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L'affacturage

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Dépréciation des immobilisations La dépréciation d’une immobilisation corporelle ou incorporelle est la constatation que la Valeur Actuelle (VA) de l’immobilisation a perdu de la valeur, c’est à dire qu’elle est devenu inférieure à la Valeur Nette Comptable (VNC). Les dépréciations des immobilisations concernent les biens amortissables ou non. A quoi sert la dépréciation des immobilisations ? En cours de vie une immobilisation peut perdre plus de valeur que ceux que l’entreprise à prévu. Cela peut être dû à des causes externes ou internes à la société. Causes externes : baisse plus que la normale de la valeur du marché ;changements importants dans l’environnement technique, économique ou juridique, ayant un effet négatif sur l’entreprise ;augmentation des taux d’intérêt. Causes internes : obsolescence ou dégradation physique non prévue par le plan d’amortissement .performances économiques inférieures aux prévisions. Pour cela l’entreprise doit constaté une dépréciation Le test de dépréciation Il y a deux possibilités : Exemple

Secteur public : la facture électronique obligatoire dès 2017 Dans le cadre des marchés publics, l'usage de la facturation électronique connaît une rapide montée en puissance depuis 2012. Elle deviendra progressivement obligatoire d'ici le 1er janvier 2020. L’obligation faite à l’Etat d’accepter les factures électroniques est élargie aux collectivités territoriales et à tous les établissements publics à compter du 1er janvier 2017. Une solution technique transitoire mutualisée et gratuite est proposée par l'Etat. D'ici 2020, toutes les factures entre l’Etat et ses fournisseurs seront dématérialisées. Le calendrier d’obligation de facturation électronique L’ordonnance du 26 juin 2014 définit le calendrier d’obligation de facturation électronique pour les émetteurs de factures à destination de l’Etat, des collectivités territoriales et de leurs établissements publics respectifs : Gains de la facturation électronique Une solution technique transitoire mutualisée et gratuite Cette solution s'intitule Chorus Portail Pro 2017.

Quels sont les principes comptables? Les principes comptables : à quoi ça sert ? Les principes comptables sont des règles définies par le Code de commerce. Elles sont obligatoires parce qu’elles permettent de rendre homogène la comptabilité. C’est-à-dire que le format des bilans et comptes annuels est normalement le même pour toutes les entreprises. Ils permettent de créer un standard pour la communication financière des entreprises. Ce sont les mêmes principes qui sont appliqués chez les artisans que dans les multinationales. Les principes comptables sont assez stables, c’est-à-dire qu’ils sont rarement modifiés. Quelles sont les principes comptables ? 1) Le principe de continuité d’exploitation Le principe de continuité d'exploitation est un principe qui permet d'intégrer, lors de l'établissement du bilan, le fait que l'entreprise va poursuivre son exploitation au-delà de la date de clôture de l'exercice. Par exemple, c'est ce principe qui permet d'amortir un bien sur plusieurs années. 3) Le principe des coûts historiques

Les obligations comptables de droit commun Les personnes morales et physiques commerçantes doivent établir des comptes annuels, procéder à l'enregistrement chronologique des mouvements affectant le patrimoine de l'entreprise, vérifier l'existence et la valeur des éléments d'actifs et passifs (inventaire) et tenir les documents correspondant (un livre journal, un grand‐livre et un livre d'inventaire). Toute la comptabilité est basée sur l'existence de pièces justificatives qui peuvent être internes à l'entreprise (fiches de paies) ou externes (factures). Ces pièces justificatives seront enregistrées dans un certain nombre de documents obligatoires, avant d'être centralisés pour donner naissance aux comptes annuels et à l'annexe. Ces comptes sociaux feront ensuite l'objet d'une publication. Les documents comptables doivent être conservés dix ans (123-22 alinéa 2 du code de commerce). Les documents qui permettent l'enregistrement chronologique : les livres obligatoires Le livre journal unique, les journaux général et auxiliaires

