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Quelques « Prezi » autour de la Sociocratie et introduction à l’Holacracy - Interface-Conscience

Quelques « Prezi » autour de la Sociocratie et introduction à l’Holacracy - Interface-Conscience
Pour bien commencer l’année, je vous propose une série de Prezi et une carte heuristque autour de la « Sociocratie » et du management des organisations. Prezi est un outil de présentations en ligne que j’utilise occasionnellement dans sa version en ligne gratuite, les cartes heuristiques ou mind-maps sont une manière d’organiser l’information, de la structurer afin de la rendre interactive et accessible rapidement. En préambule, je vous offre La définition de wikipédia: La sociocratie est un mode de prise de décision et de gouvernance qui permet à une organisation, quelle que soit sa taille — d’une famille à un pays —, de se comporter comme un organisme vivant, de s’auto-organiser. Son fondement moderne est issu des théories systémiques. L’objectif premier est de développer la co-responsabilisation des acteurs et de mettre le pouvoir de l’intelligence collective au service du succès de l’organisation. Pour démarrer en douceur, un premier Prezi en images, rapide et facile à comprendre:

Comment repolitiser le travail des éducateurs spécialisés ? À partir de son expérience concrète d’ancien éducateur spécialisé et de formateur au sein d’un Institut régional du travail social, l’auteur propose des pistes pour repolitiser le travail social. Maxime Chaffotte offre au lecteur un regard sur l’histoire du travail des éducateurs spécialisés et sur une expérience innovante de formation des travailleurs sociaux. Pour ce faire, je proposerai une réflexion en trois étapes. Dans un premier temps, je tenterai de qualifier le travail de l’éducateur spécialisé à travers une approche historique de la construction de ce métier. Nous verrons ainsi que le métier d’éducateur spécialisé et ses évolutions sont dès leurs origines intimement liés aux contextes politiques que traverse la société. L’engagement des éducateurs spécialisés selon les différentes périodes de l’histoire du travail social Le travail social est en soi un acte politique. 1/ Les éducateurs au temps des œuvres de bienfaisance 3/ Les éducateurs au temps de la contestation

L’économie sociale et solidaire : de l’utopie aux pratiques Dans ce livre, les sociologues Matthieu Hély et Pascale Moulévrier confrontent l’utopie, le discours et les croyances entourant l’économie sociale et solidaire (ESS) avec les pratiques quotidiennes de ce secteur. Les associations, mutuelles et coopératives qui constituent l’ESS, revendiquent être un espace de « liberté » dans le cadre du capitalisme, et même plus, une « alternative » pragmatique à celui-ci. Qu’ils soient bénévoles, salariés ou encore chercheurs-promoteurs de ce secteur, ils sont nombreux à ériger cette utopie comme postulat. Pourtant, pour les auteurs de ce livre, l’ESS est consubstantielle au capitalisme et est partie prenante du mode d’organisation sociale qu’il constitue. Par l’étude du monde du travail de ce secteur de 2 millions de salariés, mais aussi de ses travailleurs-bénévoles, les auteurs opposent un contrepoint désenchanté issue de l’étude sociologique des pratiques. Les mythes de l’Économie Sociale et Solidaire Le monde du travail associatif

En finir avec la fabrique des garçons Pour ce premier Top10 de l'été, on se demande si les difficultés scolaires des garçons au collège ne trouvent pas leur origine dans les messages paradoxaux qu'ils reçoivent pour la construction de leur identité masculine. Une fois par mois, retrouvez sur notre site les Inédits du CNRS, des analyses scientifiques originales publiées en partenariat avec Libération. Quelque chose ne tourne pas rond chez les garçons. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : au collège, ils représentent 80 % des élèves sanctionnés tous motifs confondus, 92 % des élèves sanctionnés pour des actes relevant d’atteinte aux biens et aux personnes, ou encore 86 % des élèves des dispositifs Relais qui ­accueillent les jeunes entrés dans un processus de rejet de l’institution scolaire. Tous ces garçons ont-ils des problèmes, des troubles du comportement et/ou de l’apprentissage ? L’injonction sociale à la virilité Cette fabrique des garçons se prolonge hors de l’école. Repenser l’éducation des garçons En librairie :

BALLAST Repenser le socialisme avec Gramsci « Ce qui advient, n'advient pas tant parce que quelques-uns veulent que cela advienne, que parce que la masse des hommes abdique sa volonté, laisse faire », écrivait en février 1917 le penseur Antonio Gramsci. On aurait tort, nous explique l'auteur du présent article, de négliger cette figure essentielle du marxisme de la première moitié du XXe siècle — aucun grand courant contemporain, pourtant, ne se revendique du co-fondateur du Parti communiste italien. Benito Mussolini aurait lancé : « Nous devons empêcher ce cerveau de fonctionner pendant vingt ans ». Alors que le Parti socialiste a enfin réussi, depuis la victoire de François Hollande en mai 2012, à reconquérir le pouvoir, il n’a paradoxalement jamais semblé recueillir aussi peu d’adhésion auprès du peuple français — à tel point que sa défaite aux élections présidentielles de 2017 semble presque acquise. Des Conseils au cachot « Il consigna l’essentiel de sa théorie dans ses Cahiers de Prison. » Benito Mussolini, à Rome 1.

