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Les 5 Tendances Marketing de 2013 pour Séduire vos Consommateurs

Les 5 Tendances Marketing de 2013 pour Séduire vos Consommateurs
2012 fut l’année de la fin du monde. L’apocalypse était au cœur de tous les débats, de toutes les campagnes de publicité aussi. Après avoir surfé sur ce phénomène pendant plus d’un an, il est temps pour les marques de se réinventer pour séduire les consommateurs toujours plus stimulés. Voici donc les 5 tendances marketing qui nous attendent en 2013. 1. Le tournant du numérique avec l’essor du e-commerce a été bien négocié par la plupart des acteurs de la vente. Il reste cependant complexe de se démarquer au milieu des nombreux acteurs de la vente en ligne. Ainsi, l’année dernière, à Séoul, la chaîne de supermarché HomePlus, a investi le métro pour proposer un supermarché complètement virtuel. 2. Les marques ont également un grand intérêt à développer de nouvelles manières de shopper. Ainsi, l’année 2013 devrait être marquée par de nombreuses innovations sur les lieux de ventes pour faire du shopping physique une expérience nouvelle et attrayante. 3. 4. 5. Catégorie: E-marketing

Les méthodes décapantes d'un patron néerlandais - Les Echos.fr Aidée de ses investisseurs historiques, la jeune plateforme de baby-sitting en ligne Yoopies rachète l'un de ses concurrents français. Le mobile, bascule silencieuse du tourisme De plus en plus connectés sur mobile, les consommateurs préparent leurs voyages sur tablettes et smartphones. Yves Tyrode, directeur général de voyage-sncf.com appelle la France, leader mondial du tourisme, à devenir "mobile friendly". La révolution sera collaborative, par Jeremy Rifkin Après avoir prédit la fin du travail et la troisième révolution industrielle, le prospectiviste Jeremy Rifkin annonce rien de moins que le déclin du capitalisme, éclipsé par l'Internet des objets et l'économie solidaire. L'Agence pour la Création d'entreprise (APCE) au bord du dépôt de bilan L'APCE semble plus que jamais sur la sellette. Ma vie d'entrepreneur : plongée dans le monde du Capital Risque Vous cherchez à lever 600.000EUR ou plus pour financer votre entreprise. Le cristal, une fenêtre ouverte sur le vivant

A quoi ressemblera l'agence bancaire de demain ? | L'avenir des réseaux bancaires Agences bancaires : le maillage du territoire devient moins dense Actualité économique Wednesday 28 November 2012 - 09:50 Les Français ont de plus en plus recours aux services bancaires. Selon nos décomptes effectués à partir des données de la Banque de France (mises à jour début novembre), il y avait sur le territoire 38.171 agences bancaires fin 2011, contre 39.863 en 2006. La contrepartie des services en lignes ? Au premier abord, on peut voir dans cet allègement progressif la contrepartie de la montée en régime des services en ligne. Si cette tendance rend certainement moins fréquentes les visites en agence, les effectifs dédiés aux clients n'ont pas pour autant été réduits. Des agences moins nombreuses mais plus grosses Ainsi, sur des effectifs bancaires de 373.000 personnes, près de 52% sont aujourd'hui dédiés à la force de vente. Ce moindre maillage du territoire ne procède donc pas tant d'un désengagement que d'un mouvement de concentration.

Demain, une agence bancaire 2.0 ? Depuis les années 1980, les réseaux ont eu la volonté d’exploiter les progrès techniques et informatiques pour augmenter leur productivité. Plus d’automatisation et de flux électroniques, plus d’activités déportées vers des middle offices mutualisés et distants et donc moins d’effectifs dans les points de ventes. Les agences ont ainsi été libérées de la contrainte de la logistique et des opérations et ont été réorganisées – généralisation des murs d’argents à l’extérieur ou à l’entrée, réduction de l’espace guichet, augmentation de l’espace des bureaux commerciaux… Des agences en décalage par rapport au client Du point de vue du banquier, le dispositif optimal. Ils désirent de l’autonomie (un Français sur deux utilise le site Web de sa banque selon l’Ifop), mais en même temps une relation personnalisée. Des concept stores pour promouvoir la marque… À l’étranger, certaines banques font écho à ces évolutions. … et des agences adaptées à leur environnement Rendre le conseil plus accessible

Quelle résilience pour la banque de détail ? Les annonces des résultats du 2e trimestre de la banque de détail en France viennent confirmer les perspectives négatives que l’on pouvait craindre. Le produit net bancaire de la banque de détail des grands établissements stagne ou se contracte. Hors impact de l’ALM [1] qui peut jouer de façon positive ou négative suivant les groupes d’un trimestre à l’autre, la tendance est claire. Telles sont les questions auxquelles nous nous proposons de répondre. I. Les revenus de la banque de détail sont étroitement corrélés au PIB nominal. Trois scénarios d’évolution envisagés Trois hypothèses d’évolution des revenus et des charges ont été testées avec le modèle Retail 2015. Le scénario 1 repose sur une croissance zéro du PIB en 2012. Dans le scénario 1, le résultat brut d’exploitation avant provisions et impôts baisse de 2,6 % en 2012 et ne reprend une orientation positive qu’en 2016. La prise en compte des risques associés II. Une première approche consiste à privilégier le scénario 1.

