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Découverte d’un nouveau monstre du cosmos Les astronomes ressemblent parfois à ces pêcheurs qui, involontairement, ramènent dans leurs filets des animaux ou des objets qu'ils ne s'attendent pas à y trouver. C'est ce qui est arrivé en 2007 à David Narkevic. A l'époque, cet étudiant en physique de l'université de Virginie-Occidentale cherche, dans les données reçues par le radiotélescope australien de Parkes (en photo ci-dessus), la signature de pulsars. Pour bien comprendre ce qu'est un pulsar, il faut retracer la fin de vie d'une étoile massive qui n'a plus de carburant pour entretenir de réaction thermonucléaire en son cœur et soutenir la pression des couches supérieures de l'étoile. Lorsque les couches externes de l'étoile atterrissent sur cette boule de neutrons ultra-dense, elles rebondissent violemment et sont éjectées dans l'espace en une gigantesque libération d'énergie, la supernova. C'est ce type de signal que David Narkevic a ramené dans son filet, croyant qu'il s'agissait d'un pulsar. L'hypothèse est séduisante.

L'énergie noire vient-elle du vide quantique ? Des chercheurs français, notamment de l’IRAP-OMP (CNRS/Université P. Sabatier Toulouse III), proposent une origine physique à l’énergie noire. Il s’agirait de l’action gravitationnelle du vide quantique présent dans une dimension supplémentaire de l’espace. Considérée depuis très longtemps en physique, l’amplitude de l’action gravitationnelle du vide quantique était néanmoins estimée à des valeurs allant bien au delà de celles autorisées par les observations à l’échelle cosmologique: quelques 10120 fois la densité actuelle de l’univers. Les travaux récents des chercheurs français ont montré qu’en présence d’une dimension supplémentaire compacte (c'est-à-dire rebouclée sur elle-même), le vide quantique gravitationnel pouvait produire une contribution à la densité de l’univers par un mécanisme similaire à l’effet Casimir en électrodynamique quantique. Dans ce paysage de la physique fondamentale une deuxième zone d’ombre existe : le rôle du vide quantique en gravitation. Note(s):

La naissance d’une étoile géante observée par le télescope ALMA Grâce au télescope ALMA, une équipe d'astronomes ont pu observer la naissance d’une étoile à l'intérieur d'un nuage sombre. Elle pourrait progressivement atteindre jusqu’à 100 fois la taille du Soleil. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter C'est à 11.000 années-lumière de la terre, dans le Nuage Sombre de Spitzer (SDC 335.579-0.292) que des astronomes ont réalisé leur précieuse observation. D'après les estimations, le coeur serait déjà entouré de matériel présentant une masse supérieure à 500 fois celle de notre Soleil, et sa taille ne cesserait d'augmenter. L'autre, plus spectaculaire, indique que le nuage entier s'effondre vers l'intérieur, tout son matériel tombant vers le centre du nuage afin de former un ou plusieurs monstres massifs à cet endroit. Une étoile qui engloutit tout "Les observations remarquables nous ont permis d'obtenir la première véritable vue en profondeur de ce qui se passait à l'intérieur ce nuage. Une étoile sur 10 000

HFLS3, une galaxie géante qui crée 2 000 fois plus d'étoiles que notre Voie Lactée Samedi 20 avril 2013 6 20 /04 /Avr /2013 18:17 HFLS3, une galaxie géante qui crée 2 000 fois plus d'étoiles que notre Voie Lactée Des astronomes ont annoncé avoir découvert une galaxie massive dont la lumière a été émise il y a environ 12,8 milliards années, soit au moment de ce qu’on peut appeler l'enfance de l'Univers. Notre Univers recèle encore bien des merveilles qui n'attendent qu'une chose : être découvertes. Mais là n'est pas le plus fascinant puisque cette galaxie, appelée HFLS3, possède une masse d'étoiles de près de 40 milliards de fois la masse du Soleil. "En fait, cette galaxie représente un phénomène si extrême que l'on pourrait la qualifier de 'flambée stellaire maximale'". Des sursauts de formation d'étoiles 880 millions d'années après le Big Bang D'après les chercheurs, les modèles prédisent que quelques galaxies se forment très tôt dans les régions les plus denses de l'Univers. Mieux comprendre les mystères du jeune Univers (crédits photo : ESA–C.Carreau)

