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Slow Web : On se calme et on boit frais…

Slow Web : On se calme et on boit frais…
Crédit: Flickr/CC/photosteve101 Et si, en 2013, on se sortait la tête du guidon? C’est la tendance prônée par un mouvement américain intitulé “Slow Web”. Son ambition? Jusqu’à présent, il n’y avait que deux possibilités: 1. je suis déconnecté, et donc en dehors du réseau.2. je suis connecté et mon attention est mobilisée par le flux d’informations en temps réel. La troisième voie serait donc: 3. je ne suis pas connecté tout le temps mais suis quand même au courant de ce qu’il se passe sur le réseau. En ligne, quelques initiatives éditoriales surfent sur cette troisième option et montrent que le “live” n’est pas la seule Bible du journalisme numérique. Calmez le jeu En France, Slate (sur lequel ce blog est hébergé) veut réfléchir avant de faire de l’actualité chaude mais à J+1 ou plus. Pourtant, la lecture en différé est une réalité pour les consommateurs d’informations, qui mettent de côté des contenus pour les lire plus tard grâce à des outils comme Pocket. Mosaïque de temporalités

Clap de fin pour Nord Eclair Lu, vu, entendu Par DailyNord | 10H10 | 16 janvier 2013 Nord Eclair tel qu’on pouvait le connaître, c’est donc terminé. On ne va pas vous refaire toute l’histoire, juste vous inviter à relire ces papiers qui peuvent vous éclairer : Fusion des rédactions de Nord Eclair/La Voix du Nord : la fin annoncée d’une époque Médias dans le Nord – Pas-de-Calais : ce qui a changé depuis vingt ans Quatre questions autour du groupe Rossel A partir de ce jour, les rédactions de Nord Eclair et de La Voix du Nord sont officiellement fusionnées. A voir également sur le sujet : Le + de France 3 Nord – Pas-de-Calais qui revient sur ce dossier. Un peu plus de DailyNord ? Ce contenu est © DailyNord. Réagir à cet article La rédaction de DailyNord modère tous les commentaires, ce qui explique qu'ils n'apparaissent pas immédiatement (le délai peut être de quelques heures).

Monnaie basque l'eusko bientôt en circulation Les premiers billets seront échangés en avant-première ce samedi lors de l'anniversaire de Laborantza Ganbara, alors que la mise en circulation générale aura lieu le jeudi 31 janvier. L'eusko, la monnaie locale, écologique et solidaire du Pays Basque, s'apprête à entrer en circulation. Les premiers billets seront échangés en avant-première ce samedi lors de l'anniversaire de Laborantza Ganbara, alors que la mise en circulation générale aura lieu le jeudi 31 janvier. La monnaie existe en coupures de 1, 2, 5, 10 et 20 euskos. Les cinq coupures ont été présentées ce mardi lors d'une conférence de presse aux Halles de Bayonne. "Conçues à partir de photographies de Bob Edme et d'une maquette de Ramuntxo Partarrieu, les billets montrent sur une face des sites emblématiques et sur l'autre des activités économiques et culturelles du Pays Basque nord," indique Dante Edme-Sanjurjo, co-président de l'association Euskal Moneta. Afficher ANNUAIRE RESEAU EUSKO sur une carte plus grande

Les djihadistes des cracks de l’Internet Les yeux sont grands ouverts, tournés vers le ciel. Le regard est fixe et ne dit déjà plus rien. La peau du visage de ce jeune homme à la chevelure rase et brune, elle, a commencé à sécher. Sa teinte vire déjà furieusement et prend des allures blanchâtres qui ne laissent guère de place au doute. Les ecchymoses qui parsèment son front, la base de son nez, sa pommette gauche et sa lèvre supérieure n’en ressortent que d’autant plus. Attentats suicides en pagaille Depuis 2007, année de création de leur organisation, djihadistes shebabs n’ont cessé de faire régner la terreur dans une Somalie déjà en proie à un chaos indicible ; l’un des états les plus instables de la planète en fait. Allégeance par voie numérique De cette chronologie entachée de milliers de cadavres se détache pourtant un événement majeur qui nous ramène directement aux photos du cadavre diffusées en ligne cette semaine par les Shebabs. Recrutement par Internet #Croisades Loïc H.