Le rapprochement bancaire Le rapprochement bancaire est une technique qui consiste à vérifier que l'enregistrement des opérations portées au compte 512xxx est bien exhaustif et ne présente aucune anomalie. Ce rapprochement est une comparaison entre la comptabilité de la banque qui tient le compte (et envoie un relevé de compte, extrait de sa propre comptabilité) et la comptabilité de l'entreprise (le compte 512xxx). Toutes les opérations comptabilisées dans ce compte 512xxx et celles comptabilisées par la banque seront ainsi pointées une par une. Cependant, en pratique, on observe des différences dans la quasi-totalité des cas. Quel est l'intérêt du rapprochement bancaire ? Renforcer la force probante de la comptabilité et permettre de repérer les erreurs sont les principaux intérêts du rapprochement bancaire. La force probante Le rapprochement bancaire est l'une des composantes de la force probante de la comptabilité. Repérer les erreurs et tenir compte des différences. Comment effectuer son rapprochement bancaire ?

Affacturage, Solutions d'affacturage avec Direct-affacturage.fr Le site Direct-affacturage.fr est publié par le courtier Chedal-Anglay & Associés, acteur majeur et indépendant en affacturage et assurance-crédit auprès des TPE / PME et multinationales depuis 1956. Éditeur Chedal-Anglay et Associés 20 avenue Victor-Hugo 75116 Paris 16 France Société à responsabilité limitée au capital de 1 278 832 euros RCS Paris B 408 983 641 N° ORIAS : 07 026 595 RC Pro : COVEA RISKS N° 119 116 423 Responsable de la publication Rémi Chedal-Anglay, contact@direct-affacturage.fr Rectification des informations nominatives collectées Conformément aux dispositions de l'article 34 de la loi n° 48-87 du 6 janvier 1978, l'utilisateur dispose d'un droit de modification des données nominatives collectées le concernant. soit un courrier électronique à l'adresse contact@direct-affacturage.fr soit un courrier postal à Chedal-Anglay et Associés, 20 avenue Victor Hugo, 75116 Paris, France, Droits d'auteur Marques

Bénéfices industriels et commerciaux (BIC) : régimes fiscaux et déclarations Dans certains cas, un coefficient multiplicateur de 1,20 doit être appliqué au montant des bénéfices industriels et commerciaux. Cela vise le professionnel soumis à un régime réel d'imposition qui se trouve dans l'un de ces 2 cas : Il n'est pas adhérent d'une association agréée (AA) : Une association agréée dispose d'un numéro d'agrément qui est différent de ses numéros d'immatriculation. L'agrément lui permet notamment d'employer du personnel sous certaines conditions, et de bénéficier de subventions publiques ou d'augmenter sa capacité juridique., directement ou par l'intermédiaire d'une société ou d'un groupement soumis au régime fiscal des sociétés de personnesIl ne fait pas appel aux services d'un expert-comptable ou d'une société membre de l'ordre des experts-comptables, ayant signé une convention avec l'administration. Seul le résultat de l'exploitation soumis au barème progressif de l'impôt est majoré.

Gérer ses comptes de tiers Certains comptes tels que les comptes clients et fournisseurs sont subdivisés en comptes auxiliaires. En général, il y a autant de comptes auxiliaires que de fournisseurs ou de clients. Ces comptes seront révisés chaque année. Les comptes fournisseurs et clients font l'objet d'un lettrage régulier afin de faciliter la justification de leur solde. A la fin de l'exercice, les opérations non lettrées seront vérifiées dans leur principe et leur montant. La présence d'un règlement alors qu'il manque la facture (le compte sera débiteur et non créditeur), le fait que toutes les factures et tous les règlements se retrouvent dans les mêmes comptes pourront rallonger d'autant les travaux du réviseur. Voici quelques éléments qui peuvent faire perdre du temps et quelques pistes de réflexion pour ceux qui sont peut être amenés à gérer des comptes de tiers en comptabilité. Quelques erreurs de débutant à éviter dans les comptes de tiers Quelques solutions pour faciliter le lettrage et repérer les erreurs

