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La notion de service public

La notion de service public
<p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> La notion de service publicService publicActivité d’intérêt général prise en charge par une personne publique ou par une personne privée mais sous le contrôle d’une personne publique. On distingue les services publics d’ordre et de régulation (défense, justice...), ceux ayant pour but la protection sociale et sanitaire, ceux à vocation éducative et culturelle et ceux à caractère économique. De plus, l’expression service public désigne deux éléments différents : une mission, qui est une activité d’intérêt général, et un mode d’organisation consistant, de façon directe ou indirecte, à faire prendre en charge ces activités d’intérêt général par des personnes, soit publiques (État, collectivités territoriales, établissements publics) soit privées, mais sous le contrôle d’une personne publique. Plusieurs fonctions selon un régime juridique bien fixé

La valeur partagée Michael Porter, professeur de management à Harvard, voudrait que les entreprises prennent en main le management de leur responsabilité sociale, avec un nouveau concept : la shared value (valeur partagée). La RSE, une contrainte pour les entreprises Pour les libéraux purs et durs, la responsabilité sociale de l'entreprise (RSE) reste une obligation imposée par l'extérieur : la société civile, les médias, les dirigeants politiques. Michael Porter, professeur de management à Harvard et l'un des consultants les plus influents des Etats-Unis, si ce n'est du monde, avait montré il y a quelques années comment une grande firme pouvait intégrer cette RSE à sa stratégie[1]. Porter constate que le capitalisme est en crise, et que les entreprises sont perçues par beaucoup comme des entités égoïstes prospérant aux dépens de leur environnement naturel et humain. Intégrer la responsabilité sociale de l'entreprise à sa stratégie Le gourou de Harvard ne renie pas ses convictions. En savoir plus Marc Mousli

Les différentes formes d'association Accueil Guide juridique et fiscal Principes généraux Les différentes formes d'association Les différentes formes d’association Tri des articles : par date | par titre | par popularité L’association "de fait" ou "non déclarée" Dernière modification : 25 février 2016 - popularité : 9 % "Avantages" : Une association de fait est légale : elle peut se constituer sans autorisation, ni déclaration. Le droit local des associations en Alsace-Moselle Dernière modification : 11 février 2016 - popularité : 21 % Les bases juridiques relatives aux associations situées en Alsace et en Moselle trouvent leurs sources dans la période mouvementée qu’a connu cette (...) L’association déclarée Dernière modification : 11 février 2016 - popularité : 10 % La procédure L’association déclarée régie par la loi du 1er juillet 1901 acquiert la capacité juridique dès lors qu’elle a été rendue publique par ses (...) L’association reconnue d’utilité publique Dernière modification : 12 novembre 2015 - popularité : 4 %

Économie : combien de sociétés contrôlées par l'État ? Entreprises publiques. En bref - Actualités L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) publie, le 2 avril 2015, une étude sur les entreprises publiques sous contrôle de l’État. Au 31 décembre 2013, l’État contrôle majoritairement un nombre total de 1 444 sociétés en détenant plus de la moitié de leur capital. Parmi celles-ci, l’État exerce un contrôle direct sur 88 sociétés. Sur ces 88 sociétés, 11 sont à la tête de groupes rassemblant chacun plus d’une dizaine de sociétés. Par exemple, Électricité de France (EDF) et La Poste contrôlent chacune plus d’une centaine de sociétés, la SNCF en contrôle plus de 500. Au total, ces 1 444 sociétés emploient 801 000 salariés. Par rapport à 2012, le nombre de sociétés contrôlées par l’État augmente de 40 unités. L’État est aussi actionnaire minoritaire d’environ 600 sociétés (37% de GDF-Suez, 27% de Thalès, 15% de Renault, 13% de Orange, par exemple).

Michel et Augustin : « Diriger à deux exige autant d'efforts que pour un couple » Crédits photo : Benoit Decout Augustin Paluel-Marmont : Augustin : « Nous tirons notre force de la complémentarité de nos personnalités et de nos talents. Michel a un esprit rationnel, analytique et structuré, alors que je suis un créatif qui marche à l'intuition. » Pourquoi avoir choisi de créer une entreprise à deux ? Crédits photo : Michel et Augustin Michel de Rovira : « Nous avons essayé d'instaurer une égalité dans la prise de décision. Comment fonctionne votre duo ? Comment consultez-vous l’avis de l’autre ? « Une fois par semaine, nous discutons 2 à 3 heures des différents chantiers en cours » Augustin Paluel-Marmont, co-fondateur de Michel et Augustin Tout n’est pas non plus gravé dans le marbre : l’autre doit pouvoir faire des incursions constructives. Crédits photo : Les Echos Business Michel de Rovira : " L'écoute des autres, mais également de soi-même fait partie de l'ADN de l'entreprise." Comment gérez-vous les désaccords, notamment face aux salariés ?

Les fonctions de l'entreprise L’entreprise est un peu comme un organisme vivant, dont la "survie" nécessite une bonne coordination des organes qui le composent. En effet, l'entreprise ne peut fonctionner que si les tâches à accomplir sont réparties de façon précise et si le rôle de chacun dans l’entreprise est clairement déterminé. Plus l’entreprise est importante, plus son organisation, pour être efficace, doit être structurée. Les nombreuses tâches réalisées par l’entreprise peuvent faire l’objet d’un regroupement selon leur objectif. Traditionnellement, on recense 8 grandes fonctions dans l’entreprise dont la fonction Production, la fonction Marketing et Vente ou la fonction Recherche et Développement. Il faut donc explorer l’anatomie de l’entreprise et regarder d’un peu plus près ses fonctions, afin de comprendre leur signification, leur articulation et leur importance. Publié en 2012