L'impressionnante fin de vie d'une étoile observée par les astronomes Les astronomes de la NASA ont dévoilé une nouvelle image de la nébuleuse de l'Esquimau. Situé à 4.200 années-lumière de la Terre, cet objet découle des émissions d'une étoile en fin de vie. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Les étoiles comme notre Soleil peuvent devenir particulièrement photogéniques lorsqu'elles approchent de la fin de leur vie. Surnommé "nébuleuse de l'Esquimau", cet objet est ce que les astronomes appellent une nébuleuse planétaire. Une étoile qui éjectent ses couches externes En effet, les nébuleuses planétaires se forment lorsqu'une étoile a consommé tout son hydrogène. Ce dernier dont la température a la surface atteint environ 50.000°C se met alors aussi à éjecter ses couches externes grâce à un vent bien plus puissant atteignant les six millions de kilomètres par heure. Tout ce processus est ce qui arrivera à notre Soleil dans environ 5 milliards d'années quand il aura lui aussi consumé tout son hydrogène.

Le Très Grand Télescope de l'ESO met en lumière NGC 1637, une galaxie spirale illuminée par une supernova La galaxie NGC 1637 a vu apparaître en son sein une supernova extrêmement lumineuse en 1999. En combinant les images obtenues depuis, les astronomes de l’ESO sont parvenus à obtenir une vue superbe de cette galaxie. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter NGC 1637 est une galaxie située à 35 millions d’années-lumière de la Terre, dans la constellation de l’Éridan. Les supernovas sont des explosions cataclysmiques d’étoiles qui sont tellement violentes qu’elles peuvent éclipser la lumière de plusieurs milliards d’autres étoiles situées dans la même galaxie. La supernova qui a eu lieu dans NGC 1637, baptisée SN 1999em a été largement observée, ce qui a permis de suivre son évolution et sa diminution progressive dans le temps. On constate ainsi que NGC 1637 est une galaxie spirale avec des pistes bleuâtres balisées de jeunes étoiles, des nuages de gaz rougeoyant et des bandes de poussières obscurcissantes, rapporte futura-sciences.com.

Astérosismologie : une nouvelle technique utilisant la lumière fait chanter les étoiles Une nouvelle technique de mesure de l'intensité des étoiles a permis à des chercheurs de produire des sons, qui les aident à obtenir des informations sur l'étoile. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Et si l'on pouvait écouter le son des étoiles, et en tirer des informations inédites sur la gravité de surface de ces astres ? Variations de lumière On connaissait déjà l'astérosismologie, une technique employée pour étudier la structure interne des étoiles. Une "échographie" des étoiles C'est grâce aux données du satellite Kepler que l'équipe a pu réussir ces travaux. Vieillissement astral À mesure que les étoiles vieillissent, l'intensité de leur "scintillement" diminue. Crédits Photo : ESO/M.

MACS0647-JD, la plus vieille galaxie jamais identifiée dans l’Univers La galaxie la plus vieille jamais identifiée vient d’être découverte grâce aux télescopes spatiaux Hubble et Spitzer. Elle a été observée telle qu'elle était seulement 420 millions d'années après le Big Bang. Des astronomes ont découvert la galaxie la plus vieille et la plus lointaine jamais identifiée. Elle est si ancienne que sa lumière a dû voyager quelque 13,3 milliards d'années avant de nous parvenir. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter C'est en combinant les deux télescopes spatiaux Hubble et Spitzer et le phénomène de "lentille gravitationnelle" que les astronomes ont réussi à détecter la lumière émise par MACS0647-JD. Ainsi, l'expérience CLASH (Cluster Lensing And Supernova survey with Hubble) a pu repérer cette galaxie depuis le fin fond de l'espace, révèle un communiqué du site internet de Hubble. Une galaxie tout petite En effet, il semblerait que MACS0647-JD soit très petite.