Les provisions comptables : définition, comptabilisation et analyse Il s'agit d'une charge non dépensée. La comptabilité constate une perte probable (appelée aussi dépréciation). Exemple : prévision d'importantes réparations à venir, d'un litige, d'une perte de valeur d'un fond de commerce à cause de l'installation d'un concurrent à proximité... Même si les mécanismes sont semblables, il en existe 3 types : les provisions pour dépréciation (pour anticiper une baisse de valeur à venir du patrimoine), pour risques et charges (en prévision d'une charge qui risquer fort de peser sur les comptes de l'entreprise ) et enfin les provisions règlementées (possédant une finalité fiscale). De point de vue comptable, ces dépréciations sont enregistrées au bilan. Dans le cadre d'une analyse financière, on les assimile à des dettes d'exploitation lorsque leur échéance d'utilisation est inférieure un an. Ces postes font l'objet de nombreux contentieux entre les services fiscaux et les sociétés. Sélection de documents publiés sur internet Articles Compta facile

Vers une ubérisation de l’expertise comptable ? L’uberisation, c’est un « mot valise » qui décrit un phénomène de fond, qui émerge sous les efforts conjugués de trois leviers : - l’émergence du numérique (la révolution digitale), - la forte augmentation du volume de travailleurs indépendants (la révolution des freelances), - l’évolution des habitudes de consommations des Français (la révolution de consommation). Cette triple révolution, puissante et inexorable, génère une révolution de nos modèles économiques, vulgairement appelée uberisation, ou disruption. L’économie collaborative (ou économie du partage) n’est finalement qu’un des aspects de cette révolution, car elle ne repose que sur deux des trois leviers, à savoir le premier (il faut une plateforme numérique pour industrialiser la collaboration) et le dernier (consommer en partageant, louer un actif plutôt que l’acquérir…) et elle est souvent réalisée dans un but non lucratif (BlaBlaCar par exemple, C2C dans tous les cas). L’expertise comptable est encore relativement protégée.

Comment comptabiliser les frais de formation Les frais de formation que rencontrent les entreprises font l’objet de traitements comptables particuliers. Ils peuvent être assimilés à des honoraires ou à des impôts et taxes. Compta-Facile leur consacre un article complet qui répond à la question : comment comptabiliser les frais de formation ? Principes de comptabilisation des frais de formation La question de la comptabilisation des frais de formation n’est pas tranchée officiellement et elle fait l’objet de différents traitements comptables selon les doctrines (une décision du Conseil d’Etat est attendue sur ce sujet). Du caractère libératoire de la dépense au regard des taxes de formation professionnelle continue ;De sa nature au regard des obligations légales de l’entreprise en matière de formation (sommes excédentaires versées à fonds perdus) ;De la contrepartie attendue par l’entreprise de la formation qu’elle paie (présence d’une contrepartie ou absence de celle-ci). Comptabiliser des frais de formation en impôts et taxes

Les charges et produits constatés d'avance L'entreprise qui tient sa comptabilité doit le faire exercice par exercice. Ce découpage permet non seulement de satisfaire aux obligations fiscales, mais également de mesurer la performance de l'entreprise. Des comparaisons exercice par exercice sont alors possibles. C'est le principe d'indépendance des exercices. Mais ce découpage oblige souvent à passer des écritures de régularisations, notamment lorsque les produits et les charges sont à cheval sur plus d'un exercice. Parmi ces écritures de régularisation, on trouve les charges et produits constatés d'avance. Définition des charges et produits constatés d'avance La définition des charges et produits constatés d'avance est donnée par le plan comptable général, aux article 211-8 et 944-48 du Plan comptable général. Les charges constatées d'avance sont des actifs qui correspondent à des achats de biens ou de services dont la fourniture ou la prestation interviendra ultérieurement. Sont des produits constatés d'avance :

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