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De quels traitements sommes-nous les proies

De quels traitements sommes-nous les proies
Par Hubert Guillaud le 22/01/13 | 9 commentaires | 6,893 lectures | Impression Le Wall Street Journal publiait il y a peu une intéressante enquête sur la tarification algorithmique des sites de commerce en ligne. Les journalistes Jennifer Valentino-Devries, Jeremy Singer-Vine et Ashkan Soltani ont cherché à comprendre comment les prix des produits d’un magasin en ligne tel que Staples, un site de fournitures de bureau américain, variaient pour les utilisateurs. Visiblement, plusieurs paramètres entrent en compte pour déterminer le prix d’un produit expliquent-ils. La localisation attribuée à votre IP (qui n’est pas forcément très fiable, notamment si vous vous connectez depuis une ligne téléphonique fixe), mais également la distance à laquelle vous êtes situé d’un magasin physique d’un concurrent ! Image : extrait de l’infographie du Wall Street Journal montrant la variation des prix des articles de site Staples selon la localisation de l’internaute. Quels recours aurons-nous ?

e-Commerce et commerce : le temps de l’hybridation Le commerce en ligne se porte bien. En France, il a progressé de 20 % sur l’ensemble de l’année 2012, rapporte le Journal du Net (le chiffre d’affaires a augmenté de 13 % mais le panier moyen est en baisse de 2 euros à 87,56 euros). Mais de plus en plus on perçoit comme une fracture entre le monde du commerce réel et celui du commerce en ligne. La dernière étude du cabinet PwC, rapporte les Echos, montre que les sites préférés des acheteurs (hormis Amazon et eBay) demeurent majoritairement ceux de magasins physiques. Pour Cédric Cauderlier, responsable du numérique chez Danone, s’appuyant sur les dernières études Nielsen sur le sujet, montre que, dans certains secteurs, les intentions d’achat en ligne sur certains marchés cessent de progresser. La croissance du commerce en ligne ne suffit pas. Shelly Banjo pour le Wall Street Journal estime que le fossé générationnel du shopping se creuse. Le système Euclid coûte environ 200 $ par mois et par magasin. Hubert Guillaud

sdg mercatique Dossier : les fonctions de l'entreprise L’entreprise est un peu comme un organisme vivant, dont la "survie" nécessite une bonne coordination des organes qui le composent. En effet, l'entreprise ne peut fonctionner que si les tâches à accomplir sont réparties de façon précise et si le rôle de chacun dans l’entreprise est clairement déterminé. Plus l’entreprise est importante, plus son organisation, pour être efficace, doit être structurée. Les nombreuses tâches réalisées par l’entreprise peuvent faire l’objet d’un regroupement selon leur objectif. Traditionnellement, on recense 8 grandes fonctions dans l’entreprise dont la fonction Production, la fonction Marketing et Vente ou la fonction Recherche et Développement. Il faut donc explorer l’anatomie de l’entreprise et regarder d’un peu plus près ses fonctions, afin de comprendre leur signification, leur articulation et leur importance. Publié en 2012

Performances financières et performances sociales sont-elles compatibles ? LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Nicolas Mottis, professeur à l'Essec Une entreprise peut-elle croître tout en étant vertueuse dans ses pratiques sociales, environnementales ou de gouvernance ? Dans le jargon managérial, cela renvoie au lien entre "création de valeur" - comprendre performance financière - et performances extra-financières ou performances "ESG" (environnementales, sociales et de gouvernance). Cette question simple est en fait bigrement compliquée. Malgré des années d'effort, la recherche en économie peine encore à apporter une réponse ferme. Par exemple, certains concluent qu'une gestion sociale de qualité est indispensable à l'obtention d'une bonne performance financière. Bien que la conclusion ne soit pas claire, le débat monte en puissance. Dans un article publié dans la Harvard Business Review en février 2011, l'un des derniers rares gourous du management anglo-saxon, Michael Porter, met en avant la notion de "valeur partagée".

PFEG Loop : les grandes marques se mettent au zéro déchet en e-commerce Loop : c’est le nom de la plateforme créée par les géants de la grande conso, avec l’objectif de vendre vos produits préférés en mode zéro déchet. Carrefour, Coca-Cola, Pampers, Tropicana, Milka… Est-ce qu’on y croit ? « Vos produits préférés maintenant disponibles en version sans déchets. » C’est la promesse de Loop, une nouvelle plateforme de e-commerce qui promet de venir à bout des emballages à usage unique. En service à partir du printemps 2019 en France et aux États-Unis, elle est à l’initiative d’une coalition entre de grands acteurs du secteur agro-alimentaire, mais aussi de l’hygiène et de la beauté. Bad boys, bad boys, what you gonna do ? Certains noms sont d’ailleurs assez surprenants. Evian, Tropicana, Lesieur… Même combat : difficile d’imaginer les produits de ces boîtes sans leur traditionnel plastique prêt-à-jeter. Le retour de la consigne De plus en plus de pratiques de consommation sont empruntées au passé, et Loop ne fait pas exception à la règle. On va vers du mieux…

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