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La publicité sur le lieu de vente (PLV) - marketing

La publicité sur le lieu de vente (PLV) - marketing
La PLV est un élément incontournable de notre vie quotidienne, elle regroupe tout le matériel publicitaire présent sur le lieu de vente. Elle a comme objectif principal de mettre en avant un produit sur un lieu de vente par des moyens visuels et d'en faire ainsi sa promotion. Administrateur NetPME , mise à jour le La Publicité sur le Lieu de Vente (plus couramment appelée PLV) est un élément incontournable de notre vie quotidienne, elle regroupe tout le matériel publicitaire présent sur le lieu de vente. La PLV a comme objectif principal de mettre en avant un produit sur un lieu de vente par des moyens visuels et d'en faire ainsi sa promotion. La PLV est en effet déterminante en ce qui concerne les comportements d’achat des consommateurs : une présentation originale et attractive d’un produit peut ainsi être génératrice de ventes. Certains points clefs sont à vérifier pour que la PLV soit efficace : - La PLV doit rendre le produit attractif. - La PLV doit donner de bonnes informations. Related:  Merchandising

Un hypermarché E.Leclerc entièrement équipé d'étiquettes électroniques sans contact Tyler Olson /shutterstock.com (Relaxnews) - Avec l'ouverture du nouveau centre commercial So Ouest, à Levallois (Hauts-de-Seine), le centre E.Leclerc donnera accès à son tout premier hypermarché équipé intégralement d'étiquettes électroniques sans contact. La nouvelle génération de courses "sans contact" comptera, à partir du jeudi 18 octobre, sur un nouveau membre de la grande distribution : E.Leclerc. Dans la mouvance des annonces qui se succèdent, le distributeur a installé dans les rayons de son nouvel hypermarché, situé au sein du centre commercial So Ouest, à Levallois, en région parisienne, des étiquettes électroniques qui divulguent toutes sortes d'informations. Une application mobile dédiée Plusieurs conditions entrent en jeu pour profiter de cette technologie sans contact. A la clé : des détails sur la composition, l'origine et la fabrication des produits des marques E.Leclerc, telles que "Conso Responsable", "Marque Repère", "Eco+" et "Nos Régions ont du Talent". A lire aussi

Bienvenue dans la boutique du futur Imaginez Minority Report version shopping ou, pour les fans de Zola, Au Bonheur des Dames version XXIe siècle. Du 21 au 27 mars dernier à Paris, un des fers de lance du prêt-à-porter de luxe français, Kenzo, a ouvert dans le Marais une échoppe éphémère et digitale. Sur un écran géant qui remplaçait les cintres, les clients pouvaient se connecter à l'estore, choisir une pièce de la collection créée dans le cadre d'une collaboration avec la Blue Marine Foundation, qui lutte contre la surpêche, et repartir juste avec un ticket et un lien internet pour finaliser leur achat. La miniboutique peinte en bleu futuriste de Kenzo est une des preuves qu'une petite révolution s'opère dans les rayons : le magasin classique, avec ses murs et ses portants, ses vendeurs et ses cabines d'essayage, est en train de muter. Le digital pop-up de Kenzo, à Paris Être à la hauteur du e-commerce En France, curieusement, c'est un géant de la grande distribution qui a été précurseur. Une révolution du shopping

La grande distribution va gagner la bataille du e-commerce par Pierre-Alain Baly - Chronique e-Business Plus simple, plus pratique, plus rapide, plus compétitif et plus performant... les consommateurs connaissent les qualités de la grande distribution. Après des années de discrétion dans le monde du e-commerce, ces marchands sortent leurs griffes et séduisent tous les jours de nouveaux clients. Pour l'acheteur : l'essayer c'est l'adorer ! La grande distribution a déjà conquis les clients ! Des millions de clients fidèles : toutes les familles françaises fréquentent une ou plusieurs chaînes de supermarché. Le chaînon manquant indispensable à la croissanceEncore incomparable en terme de volume financier avec les ventes du monde réel, le chiffre d'affaires online est tout à fait stratégique. Trop tard pour les autres acteurs ? Continuer d'accroître l'offre produits pour ne pas être déceptive sur la promesse d'un grand choix qu'attendent les clients.