Mario Kart en vrai Les geeks repoussent encore les limites. Ce n’est pas la première fois que Mario Kart est adapté dans la vie réelle mais cette fois les concepteurs du circuit ont équipé les objets de puces RFID. Cette amélioration permet de réellement interagir avec les objets en bloquant les roues des karts au contact d’une carapace de tortue, d’une banane ou même de Chomp ! Les coureurs-personnages attrapent des boîtes suspendues dans les airs qui contiennent les différents objets disponibles dans le circuit. Découvrez-en plus dans la vidéo qui suit, la première moitié explique le concept, la course n’arrive qu’à la seconde moitié, à environ 2min20 : Vous avez aimé cet article ? Inactif Partager vos lectures sur Facebook exemple : Benjamin a lu : Mario Kart en vrai grâce à des puces RFID sur Begeek.fr Réagir à cet article Vous souhaitez réagir ? Je n'ai pas de comptecréer un compte en 15 secondesCréer un compte Connexion

The Walking Dead en Dataviz With the third season of AMC’s Walking Dead coming to an end, the Post’s Andrew Barr and Richard Johnson look at a few of the key statistics of the three seasons’ worth of undead mayhem. They find noteworthy – the gradual increase in the body count, the increasingly creative means of Zombie dispatch, and the fact that every character seems to have developed a clear enjoyment for putting the ambulatory cadavers down for good. BNF et privatisation du domaine public L’association COMMUNIA, l’Open Knowledge Foundation France, La Quadrature du Net, Framasoft, SavoirsCom1, Regards Citoyens et Veni Vidi Libri publient ce jour un communiqué dénonçant la signature par la BNF, le Commissariat aux investissements d’avenir et le ministère de la Culture et de la communication d’accords qui privatisent l’accès numérique à une part importante de notre patrimoine culturel. Paris, le 18 janvier 2013 — Le ministère de la Culture a annoncé hier la conclusion de deux accords, signés entre la Bibliothèque nationale de France et des firmes privées, pour la numérisation de corpus de documents appartenant pour tout (livres anciens) ou partie (78 et 33 tours) au domaine public. Les fonds concernés sont considérables : 70 000 livres anciens français datant de 1470 à 1700, ainsi que plus de 200 000 enregistrements sonores patrimoniaux. Toute tentative infondée ou trompeuse de s’approprier des œuvres du domaine public doit être punie légalement.

L'AFP coupable de contrefaçon On croyait l'affaire déjà jugée et oubliée, mais elle resurgit. Lundi, une juge d'un tribunal de New York a décidé de donner raison au photographe Daniel Morel, qui avait porté plainte contre l'AFP pour avoir vendu des photos prises lors du tremblement de terre à Haïti en 2010, alors qu'il avait diffusées sur Twitter à travers le service Twitpic. A l'époque, les photos avaient été copiées par un autre internaute, Lisandro Suero, qui avait cru bon de s'approprier le travail de Daniel Morel et de proposer aux agences de presse d'acheter des licences. C'est donc ce qu'avait fait l'AFP, qui avait ensuite envoyé les clichés à son partenaire Getty Images, lequel est le distributeur exclusif des photos de l'Agence France Presse. De façon totalement incompréhensible, plutôt que de reconnaître sa bévue, l'AFP avait décidé en 2010 de poursuivre Daniel Morel en justice (sic), pour qu'elle établisse sa bonne foi et son droit à exploiter les images.

L’UMP bientôt à la rue ? Si elle veut garder son QG, désormais contrôlé par les banques, l’UMP a quatre ans pour rembourser une dette de 55 millions d’euros. Mission impossible ? L’affiche de campagne de Nicolas Sarkozy, au siège de l’UMP, à Paris, le 25 novembre 2012 (REVELLI-BEAUMONT/SIPA) Pour se renflouer, l’UMP ne peut même plus compter sur la vente de son siège, dans le XVe arrondissement de Paris : elle en a déjà cédé le contrôle à ses banques, selon des documents examinés par Rue89. Pour l’instant, le parti préfère célébrer sa réconciliation de façade. La réconciliation ne résoudra pas la crise financière. Un immeuble qui fait exploser les dettes Les économies prévues – comme la réduction des effectifs – ne suffiront pas. Cette immeuble fait la fierté de l’UMP, qui s’y est installée en décembre 2011. Coût du déménagement : 40 millions d’euros – 20 pour l’achat du garage, 20 pour les travaux –, selon les chiffres de Jean-François Copé à l’époque. Le parti a été trop confiant.

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