background preloader

Le Dernier Pirate ((Sea Shepherd))

Related:  biobello

Sea Shepherd et Paul Watson – Comment ? Pourquoi ? Paul Watson, un militant écologique qui se bat depuis plusieurs années pour la défense des océans a été arrêté en Allemagne à la demande du Costa Rica. Si je vous parle de lui dans cet article, c'est parce que j'ai été touché par ce qui lui arrive (grâce à un lecteur du site qui m'a sensibilisé au sujet) et je souhaite partager avec vous son histoire. Je ne connaissais rien de Paul Watson jusqu'à la semaine dernière, et je vous retranscris ce qu'on m'a envoyé et ce que j'ai pu trouver sur le net. Qui est Paul Watson ? Paul Watson est un Canadien (et Américain), Président fondateur de l'ONG Sea Shepherd. L'histoire de Sea Shepherd et de Paul Watson À la fin des années 70, et 80, Paul Watson et Sea Shepherd se sont vigoureusement opposés aux plus grands massacres de mammifères marins : 450 000 bébés phoques dépecés vivants sur la banquise du Canada pour leur fourrure. La soupe d'ailerons de requin est très prisée sur le marché asiatique, c'est un signe de richesse.

En image : les crop-circles du poisson-globe Le poisson-globe (il en existe un grand nombre d'espèces) est responsable de ces cercles mystérieux. © Yoji Ookata/NHK En image : les crop-circles du poisson-globe - 4 Photos Ses photos font le tour du monde : par 25 m de fond, au large de l’île Amami-Ōshima, loin au sud du Japon, Yoji Ookata a découvert des dessins circulaires sculptés dans le sable, à la symétrie à peu près parfaite et d’environ 2 m de diamètre. Un artiste humain pourrait en être fier et ces œuvres ont immédiatement été qualifiées de « crop circles », du nom de ces fresques immenses réalisées dans des champs cultivés par abattage sélectif des plants, visibles d’avions et que des esprits romantiques aiment à attribuer à des extraterrestres farceurs. Une de ces étonnantes sculptures réalisées dans le sable, le long des côtes de l'île Amami-Ōshima, plus grande des îles Amami, dans l'archipel Nansai, au sud du Japon, non loin de Taïwan. Elles mesurent environ 2 mètres de diamètre. © Yoji Ookata NHK L'artiste au travail.

What I learned the day a dying whale spared my life | Paul Watson | Environment The greatest gift that I have ever received is also my great and enduring curse. It was June 1975 and I was a crew member on the first Greenpeace campaign to protect the whales. It was off the coast of northern California, 60 miles offshore. The ships were grey, black, and freckled with rust. We felt pretty small on board the 85ft Phyllis Cormack, the halibut seiner we had chartered out of British Columbia, skippered by big no-nonsense Captain John C Cormack. We were a crew of 13 and I was the first officer. This was before the 200 territorial limit had been imposed and when the Russians freely fished and whaled up to 13 miles off the shore. We had been searching for them since April starting in the north off the Queen Charlotte Islands. However in early June we received a tip-off from a source I can never reveal in Washington DC that if we wanted to find the Russian whalers, we needed to go south. I stepped off the Zodiac and on to the carcass of the whale. Our strategy was simple.

Le fondateur de Sea Shepherd parle des dispositifs réunionnais : Paul Watson : "Un surfeur qui a peur des requins est un lâche" Dans une interview donnée en février 2015 au magazine Néoplanète, Paul Watson a donné son avis sur la gestion du risque requins à La Réunion. Alors que les communes réunionnaises s'apprêtent à mettre en place de nouveaux moyens pour capturer ou repousser les squales suite au C4R (Comité réunionnais de réduction du risque requins) qui s'est tenu ce jeudi 12 février 2015, le fondateur de l'ONG Sea Shepherd s'est montré très critique envers les dispositifs de prélèvement. L'occasion pour le militant canadien de tacler au passage les surfeurs soutenant ce type de méthode. (photo Surf-Prevention.com) Alors que la gestion du risque requin mobilise les associations et autorités réunionnaises depuis plus de 3 ans, Paul Watson a été interrogé par Néoplanète sur les mesures mises en place à La Réunion. "Du moment que ces dispositifs ne sont pas mortels pour les requins, nous n'avons pas de problème avec cela. "Les tuer n'est pas la solution" www.ipreunion.com

-: MK67 - Mon Kamishibai : Création de Kamishibais dédiés à la Petite Enfance (0-6ans) Sea Shepherd FR Le Sablier Editions - le temps de l'enfance : Accueil Le Sablier Éditions est une maison d'éditions indépendante, fondée en 1997 et spécialisée en jeunesse. Basée en Provence, ses sujets de prédilection sont la découverte des cultures du monde et la nature. Au Sablier, ces deux lignes éditoriales sont liées par la musique, omniprésente grâce aux talents des musiciens, chanteurs, conteurs et comédiens. Son catalogue en est le reflet puisqu'il est, avant tout, constitué de livres musicaux. De l'idée à la conception, son lien à la nature se traduit par un fort engagement environnemental qui se présente dans tous les aspects de la maison. La diffusion du catalogue en librairie est assurée par l'équipe d'E.D.I (distribution : Sodis en France / La Caravelle en Belgique / Benjamin au Canada). En Suisse, elle est assurée par Heidiffusion (www.heidiffusion.ch).

Littérature africaine : parler plusieurs langues est une force ! – JeuneAfrique.com Alors que l’écrivain Boubacar Boris Diop vient de lancer une collection littéraire en wolof, la nécessité de l’enseignement dans les langues africaines s’impose peu à peu dans les esprits. La question, qui lui est posée sans relâche depuis quelques années, traduit à elle seule la profondeur du malaise : « Pourquoi écrire et publier des romans en wolof ? – Et pourquoi pas ? », répond avec un sourire le Sénégalais Boubacar Boris Diop, visiblement amusé face à l’incrédulité de ses interlocuteurs. Cinq décennies après les indépendances, le fait qu’un romancier africain écrive dans sa langue maternelle passe encore pour une lubie qu’il lui faut perpétuellement justifier. À tel point que Boubacar Boris Diop, qui a lancé en 2016 une collection littéraire en wolof, « Céytu » – avec les éditeurs Zulma (Paris) et Mémoire d’encrier (Montréal) –, aura attendu son septième roman, Doomi Golo (Papyrus Afrique, Dakar), paru en 2003, pour se réapproprier l’idiome qui a bercé ses jeunes années.

"Le Manta", le futur bateau d'Yvan Bourgnon pour collecter les plastiques Ce bateau s'appellera "Le Manta", comme la raie un poisson très efficace pour filtrer l'eau. Equipé d'une immense herse de 72 mètres de large, il ratissera la mer et interviendra dans les zones où se concentrent des nappes de déchets compactes avant qu'elles se dispersent dans l'eau et avant que les plastiques coulent. Le quadrimaran à voile pourra stocker jusqu'à 300 mètres cube de déchets qui seront ensuite recyclés. L'idée de ce bateau est venue à Yvan Bourgnon lors de son dernier tour du monde à la voile, quand au large des Maldives il a dû, plusieurs dizaines de fois par jour, arracher les plastiques qui coinçaient son gouvernail. Les opérations de ratissage se feront en respectant les poissons. Une campagne de financement participatif est lancée le 14 octobre sur le site kisskissbankbank afin de récolter les 80 000 premiers euros du projet de construction du "Manta" qui sera mis à l'eau, si tout se passe bien, en 2020. Lire la suite

Related: