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Critiques du Web² (1/4) : Quelles données libère-t-on ?

Critiques du Web² (1/4) : Quelles données libère-t-on ?
Oui, les données valent de l’or. C’est aussi comme cela qu’on peut lire le Web à la puissance deux (Web²) de Tim O’Reilly et John Battelle. Mais si c’est effectivement le cas, si nous sommes tous assis sur un capital dont on mesure mal l’exploitation qui peut en être faite, pourquoi faudrait-il les libérer ? Image : Illustration de Boris Müller pour le festival de littérature allemand de 2006 montrant les relations entre les lettres dans un poème, mis en avant par l’australien Andrew Vande Moere, l’auteur du cultissime blog infosthetics sur l’esthétisme de la visualisation de données, pour un article de PingMag sur la beauté de cette nouvelle discipline de représentation de l’information. Or l’ouverture des données ne va pas de soi pour les organisations. Indéniablement, la question de leur ouverture deviendra à l’évidence un sujet conflictuel. Il y a au moins deux limites intrinsèques à la vision de Battelle et O’Reilly : Il n’existe pas de données brutes. Hubert Guillaud

Critiques du Web² (2/4) : Mesurer les résultats de la libérat La question de la libération des données publiques se superpose à celle de leur utilisation. Cette libération – bien qu’encore timide – produit-elle aujourd’hui ce qu’on en attend ? A-t-elle des effets pervers ? Quelle est la valeur de la libération des données ? Il va être temps de mesurer les résultats du programme d’Open Government mené par l’administration Obama, explique David Robinson, directeur associé du Center for Information Technology Policy de Princeton et notamment de la politique de libération de données, de dépenses (voir également USAspending) ou de développement et d’hébergement d’applications publiques. Les usages semblent pour l’instant se concentrer sur certains types de données, souligne Jay Nath responsable de l’innovation au Comté de San Francisco, notamment l’exploitation des données criminelles qui concentrent à elles seules 80 % des réutilisations. Cette libération pose une autre question : quels vont être les retours sur investissement de l’Open Government ?

About the Journal | www.semantic-web-journal.net TED : Rôle des médias sociaux sur notre société | Réseaux sociau echnology, ntertainment, esign .. TED ! Ce nom ne vous dit peut-être rien mais il s’agit de conférenciers échangeant autour des grandes problématiques de notre monde afin de tenter de l’influencer. Clay Shirky , consultant sur l’impact des nouvelles technologies sur l’économie, présente le rôle des médias sociaux dans notre société de l’information. explique le rôle des médias sociaux aujourd’hui et retrace leur évolution dans le temps. 1 – L’impression diffuse un texte écrit d’un émetteur vers plusieurs destinataires 2 – Le télégraphe et le téléphone développent une conversation bi-directionnelle et dotée de la voix 3 – Les photos et enregistrements sonores alimentent ces échanges 4 – La radio et la télévision digitalisent l’information et la rend accessible L’information est jusque là cantonnée à un rapport , c’est à dire un émetteur vers plusieurs destinataires. On assiste à une . 1 – Consulter et jouir de l’information 2 – Émettre et enrichir cette information Ces médias existent.

The Semantic Puzzle | Open World Assumptions Critique du Web² (3/4) : Toutes les données sont devenues person La technologie nous forcera-t-elle à choisir entre la vie privée et la liberté, comme l’affirmait David Brin dans son livre Transparent Society (Wikipédia) ? Il n’y a pas ou plus, d’un côté des données personnelles et de l’autre des données qui ne disent rien des individus : un très grand nombre de données apparemment anonymes peuvent acquérir un “caractère personnel”, c’est-à-dire aider indirectement à savoir quelque chose sur un individu précis. Les champs de données permettent de plus en plus d’identifier leurs émetteurs, tant et si bien qu’on peut se demander à l’avenir si le concept de données anonymes a encore une pertinence. Si la directive européenne Inspire (Wikipédia, voir aussi le volet français) et la loi française sur la réutilisation des données publiques excluent explicitement du partage les données nominatives, force est de reconnaître que nous savons de moins en moins ce que sont des données nominatives. Peut-on réellement anonymiser des données ? Hubert Guillaud

Les modèles d’affaires du web 2.0 Les sites web 2.0 offrent toujours un accès gratuit à leurs services. Leur économie repose donc sur la capacité à valoriser les activités et les échanges qui se développent sur le site de manière à générer des revenus autour de ce service gratuit. Jean-Samuel Beuscart, Christophe Dacheux et Kevin Mellet, chercheurs au laboratoire Sense d’Orange Labs ont cherché à identifier les différentes modalités de monétisation de la présence et de l’activité des utilisateurs. L’occasion, à travers la modularité de ces différentes combinaisons, de mieux identifier et comprendre les modèles d’affaire du web 2.0. On peut identifier quatre modalités distinctes de monétisation de la présence et de l’activité des utilisateurs. Pour la plus répandue d’entre elles, la publicité, on peut en outre distinguer quatre façons très différentes de faire de la réclame en ligne, dont deux sont spécifiques aux univers du Web 2.0. 1. Ces quatre formes de monétisation assurent aux sites web 2.0 des revenus directs. 2.

Comment les internautes partagent-ils du contenu s En voilà une bonne question ! La réponse est simple : on n’en sait rien. C’est un graphique qui tourne sur le web, depuis que Mashable, puis le Silicon Alley Insider, qui cherche désespérément un graphique à mettre en ligne chaque jour, sans quasiment jamais le mettre en contexte, l’a posté. Joli camembert, où l’on est tenté de croire qu’il s’agit de la répartition des usages de partage de contenus en ligne. Plein de blogs reprennent la chose, heureux de pouvoir enfin mettre une donnée derrière une question : que fait-on ? Sauf que. Sauf que ce graphique ne donne pas la réponse aux question que l’on pourrait se poser : - quelle est la part de chaque outil/espace dans la transmission des contenus, pour chaque internaute ? - dans les liens postés, chaque jour, combien le sont sur twitter, sur facebook, par e-mail ? Non, ce graphique correspond uniquement aux utilisateurs d’un widget, addtoany, qui agrège ces données, . Beaucoup ne sont pas aussi précautionneux. Mots clés: 6 Commentaires

Edelweiss Research Team - Equipe de recherche Edelweiss - INRIA The research team Edelweiss aims at offering models, methods and techniques for supporting knowledge management and collaboration in virtual communities interacting with information resources through the Web. This research will result in an ergonomic graph-based and ontology-based platform. Activity Report 2010 Located at INRIA Sophia Antipolis-Méditerranée, Edelweiss was previously known as Acacia. Edelweiss stands for... Exchanges : communication, diffusion, knowledge capitalization, reuse, learning.

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