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Alternativeshumanistes

Indignez-vous.fr 1. Indignation et exposé de ses motifs : Pour que vous compreniez mon idée, je pense qu'il est plus que nécessaire je me présente ... Belle mentalité, n'est-ce pas ? Mais ces personnes dont je vous parle, je les vois comme un réel fléau, et je pèse mes mots. 2. Alors, c'est bien beau de vouloir aider les "pauvres" de leur filer le RSA (ex RMI), et allocations logements et tout le patacaisse, mais est ce que cela les aides VRAIMENT ? Réfléchissons... Alors au lieu de donner de l'argent à ces individus, c'est dans leur éducation qu'il faudrait le mettre. Il faudrait des éducateurs pour leur faire découvrir ce qu'est le savoir, quelles portes il ouvre au lieu de les maintenir dans cet état de détresse, de les maintenir en vie en fermant les yeux sur leurs réels problèmes, il faudrait leur apprendre la valeur de l'argent, le goût de l'effort. Je ne sais pas si c'est une réelle solution qui est apportée ici, mais il faut rendre le peuple plus intelligent au lieu de l'abrutir. Anne Aunyme

Suisse.attac.org La Banque centrale européenne (BCE) a pris des mesures importantes le 6 septembre pour soutenir l’euro. Mais en ne s’attaquant qu’aux symptômes et non aux causes de la crise, la BCE continue à la renforcer. Nous publions ci-dessous un texte d’Attac France qui revient sur le rôle de la monnaie, des banques et de la banque centrale. Tant que la monnaie et le système bancaire sont hors contrôle, toutes les aspirations à des transformations politiques sont vouées à l’échec. Le cercle vicieux dans lequel les classes dominantes veulent enfermer les peuples, parce qu’elles en tirent un profit immédiat, n’est pourtant pas inéluctable. 1) Des objectifs de transformation sociale et écologique La crise est trop importante pour qu’on puisse imaginer avoir affaire à une difficulté passagère. C’est donc autour d’objectifs de transition vers une société plus juste et plus écologique que les choix doivent être opérés. 2) La socialisation du secteur bancaire pour une nouvelle politique du crédit

Bolloré, Crédit agricole, Louis Dreyfus : ces groupes français, champions de l’accaparement de terres | Actuwiki#.ULIKsepfrmo.facebook#.ULIKsepfrmo.facebook Au Brésil, le groupe français Louis Dreyfus, spécialisé dans le négoce des matières premières, a pris possession de près de 400 000 hectares de terres : l’équivalent de la moitié de l’Alsace, la région qui a vu naître l’empire Dreyfus, avec le commerce du blé au 19ème siècle. Ces terres sont destinées aux cultures de canne à sucre et de soja. Outre le Brésil, le discret empire commercial s’est accaparé, via ses filiales Calyx Agro ou LDC Bioenergia [1], des terres en Uruguay, en Argentine ou au Paraguay. Si Robert Louis Dreyfus, décédé en 2009, n’avait gagné quasiment aucun titre avec l’Olympique de Marseille, club dont il était propriétaire, il a fait de son groupe le champion français toute catégorie dans l’accaparement des terres. En ces périodes de tensions alimentaires et de dérèglements climatiques, c’est bien l’agriculture qui semble être l’investissement le plus prometteur. , se réjouissait le directeur du conglomérat, Serge Schoen [3]. Autre continent, mêmes critiques.

WE FIGHT CENSORSHIP - L'info à l'abri de la censure Reporters sans frontières lancera en octobre un site Internet dédié à la lutte contre la censure. Wefightcensorship.org sera la vitrine des actions de Reporters sans frontières contre la censure, dans le cadre de sa mission de défense de la liberté de l’information. Le site Internet offrira une plateforme de publication de contenus censurés ou interdits, facilement duplicable, afin de rendre la censure caduque. Grâce à un “coffre-fort” numérique ultra-sécurisé, les internautes auront la possibilité de faire parvenir à l’organisation, de manière anonyme, des documents frappés par la censure ou interdits de publication. Le site offrira également des outils pratiques, des conseils et des éléments techniques pour apprendre aux net-citoyens à contourner la censure, sécuriser leurs communications et à conserver leur anonymat en ligne. Vous pouvez vous inscrire dès maintenant sur wefightcensorship.org pour avoir accès, avant le lancement officiel, à une version Beta du site.

revenu de base inconditionnel Quand je discute du revenu de base inconditionnel avec mon entourage (famille, amis, connaissance, relations…), il arrive fréquemment que soit posée la question sur la position de la gauche sur ce sujet. La question vaut d’être posée car quand on égraine les apports de l’application du revenu de base inconditionnel, nombreux sont ceux qui semblent compatibles avec les thèmes de gauche, et notamment : Cette liste n’est pas exhaustive, mais l’on voit déjà que la gauche devrait pouvoir trouver dans cette mesure beaucoup d’arguments pour la proposer. Pourtant, force est de constater que les partis de gauche sont plus que frileux sur le sujet. Et même qu’ils l’évitent. En cette année présidentielle, seuls deux ex-candidats ont proposé le revenu de base dans leur programme : Christine Boutin et Dominique de Villepin. Alors qu’est-ce qui justifie cela ? En effet, la gauche de la fin du 19è et du 20è siècles s’est forgée autour de la valeur travail et la défense des travailleurs. À méditer…

