fassen zu kriegen. Seit fünf Monaten hat er seinen Laden direkt an der Haltestelle Milastraße. Er gehört zu einem stillen Treck von Arbeitsnomaden, die Morgen für Morgen in den Prenzlauer Berg ziehen, um den Deutschen Obst und Gemüse, Blumen und Wein zu bringen. Der Prenzlauer Berg. Der Anteil der Akademiker hat sich mehr als verdoppelt, in manchen Straßen verfünffacht. Die Menschen hier glauben deshalb gern, der Prenzlauer Berg sei die fruchtbarste Region des Landes. „Wuuuuunderbar! Daran teilzuhaben, sich ein bisschen Lifestyle zu kaufen, ist Stahlmanns Kunden 3300 Euro wert, pro Quadratmeter.
Les 5 raisons pour lesquelles WhatsApp vaut bien 19 milliards de dollars 01net le 20/02/14 à 12h58 Facebook va payer 19 milliards de dollars pour une startup de 50 personnes fondée en 2009, dont on ne sait même pas si elle est rentable. 1. WhatsApp compte 450 millions d’utilisateurs actifs et en gagne chaque jour un million de plus. Par ailleurs, les abonnés de WhatsApp sont particulièrement actifs : 70 % d’entre eux utilisent l’application tous les jours. « A notre connaissance, WhatsApp est la seule application mobile dont le pourcentage d’utilisateurs quotidiens est supérieur à celui de Facebook (62 %, ndlr) », précise Mark Zuckerberg. 2. En rachetant WhatsApp, Facebook met également la main sur un annuaire géant. 3. L’avenir de Facebook est dans l’univers mobile. 4. Facebook Messenger est beaucoup utilisé aux Etats-Unis, mais pas vraiment ailleurs. Dans ces pays, Facebook Messenger ne dépasse pas les 34 % de taux d’usage mensuel. 5. La messagerie mobile est l’une des « killer app » du smartphone. Lire aussi:
Gauck und Sexismusdebatte: Der Aufschrei-Empörungsgestus Jetzt wird es bestimmt ganz eng für Joachim Gauck . Zwei Tage, nachdem der SPIEGEL ein Gespräch mit dem Staatsoberhaupt veröffentlicht hat , ist man im Internet aufgewacht und sammelt sich wegen seiner Nachbetrachtungen zur Brüderle-Affäre zum Protest. Oder soll man lieber sagen: zum #Protestschrei? Mit Bestürzung hat man im feministisch bewegten Teil der Netzgemeinde jedenfalls zur Kenntnis nehmen müssen, dass der Bundespräsident den alltäglichen Sexismus in Deutschland für kein vordringliches Problem hält. "Wir sind verblüfft und erschüttert", heißt es in dem Appell an Gauck, der seit Mittwoch zirkuliert. Schwer zu sagen, was man bei dem neuerlichen Aufschrei mehr bewundern soll: den Empörungsgestus, der genau jenen "Tugendfuror" unter Beweis stellt, den Gauck im SPIEGEL beklagt hat. Hier sprechen die Vertreter der neuen Weltordnung Man mag das alles für überzogen halten. Wie jede Jugendbewegung profitiert der Netzprotest von der Vermutung, dass ihm die Zukunft gehöre.
Les adolescents US n'aiment plus Facebook ? Entre Ello l'anti-Facebook et les nouveautés en matière de réseaux sociaux, l'abandon de la plateforme de Mark Zuckerberg par ses utilisateurs est un sujet qui revient plutôt régulièrement. Une enquête de Piper Jaffray montre ici que l'engouement pour le Social Network n'est plus le même du côté des adolescents américains. Ces derniers bouderaient apparemment Facebook pour se tourner vers Instagram ou Twitter. Des sites qui s'avèrent être les deux réseaux les plus populaires chez les étudiants US. Sur 7200 étudiants sondés outre-Atlantique, 45% d'entre-eux restent fidèles à Facebook, 76% utilisent Instagram et 59% tweets. Au fil des derniers mois, le nombre d'utilisateurs Facebook chez les ados a significativement baissé. 72% au printemps et 45% en automne 2014, l'écart est flagrant ! Nate Elliott de Forrester publiait sur son blog cet été une étude évaluant à au moins 75% le taux d'utilisation de Facebook chez les jeunes. À ce titre, une explication est possible.
Que devient Pheed, le réseau social qui devait détrôner tous les autres ? Lancé en octobre 2012, Pheed proposait une approche assez innovante consistant à agréger les gros réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Instagram, Soundcloud ou Tumblr en proposant un système de monétisation intéressant. Ce sont ces deux aspects qui lui ont permis d'atteindre en quelques semaines 1 million d'utilisateurs et d'attirer l'attention des observateurs du secteur à l'heure où certains ténors, Twitter notamment cherchaient leur modèle. Forbes décrivait en effet le service avec ces mots simples : "Think of it as Twitter, with a business plan". Ainsi, Pheed propose un système de "pay-per-view" permettant d'accéder à du contenu premium en payant. De quoi séduire le monde de la musique, du cinéma, et de manière générale, tous les producteurs de contenu. Sur Pheed, c’est l’utilisateur lui-même qui décide du prix : de 1,99$ à quelques dizaines de dollars la vue, ou la consultation illimitée via un abonnement mensuel. Mais ça, c'était en 2012. Le rachat, seule issue possible ?