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Presque la moitié de la nourriture mondiale serait gaspillée

Presque la moitié de la nourriture mondiale serait gaspillée
Alors que 860 millions de personnes sont victimes de malnutrition, et que la fin du siècle comptera 2,5 milliards de bouches supplémentaires à nourrir, la moitié des denrées alimentaires produites dans le monde est aujourd’hui gaspillée. C’est la triste conclusion du rapport Global Food ; Waste Not, Want Not publié jeudi 10 janvier par l’Institution of Mechanical Engineers (IME), l’organisation britannique des ingénieurs en génie mécanique. Selon cette étude, entre 30 % et 50 % des 4 milliards de tonnes d’aliments produites chaque année sur la planète (soit entre 1,2 et 2 milliards de tonnes) ne finissent jamais dans une assiette. En Europe et aux Etats-Unis en particulier, jusqu’à la moitié de la nourriture achetée est jetée par les consommateurs eux-mêmes. Dans les pays développés au contraire, une plus grande partie de la nourriture atteint les consommateurs en raison de bonnes infrastructures. Audrey Garric

“L’‘islamisation’ de la France est un mythe”, Raphaël Liogier de l’Observatoire du religieux Débat | Pour une majorité de Français les musulmans refuseraient de s’intégrer. “L’islamisation” redoutée ne repose pourtant sur aucune réalité selon Raphaël Liogier, de l’Observatoire du religieux. Peut-on encore parler de l’islam sans que les esprits s’échauffent ? Des couvertures d’hebdos aux brèves de comptoirs, l’islam devient la controverse nationale. Avec une ritournelle : la France serait en cours d’« islamisation ». Y a-t-il quelqu’un pour poser le débat dans des termes simples et clairs ? Quel est le point de départ de votre recherche ? Pour l’Europe, on estime qu’il y aurait entre 13 et 16 millions de musulmans. Quelles sont les grandes lignes de ce « mythe » de l’islamisation ? La communauté musulmane représente quel pourcentage des populations française et européenne ? Quid de la fécondité des femmes musulmanes ? Le nombre de conversions à l’islam est moins important que celui enregistré par les mouvements évangéliques. A qui profite cet amalgame ? Source : telerama

Révolte – Insurrection – Révolution – Coup d’Etat – Putsch | Alorthographe Quelles sont les différences entre une révolte, une insurrection, une révolution, un coup d’Etat et un putsch ? Ce sont des mots que l’on entend souvent mais dont les sens diffèrent quelque peu. Dans pratiquement tous les cas, il s’agit d’un soulèvement de population lié à un mécontentement. La révolte est un soulèvement contre l’ordre établi, une rébellion, un refus d’obéissance. L’insurrection (faite par ce que l’on appelle les » insurgés « ) est un soulèvement massif qui a pour but de renverser un pouvoir. La révolution , hors la signification liée à l’astronomie ou à la physique (ex. révolution des corps célestes autour d’une orbite), désigne quant à elle un changement violent dans la structure même d’un Etat, suite à une révolte contre les autorités ( exemple : la Révolution française de 1789), mais également un changement profond et brusque dans l’organisation économique, sociale ou culturelle d’une société donnée ( exemple : la Révolution industrielle du XIXème siècle).

Un plan sioniste contre le monde arabe Autres articles Dans notre article Printemps arabes : qui tire les ficelles ?, nous avons cité l’influence de différents protagonistes comme Bernard Lewis, Richard Perle ou encore Ralph Peters prônant la dislocation des pays arabes en une multitude d’entités ethniques et religieuses. Nous évoquions le texte d’Oded Yinon, extrait de la revue Confluences méditerranée (n°61, printemps 2007) sous le titre « Une stratégie persévérante de dislocation du monde arabe », acquis lui aussi à un émiettement généralisé de cet ensemble géographique. Livret debut et 4e de couv.pdf (190.9 Ko)