La Plume à Gratter Juncker parle de la Grèce : tout va très bien madame la marquise ! 5.00/5 17 votes Ce qui est vraiment épatant avec les technocrates non élus de Bruxelles, c’est qu’on a beau toujours s’attendre au pire quand l’un d’eux décide d’ouvrir la bouche pour nous parler de la crise en Europe, on reste à chaque fois sidéré par la mauvaise foi et le culot affichés, proprement himalayens. Ces grands mamamouchis de l’oligarchie européiste arrivent systématiquement à se surpasser, à nous surprendre, encore et toujours, par leur cynisme, leur aveuglement volontaire, plus encore par l’obscénité absolue de chacune de leurs prises de parole. Ce mercredi était ainsi présenté devant l’assemblée par le gouvernement grec « Goldman Sachs-compatible » d’Antonis Samaras le énième plan d’austérité imposé au peuple hellène par la troika (Commission Européenne, Banque Centrale Européenne et FMI) pour tenter de sauver le système et l’Euro. « C’est eux ou nous ! Marc LEROY – La Plume à Gratter

co-lab.fr On entend parler de co-construction un peu partout ces temps-ci. Normal, c’est dans l’ère du temps. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Pour y voir un peu plus clair, j’ai interrogé Anne Chanon, auteur avec Jérôme Auriac de L’entreprise à l’ère de la défiance, de l’intérêt du dialogue sociétal, publié aux Ed. de l’Harmattan en septembre 2012. Aujourd’hui, les positions se brouillent, s’échangent, s’interpénètrent : l’innovation peut venir d’individus ou de groupes d’individus (par exemple, les hackers ayant inventé, au moment du lancement du Vélib’ à Paris, une appli pour trouver facilement des places disponibles). Un mouvement inéluctable Assistons-nous à une tendance lourde aujourd’hui ? Les exemples les plus développés s’observent essentiellement dans le secteur de l’entrepreneuriat social. Ce cas de figure témoigne du caractère inéluctable du mouvement. Un périmètre flexible

COMPRENDRE LA DETTE PUBLIQUE EN QUELQUES MINUTES Mon commentaire : À cette explication technique très pédagogique et très complète, il manque pourtant, à mon avis, LA RESPONSABILITÉ DES ÉLUS qui, depuis 40 ans, votent des budgets en déséquilibre (font dépenser l'État plus qu'il ne gagne en baissant les impôts des riches, et le forcent ainsi à emprunter, de plus en plus), ce qui est une des pinces de la tenaille qu'il ne faut pas négliger. Cette lacune, je l'explique dans la troisième vidéo des entretiens que je viens d'avoir à la maison avec Sylvain Durain : Tout se passe COMME SI les élus de nombreux pays étaient, depuis 40 ans EN MISSION (une mission pour le compte de ceux qui financent leurs campagnes électorales et à qui ils doivent leur pouvoir et leur statut social renouvelé), la mission d'endetter l'État, progressivement, insensiblement, mais dans des proportions finalement asphyxiantes. (D'ailleurs, J. Et la solution ne passera pas par un "élu"... Étienne.

L'article 27: la culture à 1,25€ «Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent»Extrait de l’article 27 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme Si on désire avoir une vie culturelle active mais qu'on (ou ses parents) n'a pas de budgets, assez étendus, pour s’offrir ce type de sorties, il est possible d’y accéder, grâce à un tarif unique à 1,25€, ni plus ni moins. Initialement, ce système a été mis en place pour que chaque personne, bénéficiant d’une aide à l’insertion sociale et/ou professionnelle, puisse en profiter mais, par manque de financements, il a fallu se résoudre à ne privilégier que ceux inscrits dans une des associations conventionnées avec l'asbl Article 27, qui est à l'origine du projet. Pour participer concrètement, l'utilisateur doit fréquenter l’un de ces partenaires sociaux.

Plan C On n'est pas préparés à cette idée : la première fois qu'on nous parle de tirage au sort en politique, on ouvre tous des yeux incrédules et on se demande quelle est cette nouvelle lubie. Le mythe de l'élection est très puissant et il n'est pas facile de s'en déprendre, même quelques minutes pour voir. Portant, je vous conseille chaleureusement de laisser une chance à l'idée et de lire seulement quelques lignes sur le sujet : vous allez vite sentir en vous-même que, loin d'être une nouvelle lubie, c'est une bonne idée, et même une très bonne —et très vieille— idée, bien connue de nos aïeux et bien testée (pendant des siècles !) avec d'excellents résultats. Ø Pour se mettre en jambes, écoutez d'abord deux résumés audio en 6 et 4 minutes chrono : Pourquoi faut-il s’intéresser au tirage au sort ? (source : ITV audio pour Hervé Kempf, sur Reporterre.net, le 11 février 2011.) France Inter, "Un temps de Pauchon", 19 avril 2012 : ITV de 4 minutes, juste après le talk TEDx RS du 22 mars 2012, Oui.

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