En 2013, 88 sociétés sous contrôle direct de l’État emploient directement ou indirectement plus de 800 000 salariés | Insee Les 1 444 sociétés contrôlées par l’État emploient 801 000 salariés Fin 2013, en France, l’État contrôle majoritairement, directement ou indirectement, 1 444 sociétés, en détenant plus de la moitié de leur capital. Par rapport à 2012, compte tenu des entrées et des sorties du champ des sociétés contrôlées par l’État, leur nombre augmente de 40 unités. Ces 1 444 sociétés publiques emploient 801 000 salariés. Globalement, ce nombre d’emplois progresse très légèrement par rapport à 2012 (+ 1 %). Cette hausse est imputable aux sociétés « pérennes », c’est-à-dire à celles qui étaient déjà sous le contrôle de l’État en 2012 et le restent en 2013. En outre, l’influence de l’État est plus étendue que la seule détention majoritaire de ces 1 444 sociétés. Fin 2013, parmi les 1 444 sociétés françaises contrôlées par l’État, ce dernier exerce un contrôle direct sur 88 d’entre elles, dites de premier rang, en détenant directement plus de la moitié de leur capital (figure 1). en %

Les pyramides (des âges) de Toyota Tous les DRH des grandes entreprises sont attentifs à la pyramide des âges des salariés. Chez Toyota, on ne se contente pas de la surveiller : on la fabrique. On croit tout connaître de Toyota et de son système de management, le fameux « TPS » (Toyota Production System). La production à flux tendu, le juste-à-temps, les cercles de qualité, l’amélioration continue des méthodes (kaizen), la philosophie de la « lean production », ou production au plus juste : faire plus (de voitures) avec moins (de ressources). On a aussi beaucoup glosé sur l’emploi à vie, avant de s’apercevoir qu’il s’agissait d’un concept japonais difficilement traduisible, qui n’avait pas grand-chose à voir avec le véritable emploi à vie des fonctionnaires français, par exemple. Un travail récent d’un chercheur du Gerpisa (Groupe d'étude et de recherche permanent sur l'industrie et les salariés de l'automobile) éclaire d’un jour nouveau les vrais ressorts du système Toyota[1]. Le « keiretsu » pyramidal de Toyota Notes

Entreprises publiques−Tableaux de l'Économie Française | Insee Les entreprises publiques sont définies comme l'ensemble des sociétés directement détenues majoritairement par l'État ou appartenant à des groupes dont la tête est détenue majoritairement par l'État. Fin 2014, l'État contrôle en France directement 89 sociétés françaises. Par le biais de ces dernières et de leurs filiales, il contrôle au total 1 632 sociétés françaises, qui emploient 795 000 salariés. Par rapport à 2013, le nombre de ces sociétés augmente de 191 unités. En 2014, l'État entre au capital de la Société de financement local (SFIL) et à celui de l'aéroport de Marseille Provence. Malgré l'augmentation du nombre de sociétés contrôlées directement ou indirectement par l'État, l'emploi salarié dans le périmètre est stable en 2014. Entre fin 2013 et fin 2014, la répartition des sociétés publiques par grand secteur d'activité reste très stable.

État(s) et entreprises publiques (novembre 2016) | Association française d'histoire économique Appel à communications – Journées d’Étude 3 et 4 novembre 2016, Sciences Po, Paris 1. Après trois décennies de privatisations et de libéralisations, les entreprises publiques sont parfois perçues comme des reliques d’un temps passé. Si l’actualité récente a montré que l’actionnariat public demeure un levier d’action économique de l’État français, les logiques contemporaines d’intervention tranchent cependant avec celles du passé, en particulier si on les compare aux nationalisations d’après-guerre ou à celles du début des années 1980. Alors même qu’elles représentent une part non négligeable de l’économie du pays, les entreprises publiques font l’objet de relativement peu de travaux sociologiques. Les relations entre l’État propriétaire[1] et les entreprises publiques posent des questions de sociologie économique, de sociologie des relations professionnelles et de sociologie de la gestion. 1. 2. Le deuxième axe interroge la sociologie des élites dans les entreprises publiques. 3. 4. 2.

La sous-traitance du service public au secteur privé Une fois qu’une prestation a été définie comme relevant du domaine du service public, il reste à choisir les modalités de sa production. Celle-ci peut être attribuée à un opérateur du secteur public auquel est conféré un monopole. Mais elle peut également être confiée à un opérateur privé : on parle alors de délégation de service public(*). Cette situation est intéressante à plusieurs égards. La définition du contrat passé avec le prestataire privé apparaît en effet comme l’élaboration de définitions effectives du service public. À défaut d’être générales, elles précisent le champ d’intervention et les caractéristiques de la prestation de service public sur un domaine particulier alors désigné sous le nom de service universel [? La définition des délégations de service public est ainsi au cœur du processus d’ouverture à la concurrence de nouveaux marchés jusque-là confiés à des monopoles publics, mais accompagne également la création de nouveaux services publics. La rédaction de RCE

Quelle distinction entre administration et service public ?  - Qu'est-ce que l'administration <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> Le service publicService publicActivité d’intérêt général prise en charge par une personne publique ou par une personne privée mais sous le contrôle d’une personne publique. Cependant, comme le mot administration, l’expression service public revêt plusieurs sens. La loi définit les missions relevant du service public. Pendant longtemps, le service public était le critère unique conditionnant l’application du droit administratif et la compétence de la justice administrative (théorie de l’« école du service public »). Ainsi, selon la nature de l’activité et de la structure qui en est chargée, on peut distinguer plusieurs cas de figure : les services publics administratifs (SPA) : très diverse, cette catégorie regroupe les services qui n’ont pas de but industriel ou commercial (ex : défense, éducation nationale…).

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