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Citer ses sources

Citer ses sources

Interview : un prof se fait passer pour un élève sur Facebook L’histoire a été relayée par quelques médias généralistes, mais elle mérite qu’on s’y attarde. Un enseignant a décidé de s’immerger dans le quotidien de ses élèves en se faisant passer pour l’un d’entre-eux sur Facebook. Une expérience étonnante qui montre que chez les plus jeunes, le concept d’identité numérique a encore quelques progrès à faire (chez les moins jeunes aussi d’ailleurs). Si certaines réponses peuvent surprendre, n’oublions pas qu’il n’est pas un professionnel du web, mais un enseignant ! Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter ? J’ai 51 ans, je suis professeur d’économie gestion dans un lycée professionnel. Pour résumer, vous vous êtes fait passer pour un lycéen sur Facebook. Au départ, je voulais m’inscrire sur Facebook simplement pour voir ce qui s’y passait par curiosité. Quelle était votre identité fictive auprès de vos élèves ? Bob Issand en référence à Bobby Sands. N’avez-vous pas l’impression de les avoir trompé en agissant de la sorte.

Traces laissées sur le Web et Evaluer l’info en ligne : 2 séquences pédagogiques pour réfléchir et agir Gaëlle Sogliuzzo, professeur-documentaliste en lycée à la Cité Scolaire Beaumont (Redon, 35) poursuit son partage de séquences et expérimentations pédagogiques sur la culture de l’information et des médias élaborées pour des élèves au sein de son blog Culture de l’info et des médias en lycée. Cette enseignante propose une approche collaborative de l’éducation au numérique avec plusieurs axes de travail. Pour chaque séquence, un ensemble de documents pédagogiques en libre accès est fourni : document de préparation de séance, fiches et documents élèves, exercices et corrigés et documents de synthèse. Des dossiers complets (avec infographies, explicitations, quizz et contenus informatif) pour développer des activités dans le cadre scolaire, en formation ou en espace public numérique (EPN). Identité / présence numérique : quelles traces laissons-nous sur le web ? Séquence complète sur la notion de trace numérique, permettant de réfléchir à celles d’identité / présence numérique.

Evaluer la validité des informations tirées du web Auteurs: Commission du français et de l'Informatique de la FESeC Ces pages n’ont pas la prétention d’être LA solution définitive au problème du choix de l’information issue du web ; tout au plus se veulent-elles être un vade-mecum qui peut aider les élèves de l’enseignement secondaire à affiner l’acquisition du sens critique en l'exerçant sur des sources dont le support , encore mal connu, pose pas mal de problèmes. L'absence de contrainte éditoriale sur le réseau Internet, et la possibilité pour chacun d'y déposer une information dont il est seul garant, peuvent présenter certains risques quant à la valeur de vérité de l'information repérée. Il importe donc de bien vérifier la fiabilité et la validité d'une information, avant de la citer ou de la diffuser. Evaluation L'information fait partie d'un site dont la qualité devra être évaluée. Une sitographie exhaustive reprend l'ensemble des références utilisées pour élaborer ce site. F. fernand.berten@planetinternet.be

Unité régionale de formation et de promotion pour l'information scientifique et technique (URFIST) Vous êtes personnel ou usager de l’une des universités de Bretagne et des Pays de la Loire… Vous souhaitez être mieux formé à la recherche et aux usages de l’information numérique ? Avoir une meilleure connaissance des ressources électroniques ? Vous voulez en savoir plus sur les outils, applications, pratiques d’Internet, sur les modalités actuelles de la diffusion de l’information scientifique ? Vous pouvez bénéficier des formations de l’URFIST L’URFIST de Rennes est un service commun de l’Université Rennes 2, elle dessert les universités des régions Bretagne et Pays de la Loire et a pour mission de développer dans l'enseignement supérieur l'usage et la maîtrise de l'information scientifique ainsi que des ressources numériques. Pour en savoir plus, consultez le site de l’URFIST :

L'art de faire une "petite" recherche : le document de collecte Une petite anecdote du jour qui en dit long sur l’intérêt de présenter la démarche aux collègues de discipline. Plusieurs élèves de 5e viennent en autonomie faire une recherche en éducation musicale (cette collègue n'était pas encore nommée au collège lors de la pré-rentrée quand j'ai présenté la démarche). Je retranscris les grandes lignes du dialogue qui s'est alors engagé avec un élève : - Bonjour, je viens faire une recherche sur le chant grégorien - Que vous a-t-on demandé exactement ? (L'élève sort son carnet de bord sur lequel le travail est noté) Je lis : Faire une « petite » recherche sur le chant grégorien (avec les guillemets) - L'élève s'empresse de me dire : elle a dit qu'il fallait faire du copier-coller parce que on va en reparler en cours - Ah OK !.... Cette précision de vocabulaire (passer d'une « petite » recherche à « faire un document de collecte ») a permis aux élèves de mieux cerner le travail attendu.