Classe maternelle, Gennevilliers | Recherche pour la formation de l'Homme et le développement de ses pleins potentiels Illustration concrète d’une alternative éducative à l'école : le choix de la Pédagogie Freinet | Ne rien mettre ici. c'est gérer dans le fichier d'En-tête (header.php) [Menu Apparence > Editeur] Rien ne change : les ministres successifs de l’Education Nationale dédaignent tout ce que les mouvements pédagogiques alternatifs proposent. Pourtant l’éducation nouvelle n’est pas si nouvelle elle a une histoire, elle ne succède pas à la pédagogie traditionnelle, elle lui est contemporaine. Elle s’inspire d’une longue tradition de pédagogues depuis les humanistes de la Renaissance qui déjà estimaient que « l’enfant n’est pas un vase qu’on remplit mais un feu qu’on allume ». Cet immobilisme perpétue la pratique du cours magistral pour transmettre le savoir et l’évaluation des élèves avec les notes, ce système inégalitaire qui sert d’abord à trier les élèves plus qu’à les faire progresser La tradition de la notation, héritée du XIXème siècle, est particulièrement nocive, la notation des élèves est le facteur principal du découragement dans la classe. La note sous-estime les qualités personnelles de chacun La notation est une manière paresseuse d’évaluer le travail Comment faire ?

BALLAST Bernard Friot : « Nous n’avons besoin ni d’employeurs, ni d’actionnaires pour produire » Entretien inédit pour le site de Ballast Économiste et sociologue, Bernard Friot défend depuis de nombreuses années une alternative au capitalisme, qu’il a théorisée à partir de son sujet de prédilection : la sécurité sociale. Contrairement à la proposition du revenu de base qu’il qualifie de « roue de secours du capitalisme », la solution du salaire à vie s’inscrit autant dans une refonte complète de notre rapport à la propriété que dans une démarche de suppression de notre aliénation au marché de l’emploi, au profit de la valorisation du travail. Dans l’une de vos conférences, vous affirmez que la France n’est pas un État laïc. La France est un État partiellement laïc et c’est heureux : la laïcité, en séparant l’État des religions, est une condition de l’émancipation populaire, car les religions sont de puissants systèmes d’adhésion à la classe dirigeante. Les rituels, eux, inscrivent notre quotidien dans la pratique ou l’acceptation des croyances et des dogmes. ©‎ Manuel Vimenet

David Graeber, anthropologue : “Nous pourrions être déjà sortis du capitalisme sans nous en rendre compte” Figure de proue d'Occupy Wall Street, l'agitateur anarchiste David Graeber a dû s'exiler au Royaume-Uni. Dans son dernier essai, il s'en prend à la bureaucratie, ce fléau du... capitalisme. Cet entretien vous est proposé ici dans une version plus longue que celle déjà parue dans “Télérama” magazine. Anthropologue. Anarchiste. Nous vivons, dites-vous, dans une société extrêmement bureaucratique. Le mieux est de partir d'un exemple concret. Le capitalisme ne ferait pas mieux que le socialisme en matière de règlements et de paperasse — fût-elle électronique ? L'objection la plus commune adressée au modèle socialiste, c'est sa dimension utopique. Comment se fait-il que personne ne réagisse ? Quelqu'un a réussi à faire croire à tout le monde que la bureaucratie était un fléau du secteur public, alors que c'est un modèle qui transcende la séparation public/privé. Mais instaurer des règles claires ne profite-t-il pas à tous ? Vous en parlez quasiment comme d'un complot... Parce que c'en est un.

Jeremy Rifkin : “Ce qui a permis le succès inouï du capitalisme va se retourner contre lui” Il y a vingt-cinq ans, c'était la star du ring, le « boss », vainqueur du communisme par K-O ! Aujourd'hui, le capitalisme est un champion usé par la crise, miné par les contradictions et politiquement à bout de souffle. Pour l'économiste américain Jeremy Rifkin, nous assistons, tout simplement, à son éclipse. Dans un livre passionnant – La Nouvelle Société du coût marginal zéro – en librairie le 24 septembre 2014, il raconte le basculement, inévitable, que nous avons déjà commencé à opérer vers un nouveau système de production et de consommation : les « communaux collaboratifs ». Cette troisième voie (au-delà du sempiternel binôme « capitalisme ou socialisme ») est une forme d'organisation sociale fondée sur l'intérêt de la communauté plutôt que sur la seule satisfaction des désirs individuels, et rendue possible par la troisième révolution industrielle, dans laquelle Internet nous a fait entrer. Qu'est ce qui provoque ce changement de paradigme ? C'est pourtant ce qu'il se passe ?

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