Histoire de la DA | LMDA - Le Monde De La Distribution Automatique Ce n’est qu’après la seconde Guerre Mondiale que la Distribution Automatique a commencé à s’intégrer à notre économie sous la forme moderne que nous lui connaissons aujourd’hui. Aux États-Unis, c’est dans les années trente que l’aventure de la D.A. atteint le stade de la production industrielle avec Coca-Cola et les premiers distributeurs de bouteilles fabriqués par les frères Elmer F. et John T. Pierson Senior. Mais l’aventure commence réellement en 215 avant Jésus-Christ avec un distributeur d’ «eau consacrée» fonctionnant à l’aide d’une pièce de cinq drachmes et destiné aux temples égyptiens. Pendant dix-huit siècles, aucune référence attestant de l’existence d’automates de vente n’a été trouvée. C’est en Angleterre, en 1887, que la première société de gestion de distributeurs automatiques de confiserie, la «Sweet Meat Automatic Delivery by», apparut, et le métro new-yorkais en fut équipé dès 1888. Le premier restaurant automatique fut installé en Allemagne en 1895.

Les grandes surfaces misent sur le catalogue pour les produits blanc, brun, gris Pour la rentrée 2010, les grandes surfaces alimentaires (GSA) et les grandes surfaces spécialisées (GSS) ont investi 21 millions d'euros bruts dans les médias pour les produits blanc, brun et gris, soit un recul de 23% par rapport à 2009 (1) . Ces résultats ont été communiqués dans le PanoBBG®, étude sur l’activité média et hors média des grandes surfaces alimentaires (GSA), des grandes surfaces spécialisées (GSS), mais aussi des sites e-commerce. À travers cette étude réalisée par Le Site Marketing, spécialiste du marketing “come & buy”, l'étude s'intéresse à l'analyse quantitative et qualitative des investissements média et hors média pour les produits blanc, brun, gris (BBG) sur la période “Back to school” du 15 juillet au 12 septembre 2010. Parmi les résultats, Le Site Marketing révèle que le prospectus demeure l'outil-phare des rayons . Chaque enseigne, qu'elle soit de la GSA ou de la GSS, mène une stratégie particulière dans le choix du mix média/hors média . Méthodologie:

Breuninger shoe salon Trouver le bon merchandising en grandes... - Produits Biologiques Comment distinguer un consommateur de produits bio d'un consommateur de produits conventionnels ? La réponse n'est pas évidente. Si le profil du premier était facilement identifié au début de l'ère bio, il ressemble de plus en plus à monsieur tout le monde aujourd'hui. Les acteurs développent de nouvelles recommandations d'implantation, mais il n'existe pas vraiment de règle type, plutôt deux écoles. La première, généralement celle adoptée par les marques spécialisées, préconise une implantation dans le rayon bio. Si la majorité des marques bio préfèrent ce raisonnement, certaines, telle Hipp, optent pour la l'implantation au coeur des rayons conventionnels. « Nos consommatrices raisonnent par unités de besoin. La plupart des marques conventionnelles se diversifiant avec quelques références bio partagent cet avis. « Nous préconisons le rayon conventionnel, car nous voulons attirer au bio des clients qui n'iraient pas au rayon diététique. Les distributeurs partagés Les enjeux Les reponses

Louis Vuitton La grande distribution se lance à la reconquête du consommateur Les grandes surfaces ne séduisent plus. Pour répondre aux attentes de leurs clients, elles se réinventent dans le fond et dans la forme. Tout sous un même toit et au prix le plus bas. Le 15 juin 1963, lorsque le premier hypermarché – un Carrefour – ouvre ses portes à Sainte-­Geneviève-des-Bois, en région parisienne, c’est la cohue. Cinq mille personnes se précipitent pour découvrir les 2 600 mètres carrés de produits frais, d’épicerie, de textiles et d’électroménager. Abonnez vous à l'édition digitale Louis Vuitton Comment le "drive" va révolutionner nos hypermarchés Le principe : on achète en ligne, puis on va chercher sa commande. A peine besoin de descendre de voiture. Et ça change tout ! Christophe Bacot n’est pas peu fier de son coup. Cet heureux propriétaire du Leclerc de Verdun vient d’ouvrir un deuxième point de vente dans le coin. Abonnez vous à l'édition digitale

Store Window Les promotions devront coûter moins et Des mécaniques complexes, la pression d'internet et des technologies de l'information, des critiques sensées de consommateurs perdus devant tant de complexité, des habitudes difficiles à changer, des attentes nouvelles. C'est peu de dire que l'énorme chantier de la promotion reste à ouvrir pour en connaître vraiment les points forts, mais surtout se débarrasser de quantités de points faibles. Nul ne sait d'ailleurs précisément combien ces promotions coûtent, et pas plus combien elles rapportent. Sinon d'insatisfactions dénoncées par la plupart des clients fréquentant les magasins. C'est ce qui ressort de deux études d'Ipsos, une « quali », auprès d'un panel de consommateurs lors d'entretiens individuels à domicile, suivis de visites en magasins pendant trois heures, et l'autre « quanti », avec 1 000 interviews en ligne sur une cible représentative fréquentant les hypermarchés et les supermarchés. Un scepticisme croissant quant à la réalité de leur bénéfice

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