De la page au site Quitter la page web... Comment faire en sorte que les élèves quittent momentanément la page et considèrent l’intention de la publication ? Il nous faut conduire les élèves à explorer le paratexte [1] [2] car il est indispensable à la compréhension et à la validation des informations d’une page web.La lecture hypertextuelle peut ici constituer un obstacle dans la mesure ou elle ne favorise pas la clôture du texte (où est le texte ? où est le titre ? Les premières tentatives Pour sensibiliser les élèves nous les avons d’abord confrontés à des sites fantaisistes ou parodiques (Dhmo.org, Désencylopédie, Scientists of America, etc.). De le cadre d’un scénario, quelles contraintes imaginer pour qu’une enquête autour de la source devienne indispensable ? Partir de la notion d’invalidité (contrairement à ce que nous avions l’habitude de faire) s’est avéré une contrainte suffisante pour forcer l’examen que nous attendions. Une progression Déroulement La contrainte par la preuve Une équipe dynamique 1.

De l’identité à la présence numérique Quelles notions enseigner quand on enseigne l’identité numérique ? Comment faire pour, une fois le discours légitime des dangers d’Internet énoncé, aller au-delà et apprendre aux élèves à évoluer dans cet espace médiatique en exerçant une présence numérique assumée ? Comment conduire les élèves à l’acquisition d’une véritable culture informationnelle dont les objectifs sont de réussir à Réaliser, Réfléchir et Résister dans le contexte du numérique ? La lecture des travaux de Louise Merzeau[1] a été pour moi éclairante. Toutes nos activités sur le web laissent des traces, on parle aussi de traçabilité de l’individu qui est devenu une collection de traces. Par ailleurs, ces traces sont combinables par les grandes firmes : les données stockées, dupliquées, croisées par elles, forment alors des métadonnées qui permettent de profiler l’individu, on parle de redocumentarisation de l’individu. Pour exemple, avec la géolocalisation : Autre exemple, celui d’une recherche sur Google :

Pour remplacer les devoirs ? Dessin de Jack Kock pour les Cahiers Pédagogiques Supprimer les devoirs est une idée généreuse déjà assez ancienne, mais qui peine à s’imposer malgré les nombreuses restrictions ministérielles, et malgré le fait qu’il est connu et montré que les devoirs ne facilitent pas les apprentissages comme ils le devraient, et augmentent les inégalités scolaires. Pour beaucoup de parents, et d’enseignants, les devoirs restent indispensables car ils constituent le lien privilégié entre l’école et les familles. Aussi, il serait vain de supprimer les devoirs sans penser ce lien nécessaire. A ce titre, le cahier des apprentissages peut présenter de nombreux avantages comme outil pour tisser un nouveau lien entre les temps scolaires et extra-scolaires. L’une des attentes les plus fortes des familles est en effet de savoir ce qui se passe en classe, et qui est bien souvent une boîte noire pour elles. Le cahier des apprentissages ne se confond avec le cahier d’un enseignement. Sur le temps scolaire.

Course: Recherche documentaire L'Université Sorbonne Paris Cité met à disposition de tous 20 modules d'autoformation à la recherche documentaire. Réalisées par la Direction des bibliothèques universitaires de la Sorbonne Nouvelle et huit autres établissements documentaires d'USPC (les SCD de Paris-Descartes, Paris-Diderot et Paris 13, la bibliothèque de Science-Po, la Bulac, Sainte-Barbe, Sainte-Geneviève et la BIU Santé), ces séquences s'adressent aux étudiants de tous niveaux et de toutes disciplines, ainsi qu'aux enseignants-chercheurs et personnels. 67 séquences de quelques minutes (entre 2 et 5 minutes) permettent à chacun de découvrir de nouveaux outils, de nouvelles ressources pour enrichir ses recherches universitaires, de manière ludique et intuitive. Les thèmes abordés sont aussi variés que la gestion bibliographique, les archives ouvertes, les bases de données ou encore l'identité numérique. En savoir plus sur le projet : lire notre article sur le site d'USPC : cliquer ici ! Contact

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