2 % à 4% des agences bancaires vont fermer chaque année Combien restera-t-il d'agences bancaires en France sur les 39 000 actuellement ouvertes ? Selon une étude du cabinet Roland Berger, leur nombre va diminuer de 2% à 4% par an dans les prochaines années. Explication? Les nouvelles contraintes réglementaires de Bâle 3 qui fixent de nouvelles exigences de fonds propres et de liquidités et vont peser sur la rentabilité des banques sont en première ligne. Le cabinet anticipe ainsi que les commissions rapporteront 4,5 milliards d'euros en 2015 aux neuf grands réseaux étudiés - BNP Paribas, Banque Populaire, Caisse d'Epargne, Banque Postale, Crédit Agricole, LCL, Crédit Mutuel, Société Générale, CIC - soit un milliard de moins qu'en 2011. Réduire les frais de gestion Seule solution selon le cabinet Roland Berger : réduire les frais de gestion. La fermeture d'agences représente donc à la fois une économie de frais et l'adaptation des banques à de nouveaux modes de consommation. Mettre le cap sur l'assurance santé, prévoyance et dépendance

Agences bancaires Pourquoi les garder Les Cassandre ne cessent de prédire la fin des agences bancaires. Certes, la baisse de fréquentation observée depuis plusieurs années, au rythme de 3 % à 5 % par an, devrait remettre en cause la taille des réseaux. Mais on compte aujourd'hui 28.000 points de vente - contre environ 26.000 (hors La Banque Postale) dans la décennie 1996-2006 -, auxquels il faut ajouter 56.000 distributeurs disposant parfois des fonctionnalités permettant d'en faire de véritables guichets automatiques. Illustration de « la banque universelle de proximité », les caisses régionales du Crédit Agricole ont encore plus de 7.000 agences auxquelles s'ajoutent presque autant de « points verts » chez les commerçants. Ce paradoxe a une explication : 90 % des ventes sont encore réalisées dans les réseaux (lire l'entretien). Améliorer les performances Force est pourtant de constater que les coefficients d'exploitation ne s'améliorent guère. Définir le rôle de l'agence Développer les compétences

Une banque qui fermerait ses agences perdrait 1 client sur 3 Dans le monde entier, les consommateurs restent très attachés aux agences bancaires. C'est la conclusion d'une étude rendue publique mercredi 19 juin par le département de conseil en stratégie du groupe Cisco. Réalisée dans cinq pays, développés et trois grands pays émergents (Chine, Brésil Mexique), une étude menée par Cisco a testé neuf concepts innovants auprès de 5.300 consommateurs (dont 600 personnes en France). Principale leçon : les consommateurs restent très attachés à l’agence bancaire, où ils souhaitent bénéficier de conseils personnalisés. Des clients qui aimeraient qu'on les conseille sur le plan juridique Testées sur leur intérêt à voir l’agence bancaire fournir des services financiers plus poussés, 39% des personnes sondées ont exprimé le souhait de recevoir dans leur agence des conseils juridiques, 26% aimeraient une aide pour effectuer leur déclaration de revenus, et 22,5% souhaiteraient bénéficier, via leur banque, d’une formation financière.

Fermeture agences bancaires et restructuration des banques de réseau D’après une étude du Cabinet Roland Berger, les banques mettront moins d’agences à disposition de leurs clients dans les années qui viennent. Les raisons sont évidemment économiques. A l’heure de la réforme bancaire et du grand superviseur européen visant à contrôler le secteur, la fermeture d’agences annonce un bouleversement du paysage bancaire. Le succès grandissant des banques en ligne Gérer ses comptes sans sortir de chez soi, sans faire la queue derrière un guichet ni attendre plusieurs jours pour obtenir un rendez-vous avec son conseiller est un concept qui a fini par faire le succès de la banque en ligne, d’autant plus qu’elle est meilleur marché que les banques physiques. Boursorama, Fortuneo, Bforbank, Monabanq ou bien encore les services en ligne des grands Etablissements permettent à chacun d’effectuer n’importe quelle opération et ce, 24 heures sur 24. De multiples raisons Le succès des services en ligne n’est pas la seule raison de ce grand redéploiement.

La fin du règne de la segmentation valeur/potentiel - Les fondamentaux du marketing - Relationnel En matière de segmentation relationnelle, la plus répandue est la segmentation dite valeur/potentiel qui analyse le client selon deux axes: sa valeur actuelle pour l'entreprise et son potentiel de développement pour demain. La logique poursuivie est simple, l'entreprise concentre ses efforts relationnels sur les clients à plus fort enjeu de fidélisation (axe valeur) ou de conquête (axe potentiel). Pour les clients à moindre valeur/potentiel, chez un opérateur de téléphonie, cela se traduit par l'affectation d'un commercial joignable uniquement à l'initiative du client et par téléphone. A l'opposé, les rendez-vous en face-à-face, déclenchés à l'initiative du commercial sont réservés aux clients à forte valeur/potentiel. Prendre davantage en compte les besoins des clients Si cette logique répond aux enjeux d'efficience de l'entreprise, elle n'est cependant pas la plus satisfaisante pour le client! En croisant ces axes, plusieurs grandes familles de clients apparaissent. Comment?

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