CoRot Sol 1, un nouveau jumeau solaire plus vieux de 2 milliards d'années Mercredi 22 mai, des chercheurs brésiliens de l'Université de Rio Grande do Norte ont annoncé avoir découvert une nouvelle étoile jumelle de notre soleil. Les informations récoltées sur la composition de celle-ci pourront nous éclairer quant à l'évolution de l'astre de notre système solaire. Le soleil ne compte plus ses jumeaux, découverts tour à tour par les chercheurs du monde entier désirant en savoir plus sur notre astre solaire dans ses spécificités et surtout son évolution probable. Mercredi 22 mai l'équipe de chercheurs menée par Jose Dias do Nascimento de l'Université fédérale du Rio Grande do Norte au Brésil a annoncé avoir découvert un jumeau solaire de plus. Vous aimez nos contenus ? Recevez gratuitement la meilleure news et vidéo du jour, et profitez des conseils de Consogazette pour améliorer votre pouvoir d'achat Un pas de plus vers notre Soleil Le reste de la portée Plus de quatre autres jumeaux solaires ont été découverts. (Crédit Photo: Do Nascimento et Al)

Comet ISON has an outburst! | Human World Many media are now reporting today (November 14, 2013) that Comet ISON has had an outburst. In other words, it brightened substantially last night and may now be becoming visible to the eye alone, in dark country skies. NASA’s Comet ISON Observing Campaign agrees, saying: … Emmanual Jehin from the University of Liege is reporting an outburst in Comet ISON, resulting in production rates that are double that of what they were a day earlier. The term “production rate” refers to the amount of different materials such as H2O, CO2, etc, that are being released from the comet’s surface …It could be that the comet is now simply finally “turning on”. On the other hand, as always, there are caveats. Look before dawn for Comet ISON. Comet ISON will share the same binocular field with the bright star Spica on the mornings of November 17 and 18. View larger. | Here’s the same part of the sky as on the chart above – as photographed on November 13, 2013 by Annie Lewis in Madrid, Spain.

Des astronomes découvrent de nouvelles étoiles, les plus jeunes jamais observées Mardi, la NASA a annoncé que le télescope spatial Herschel avait déniché pas moins de quinze nouvelles étoiles. Elles feraient partie des plus jeunes jamais observées dans l'univers et seraient localisées dans la constellation d'Orion. Le télescope Herschel a beau être en fin de mission, il n'a pas fini de nous dévoiler les mystères de l'Univers ! Lancé en 2009, l'engin vient de découvrir pas moins de 15 étoiles qui étaient jusqu'ici inconnues. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Ces 15 proto-étoiles ont été observées tandis que Herschel étudiait le plus grand site de formation d'étoiles situé à proximité de notre système solaire et localisé dans la constellation d'Orion. Cette découverte fournit ainsi aux scientifiques un aperçu de l'une des phases les plus précoces et les moins bien comprises de la formation d'étoiles. Des étoiles âgées d'à peine 25.000 ans Compléter l'album de famille des étoiles

Yahoo Québec Samedi-sciences (69):naissance d'une étoile Elle ne brille pas encore, mais c’est un futur soleil : une proto-étoile cinq fois plus petite que notre astre du jour a été observée à un stade précoce de sa formation par l’équipe de John Tobin, du National Radio Astronomy Observatory, à Charlottesville, en Virginie (Etats-Unis). Cet astre en formation, situé à 450 années-lumière dans la constellation du Taureau, n’a pas plus de 300.000 ans, presque rien comparé aux 4,6 milliards d’années de notre système solaire. Selon la revue Nature, qui vient de publier cette observation, c’est la première fois que des astronomes « détectent et mesurent une étoile véritablement embryonnaire ». On estime que l’univers connu contient de l’ordre de 10.000 milliards de milliards d’étoiles, mais malgré ce nombre colossal, il est très difficile de capter le moment, très court à l’échelle cosmique, où un nuage moléculaire géant se contracte pour donner naissance à une étoile. Mais ce sont les étoiles embryonnaires qui intéressent Tobin et son équipe.

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