Société Secrete - Bush et Kerry… - Discour de Kennedy… - Affaire allègrele… - illuminati Sociétés… - Les sociétés… - Introduction - 01 Il y a tant et… - 02 Les Sages de Sion La franc-maçonnerie est une des plus vieilles organisations existant encore de nos jours. Des rouleaux de papyrus, trouvés en 1888 lors de fouilles dans le désert de Libye, décrivent des rencontres secrètes de corporations semblables 2.000 av. J.-C. Nous trouvons d'autres renseignements dans le Livre des morts des Egyptiens et grâce au dieu Tôth qui fut jadis leur grand maître. Le symbole le plus important dans beaucoup d'organisations, y compris dans la franc-maçonnerie, est le tablier. Avant 1307, les TEMPLIERS ainsi que les CHEVALIERS DE SAINT-JEAN et en partie aussi L'ORDRE TEUTONIQUE (ordres charitables, à l'origine, pour les deux derniers) étaient les organisations dirigeantes qui menaient les croisades contre les musulmans. Ce n'est pas un hasard si le flou règne sur les TEMPLIERS et sur les dessous historiques et occultes de leur histoire ; car ce manque de clarté a été occasionné intentionnellement, notamment dans ces 150 dernières années.

Traduction de la Révisionniste de 15 ans et qui... - Egalité et Réconciliation Photos du journal L’antifascisme radical de l’extrême-gauche de la bourgeoisie Nous dénonçons ici la vacuité des principaux arguments qui sont à la base de l’ »antifascisme bourgeois » version gauchiste et prétendent démontrer que l’opposition fascisme-antifascisme peut, ne fût-ce que momentanément, traduire l’opposition : bourgeoisie-prolétariat. L’ »antifascisme gauchiste » se veut une lutte contre les forces « fascistes » de la bourgeoisie, prises comme ennemi spécifique, distinct, du moins momentanément, des autres forces de la bourgeoisie. Cette tactique a comme fondement principal l’alliance explicite ou implicite du prolétariat avec les forces « antifascistes », « démocratiques » de la bourgeoisie. 1) du fait qu’il ne considère pas la lutte contre le fascisme et pour la démocratie comme le but final, mais uniquement comme une étape nécessaire, un moyen provisoire, pour atteindre le but révolutionnaire ; 2) du fait qu’il ne se cantonne pas aux méthodes légalistes, électoralistes, chères aux démocrates bourgeois. Mais la bourgeoisie est loin d’être folle.

L’idiocratie, fléau des temps modernes… Les nombreux siècles de monarchies, puis les gouvernements représentatifs actuels ont développé chez un bon nombre de nos contemporains une véritable « idiocratie », du grec idiốtês (individuel): « homme qui ne participe pas à la vie politique de sa république ». « Pourquoi observe-t-on une chute constante du taux de participations aux élections de toutes natures ? » « Pourquoi 75% des Français estiment n’avoir confiance ni dans la droite, ni dans la gauche pour régler leurs problèmes ? » Pour commencer, les bilans de nos hommes politiques successivement au pouvoir sont loin d’être positifs : hausse du chômage, hausse des impôts, crise de la dette publique, austérité, guerres, inégalités, etc… Ces piètres performances amènent le « citoyen » à un sentiment fataliste, pensant que son vote ne changera rien, et que peut-être, rien ne changera jamais. Ensuite, et ceci est primordial, le « citoyen » moderne n’a presque plus de leviers politiques à actionner.

Drogue, pétrole et guerre | Afghanistan J’ai prononcé le discours suivant à une conférence anti-OTAN, qui fut organisée à Moscou l’année dernière. J’étais le seul intervenant états-unien lors de cet événement. On m’y avait convié suite à la parution en russe de mon livre Drugs, Oil, and War – un ouvrage jamais traduit en français, contrairement à La Route vers le nouveau désordre mondial et à mon dernier livre, La Machine de guerre américaine –. [ 1 ] En tant qu’ancien diplomate préoccupé par la paix, j’étais heureux d’y participer. En réponse au problème des crises interconnectées que sont la production de drogue afghane et le jihadisme salafiste narco-financé, mon discours exhortait les Russes à coopérer dans un cadre multilatéral avec les États-uniens partageant cette volonté —malgré les activités agressives de la CIA, de l’OTAN et du SOCOM (pour US Special Operations Command ) en Asie centrale—. Mis à part le discours suivant, je suis resté silencieux durant la majeure partie de cette conférence.

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